Documentation sociale

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Corps et âmes

Film de Grégoire GOSSET, Loïc WIBAUX, 2017.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Handicap, Polyhandicap, Personne handicapée, Adolescent, Prise en charge, Établissement pour enfant et adolescent handicapé, Vie quotidienne, Communication, Scolarité, IME, Théâtre, Insertion sociale, Insertion professionnelle, Projet de vie, Affectivité, Travail social, Infirmier, Médecin, Autonomie

Ils sont 196, enfants, adolescents, adultes, en situation de handicap moteur et polyhandicap. Des compagnons de route, réunis par les circonstances de la vie. Au milieu des soirées d’internat, des cours, des soins, il y a l’amitié d’une vie, les amours naissantes. Il est question l’air de rien, d’inclusion, d’exclusion, de différences, de bonheur aussi. Parcours de vie, vie de parcours, parcours de combattant ? Corps & Âmes questionne aussi dix ans de politique du handicap.

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Carpe Diem : un regard, une approche, un combat

Film de Carolane SAINT-PIERRE, 2013.

Mots clés : Maladie d'Alzheimer, Lieu de vie, Personne âgée, Accompagnement, Soin, Hébergement, Aidant familial, Diagnostic, Vie quotidienne, Autonomie, Image de soi, Liberté, Risque, Sécurité, Projet, Foyer logement

Cet ensemble de 4 films permet de découvrir l’'approche Carpe Diem, sa philosophie et son application au quotidien auprès des personnes vivant avec la maladie d’Alzheimer et de leurs proches. L'approche Carpe Diem est basée sur la personne, qui n'est pas réduite à sa maladie. C'est l'institution qui s'adapte au malade et non l'inverse. Nous suivons le personnel et les personnes accueillies au quotidien dans cette résidence où se pratique un accueil singulier basé sur une approche humaniste.

Loczy, une maison pour grandir

Film de Bernard MARTINO, 2007.

Mots clés : Petite enfance-Périnatalité, Enfant, Abandon, Prise en charge, Soin, Éducation, Geste, Attachement, Autonomie, Relation, Placement familial, Famille d'accueil, Développement, Observation, Témoignage, Vie quotidienne, Hygiène, Pouponnière, LOCZY, HONGRIE

"Loczy, une maison pour grandir" relate l'histoire d'une pouponnière fondée à Budapest, Hongrie, en 1947 par Emmy Pickler, une pédiatre aux idées révolutionnaires. Au coeur de la prise en charge des enfants abandonnés, l'idée que le "bébé est une personne". Bernard Martino a filmé le lieu, les nourrices et les enfants depuis 1982 et a recueilli un témoignage précieux sur cette expérience. Il capte le travail des nourrices : soins, verbalisation, gestes professionnels et la formation qu'elles suivent. Il filme les enfants dans leurs activités quotidiennes : repas, toilettes, jeux, repos. Et au delà de ce travail d'observation, il interroge le rapport des nourrices aux enfants en posant la question de l'attachement et de l'autonomie de l'enfant. Il questionne également le devenir des enfants, l'ouverture au monde extérieur et le départ attendu.
Bernard Martino boucle la boucle en suivant ce que deviennent les enfants après avoir quitté Loczy. Il retrouve ainsi des anciens dans leur famille d'accueil ou lors d'une visite à Loczy.
Le film se compose en deux parties. Des suppléments viennent compléter le film : "Cette maison où j'ai grandi" (30') : une fête des anciens où Bernard Martino retrouve des jeunes filmés des années auparavant. "Grandir l'été" (42'). "Myriam David, rencontre avec une grande dame" (40')

Comme les z'autres

Film de Jill EMERY, 2004.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Personne handicapée, Vie quotidienne, Norme sociale, CAT, SAAD, Autonomie, Parentalité, JURA

« Bruno, Denise, Nicole, Mickaël, Nadine et d'autres personnages de ce film vivent dans une ZUP à Dole dans le Jura et travaillent en CAT. Le groupe est soutenu par des éducateurs d'un service d'accompagnement. Denise a été stérilisée après la naissance de ses jumeaux. Nicole, drôle et provocatrice, rêve de refaire sa vie avec un "normal". Mickaël, raciste et lepeniste, analyse les indices concernant le meurtre commis dans sa tour. Nadine élève seule sa petite fille qui un jour "lui apprendra à lire". Bruno s'apprête à affronter sa vie sans éducateurs.
Ce mot "handicapé" est une négation de leur aspiration d'être comme tout le monde et les blesse profondément. Ils veulent vivre : aimer, être aimés, fonder une famille, rire et pleurer... se fondre dans la foule. »