Article de Jean Pierre Klein
Paru dans la revue Le Sociographe, n° 63, septembre 2018, pp. 79-89.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Psychanalyse, Musicothérapie, Psychologie clinique, Psychiatrie infantile, Art-thérapie
L’auteur pose d’abord trois apories de la musicothérapie : la musique comme médicament, la musique comme prétexte à interprétations psychanalytiques sur le compositeur, la musicothérapie comme distincte de l’art-thérapie. Il donne ensuite deux exemples de poses d’indications selon la “stratégie du détour” : violence musicale contre violence réelle ; disjonction forme/contenu. Il relate ensuite des expériences autour d’instruments traditionnels : la txalaparta, la chabrette et des instruments inédits : les handpans. Il dégage enfin la spécificité de la musicothérapie qui saisit de façon éphémère l’impalpable de l’inconscient, voire de l’âme elle-même.
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