Vous êtes étudiant, professionnel, enseignant, documentaliste, chercheur en travail social ?
Accédez ici à tous les outils de PRISME vous permettant de chercher de la documentation et de suivre une veille documentaire spécialisées dans le secteur des sciences sociales et de l'action sociale.
En crise, l’hôpital psychiatrique va devoir continuer à se serrer la ceinture et apprendre à sortir de ses murs. Après avoir fermé des lits sans déployer une réelle offre alternative, l’État compte sur les professionnels et les personnes concernées pour réfléchir à des parcours de soins porteurs d’espoir, de pouvoir d’agir et d’un moindre recours aux hospitalisations.
Développée par le psychologue américain Garry Prouty dans les années 1960, la pré-thérapie reste un outil encore peu connu en France. Mais en Belgique certains établissements psychiatriques ont fait le choix de s'inspirer de cette approche relationnelle singulière.
Paru dans la revue Lien social, n° 1228, 1er au 14 mai 2018, p. 22.
Mots clés : Travail social : Établissements, Santé mentale-Souffrance psychique, Psychiatrie, Établissement de santé, Pratique professionnelle, Accompagnement, Étude de cas, Transfert d'établissement, Belgique, Seine Saint Denis
Un groupe de travail de l'établissement public de santé de Ville-Evrard publie une étude sur les pratiques d'accompagnement au départ des patients.
Paru dans la revue Lien social, n° 1227, 17 au 30 avril 2018, pp. 18-19.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Concept, Psychiatrie, SDF, Squat, Santé mentale, Politique sanitaire, Innovation sociale, Guérison, Réinsertion sociale, Médecins du Monde, Un chez soi d'abord, Logement d'abord, Marseille, Etats Unis
Vincent Girard se présente comme rugbyman, il est aussi psychiatre. En 2005, il a importé des États-Unis la pratique du rétablissement en faisant de Marseille son terrain d'expérimentation.
Au nord de la Finlande, une équipe pluridisciplinaire développe une approche de soin en santé mentale basée sur l'échange avec le patient et ses proches.
Marseille accueille un nouvel outil de rétablissement depuis janvier 2017. Le lieu de répit élabore une alternative aux urgences psychiatriques avec la participation des personnes concernées. Le collectif anime un laboratoire porté par l'entraide interpersonnelle et l'échange d'expériences.