Article de Virginie Grosset
Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 377, mai 2024, pp. 30-33.
Mots clés : Petite enfance-Périnatalité, Soutien à la parentalité, Nourrisson, Soin, Prématurité, Alimentation, Développement sensoriel, Oralité, Stimulation, Plaisir, Peau, Relation enfant-parents, Puéricultrice, Observation
Le développement optimal de l’oralité de l’enfant né prématurément est l’un des objectifs majeurs de la puéricultrice en néonatalogie. Cette dernière l’accompagne dans l’acquisition de ses compétences orales et vise son autonomie alimentaire. Dans ce contexte particulier, la question de l’alimentation est centrale pour le père et la mère, qui doivent trouver leur place en tant que parent nourricier.
Article de Gaëlle Grusse Dagneaux
Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 345, mars 2021, pp. 12-17.
Mots clés : Petite enfance-Périnatalité, Prématurité, Oralité, Nourrisson, Soin, Fœtus, Alimentation
Neuf mois et bébé arrive, muni d’un arsenal lui permettant d’affronter un monde nouveau. Plus de “cathéter” placentaire pour assurer sa nutrition, les poumons déployés, il va pouvoir, après un premier cri, attirer l’attention pour communiquer ses besoins, qui lui étaient, jusqu’à présent, perfusés. Survie et communication, besoins alimentaires et reconnaissance en tant que petit être, le nouveau-né doit investir son oralité alimentaire et verbale pour vivre. L’oralité est comme un “kit de survie”. Mais certains bébés naissent bien avant l’heure. Leur oralité est encore en ébauche, émergente, pas suffisamment opérationnelle pour assurer leur protection. Ils auront besoin de soins spécifiques pour que se développent pleinement toutes les fonctions de leur sphère orale.
Article de Coralie Martin
Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 345, mars 2021, pp. 18-23.
Mots clés : Petite enfance-Périnatalité, Oralité, Nourrisson, Prévention, Soin, Développement sensoriel, Alimentation, Trouble du comportement alimentaire, Puéricultrice, Famille, Stimulation, Goût, Sens, Soutien à la parentalité
Le soutien à l’oralité est longtemps resté au second plan dans les services de néonatalogie. Pourtant, des aversions alimentaires et des troubles de l’oralité avec un impact très lourd sur la vie de l’enfant peuvent apparaître. Comment faire en sorte que l’alimentation des enfants les plus vulnérables devienne un plaisir ? Retour d’expérience d’une puéricultrice, référente en oralité, qui travaille sur la prévention des dystimulations orales en néonatalogie, en lien avec la famille.
Article de Aurélie Guillou, Jacques Sizun
Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 324, février 2019, pp. 14-19.
Mots clés : Petite enfance-Périnatalité, Prématurité, Alimentation, Soin, Développement, Stimulation, Nourrisson
Sur une période allant de 2002 à 2018, le service de néonatalogie du centre hospitalier de Saint-Brieuc (22) a implanté successivement le programme sensori-moteur conceptualisé par André Bullinger, puis le programme néonatal individualisé d’évaluation et de soins de développement NIDCAP®. Fruit d’une réflexion multidisciplinaire, guidée par un leadership médical, infirmier et institutionnel, et soutenue par une association d’usagers, cette implantation réussie a permis une personnalisation des soins des nouveau-nés prématurés et une meilleure intégration des parents.