Documentation sociale

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Je suis… Ambassadrice en Santé mentale

Article de Anissa Boungab

Paru dans la revue Pratiques en santé mentale, n° 3, septembre 2023, pp. 73-76.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Témoignage, Prévention, Jeune, Service civique volontaire

Ayant toujours eu un rapport à l’école plutôt tumultueux c’est tout naturellement que l’idée de faire une pause dans mes études est apparue chez moi après l’obtention de mon baccalauréat. Voulant être éducatrice spécialisée depuis ma première année de collège je savais dans quel domaine m’orienter et je savais aussi que pour se faire, il fallait de l’expérience.
C’est de là qu’est née mon envie de faire un service civique, le service civique est un engagement volontaire pour une durée de 6 à 12 mois au service de l'intérêt général, ouvert aux jeunes de 16 à 25 ans (jusqu'à 30 ans pour les jeunes en situation de handicap) Il permet de réaliser une mission d'intérêt général dans différents domaines tels que la solidarité, l'environnement, la culture, le sport, l'éducation, la santé, etc. En tant que volontaires nous recevons une indemnité mensuelle (600 euros pour 28h hebdomadaire) et bénéficions d'une formation civique et citoyenne. Le service civique vise à favoriser l'engagement des jeunes dans la société et à renforcer la cohésion sociale.
Le 8 juillet 2022 j’entre pour la première fois dans les locaux de l’association Unis-Cité pour une séance d’information suivie d’un entretien afin de définir si j’étais apte à faire partie de cette association et c’était le début d’une année pleine d’émotions. La séance d’information m’a permis d’apprendre à connaître Unis-Cité, le service civique, mais avant tout les missions proposées ; sans vous cacher mes appréhensions étant donné que je ne connaissais pas réellement le milieu associatif, ce qui fut pourtant ma meilleure expérience…

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La chronicité

Article de Viviane Botet, Alice Cousin, Nadine Dovonou, Mélissa Kaya

Paru dans la revue Pratiques en santé mentale, n° 2, avril-juin 2023, pp. 37-40.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Maladie chronique, Chronicité

Nous, soignants du Centre d’Accueil avons travaillé le terme chronicité en évoquant ceux qui sont devenus les habitués de notre centre. Nous constatons chez ces patients des possibilités de relations et de vigilance tout à fait surprenantes. Ensemble, soignants et habitués, nous avons développé des relations attentives sans aucune attente.

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Handicap psychique et fracture numérique. Quelles solutions pour favoriser l’inclusion sociale ?

Article de Stéphanie Soto

Paru dans la revue Pratiques en santé mentale, n° 1, janvier-mars 2023, pp. 21-26.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Handicap-Situations de handicap, Accompagnement de la personne et identité, Handicap psychique, Insertion sociale, Technologie numérique

Portés par une réflexion collective du Comité Local de Santé Mentale (CLSM), les professionnel(le)s de l’antenne de Pézenas du SAVS de l’Association AVH, ont réfléchi à l’impact de la fracture numérique sur le public accompagné. Ils proposent quelques pistes d’actions concrètes afin d’améliorer l’accès des usagers à ces pratiques et, partant, de leur permettre un meilleur pouvoir d’agir en vue de construire leur propre vie en diminuant leur dépendance vis-à-vis de leurs aidants.

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Psychothérapie institutionnelle et réseau

Article de Pierre Godart

Paru dans la revue Pratiques en santé mentale, n° 4, décembre 2022, pp. 57-64.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Psychothérapie, Institution, Trouble de la personnalité

Il s’agit pour l’auteur d’essayer de comprendre comment les outils de la psychothérapie institutionnelle peuvent être utiles pour une pratique collaborative entre un certain nombre d'acteurs du médical et du social. Reprenant la distinction de François Tosquelles entre établissements et institutions, l’auteur affirme qu'il ne faut pas seulement distribuer çà et là sur le territoire d'un pôle ou d'un secteur les équipements prévus par l'arrêté du 14 mars 1986, ou d'y répartir les structures prévues par le plan santé mentale de 2005. Il est nécessaire de travailler les liens entre les services et les acteurs ainsi que les possibilités de circulation entre tous ces lieux pour les personnes concernées par les troubles psychiques. Ce travail de lien n'est pas seulement administratif avec des conventions entre acteurs de réseaux ou encore du PTSM. C'est un travail de reconnaissance du point de vue de l'autre. C'est un travail humain, sans fin.

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Les psychologues

Article de Samuel Lannadère, Joanne André, Jean-Michel Coq, et al.

Paru dans la revue Pratiques en santé mentale, n° 3, mai 2022, pp. 3-82.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Psychologue, Formation professionnelle, Psychothérapie, Théorie, Pratique professionnelle

"...A l’heure où les débats font rage concernant la prise en charge par la Sécurité sociale d’un certain nombre de séances de thérapie chez un psychologue, nous décidons d’entendre les différentes critiques opposées à ce dispositif comme autant de questions au cœur de sa pratique. Si ses fonctions de thérapeute sont assez présentes à l’esprit de tous, les méthodes thérapeutiques et les références théoriques demeurent aujourd’hui plurielles et souvent polémiques. Comment les psychologues pensent-ils les relations entre la théorie à laquelle ils se réfèrent et leur pratique ? Considère-t-on que l’exercice en libéral, souvent centré sur l’exclusivité d’une relation à deux, fonctionne sur les mêmes bases que celui en institution. Bien sur, l’actualité législative oriente ces questions du côté de la pratique en libéral. La proposition de remboursement d’un certain nombre de séances par la sécurité sociale et prescrites par un médecin clive les praticiens. Nous avons voulu entendre les deux côtés. Malheureusement, la ministre de la Santé, prenant tout juste ses fonctions, n’a pas eu le temps de valider le texte écrit par le cabinet précédent. S’il nous parvient, nous ne manquerons pas de le publier dans un prochain numéro. Si la prescription médicale d’une thérapie en libéral pose les enjeux de l’indépendance des psychologues par rapport à la médecine, dans les institutions, la question se pose autrement : la prise en charge des patients s’appuie sur des rapports complexes et nécessaires entre les intervenants, entre les différents corps de métier. Comment sont perçues par les autres acteurs du soin les fonctions du psychologue, souvent à l’ombre du devoir de discrétion ? On peut aussi se demander comment les usagers eux-mêmes peuvent se saisir des soins proposés par les psychologues.
Car la fonction thérapeutique du psychologue clinicien prend plusieurs formes : tour à tour accompagnant, animateur, superviseur, consultant ou encore exerçant des fonctions d’encadrement (quand il exerce en institution), d’évaluation ou d’orientation, la multiplicité de ses casquettes redouble la difficulté à saisir d’une manière unitaire sa pratique.
Nous sommes allés à la rencontre des psychologues...."

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Créativité et santé mentale

Article de Nathalie Marty Aoustin, Françoise Galinon, Bernard Royer de Véricourt, et al.

Paru dans la revue Pratiques en santé mentale, n° 2, mai 2022, pp. 3-71.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Santé mentale, Relation soignant-soigné, Créativité, Travail, Accompagnement, Projet professionnel, Réinsertion professionnelle, Art-thérapie

"...Vous allez découvrir dans ce numéro des lieux inventifs, des alliances professionnels & pair-aidants, des tissages institutionnels qui associent les politiques, les proches, l’environnement… Certains textes envisagent ce qui est à l’œuvre dans la fracture psychotique, et cette créativité nécessaire de chaque jour. Il est question aussi des ancêtres des GEM, de ces associations fruit d’une grande créativité, au tout début d’une révolution, vers un mouvement d’empowerment qui a toute sa place aujourd’hui. Dans ce numéro donc, on parle de jouer, de créer ensemble. On y travaille l’insertion. On y sent toute la dynamique des tissages qui accompagnent le rétablissement...."

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