Témoignage d’une jeune étudiante à l’origine de la création d’une association dont les objectifs sont de lutter contre le harcèlement scolaire et d’accompagner les victimes du harcèlement. Dans cet entretien, l’auteure répond aux questions posées concernant l’origine, les actions passées, en cours et à venir de l’association.

Un triste fait divers réactive chez l’auteur un vécu lointain d’écolier dans lequel il subissait en silence les sanctions violentes et répétées de certains de ses enseignants en s’enfonçant dans la « cancritude ».

Une nuit d’orage dans une bibliothèque d’un de nos EFTS (Établissement de formation de travailleurs sociaux) déclenche une aventure livresque dans laquelle des livres d’auteurs du passé offrent leurs plus belles pages pour élaborer « le livre des livres » à l’attention des étudiants de notre secteur.

Un retraité revient sur son parcours de 50 ans dans le travail social et la gouvernance d’un établissement de formation en travail social et tente de répondre dans une réflexion/témoignage pourquoi il « dure » encore aujourd’hui dans celui-ci. Sans doute parce que sur cette route, il a pu faire de belles, nombreuses et importantes rencontres qui l’ont conforté dans le désir d’avancer et de poursuivre son chemin au-delà des obstacles, des incidents de parcours et des doutes…

Ce texte n’a pas d’ambition scientifique, seulement celle d’une réflexion de pédagogue, éducateur spécialisé et directeur de centres de vacances, ayant eu de multiples occasions de travailler avec des enfants et de concevoir et diriger les structures pour les accueillir.

Dans cet article l’auteur ouvre une réflexion sur l’obscène (comme étant « ce qui blesse ouvertement la pudeur ») dans les médias et les réseaux sociaux mais aussi dans le travail social qui de plus en plus normé et porteur de contraintes paradoxales contribue à l’émergence d’une transparence aux effets obscènes. Dans ce contexte le travailleur social a beaucoup de difficultés pour exister et rester disponible à l’Autre en gardant ses motivations et ses valeurs... Peut-il en sortir sans y perdre son âme ?... Et surtout faire face ?

Ce texte, porté par une réflexion de praticien-pédagogue à partir d'épreuves significatives vécues durant la carrière de l'auteur, tentera de répondre à la question suivante : comment l'épreuve peut participer à la construction de soi et, par voie de conséquence, à un travail de compréhension de celle-ci nécessaire à l’élaboration d'une praxis professionnelle.

Alors Directeur administratif — du secteur médico-social d’une association gérant 7 établissements — et confronté à la récurrence d’agréments non financés il avait écrit un texte intitulé Agréments virtuels et conscience professionnelle. Aujourd’hui, pensant qu’il reste, malgré l’évolution de notre secteur, le reflet d’une réalité actuelle il livre une version revisitée aux lecteurs.

Allongé sur son lit d’hôpital, la santé encore précaire après son infarctus, il songeait à la période révolue de sa fin de carrière. Le temps avait changé, se disait-il, et la « précarité » s’est depuis longtemps installée et amplifiée. Les budgets sont toujours gelés et c’est le grand hiver. Le social s’effiloche et part en morceaux. Les beaux jours qui se préparent à venir seront encore glaciaux... C’était maintenant l’ère technocratique fondatrice de précarité et d’incertitude et sans doute bientôt du moyen-âge social.

Assis dans sa cuisine sur le fauteuil de son épouse, il chantonne une comptine bien connue... Et se questionne : pourquoi la lecture de l’appel à auteur l’amène à cette comptine ? La question est embarrassante parce qu’il n’est pas musicien. Alors qu’a-t-il à écrire sur ce thème ? Pas grand-chose, de toute évidence. Pourtant !