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Conclusions : réflexions synthétiques pour remédier aux inconvénients de l’enchevêtrement des administrations sociales et assurer un meilleur service public social

Article de Michel Laroque, Marc de Montalembert

Paru dans la revue Vie sociale, n° 41-42, juin 2023, pp. 227-232.

Mots clés : Action sociale : histoire et perspectives, Décentralisation, Politique sociale, Organisation, Culture, Acteur social, Participation, Usager

Il n’est pas dans les habitudes de Vie sociale de tirer des conclusions après les articles d’un numéro. Cependant, de la richesse des contributions des auteurs qui ont participé à ce numéro de Vie sociale peut être dégagée une synthèse constructive tout juste quarante ans après l’acte I de la décentralisation (loi du 22 juillet 1983 sur la répartition des compétences entre les communes, les départements, les régions et l’État).

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Les administrations centrales face aux autres acteurs de la politique de l’État dans le champ social : concurrence ou complémentarité ?

Article de Denis Piveteau

Paru dans la revue Vie sociale, n° 41-42, juin 2023, pp. 75-86.

Mots clés : Action sociale : histoire et perspectives, Administration, Délégation, Ministère, Politique sociale, Décentralisation

Les administrations centrales de l’État en charge des politiques sociales n’ont pas, comme leurs homologues de la santé, connu la vague de création d’établissements publics, ayant traduit à la fin du XXe siècle ce qui a été souvent déploré comme un « démembrement » de l’action publique.
En revanche, on a pu constater l’émergence de diverses structures, délégations ou missions, en général éphémères mais chargées d’importantes priorités politiques, dont le positionnement a pu paraître insolite car, faute de disposer d’une personnalité morale propre, elles agissent au nom de l’État mais en échappant très largement à l’autorité des administrations centrales.
Comment expliquer cette présence, dont les mérites d’agilité et de dynamisme se paient de possibles empiètements ? En partie par les difficultés récurrentes du pilotage interministériel, dans un domaine où il est structurellement nécessaire. Mais en partie aussi par l’indispensable articulation à trouver avec d’autres acteurs extérieurs à l’État.
Plutôt que leur disparition, c’est donc leur installation structurée qu’il faudrait savoir penser.

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