Article de Daniel Verba
Paru dans la revue Pensée plurielle, n° 51, 2020, pp. 16-27.
Mots clés : Travail social : Métiers, Radicalisation, Concept, Recherche en sciences sociales, Intervention sociale, Protection de l'enfance
Depuis près de 20 ans, la notion de radicalisation a imposé aux travailleurs sociaux un nouveau vocabulaire dans le champ sémantique de
l’action sociale. Poussés par les pouvoirs publics à exercer une surveillance accrue sur les jeunes pour identifier les éventuels signes de radicalité, les professionnels oscillent entre une légitime préoccupation et une prudence éthique afin de ne pas dévoyer leurs missions de protection de l’enfance.
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Article de Delphine Rideau
Paru dans la revue Pensée plurielle, n° 51, 2020, pp. 97-107.
Mots clés : Travail social : Métiers, Intervention sociale, Parents, Adolescent, Radicalisation, Prévention, Résilience, Réseau Virage, Grand Est
L’auteure présente une expérience professionnelle construite en équipe interdisciplinaire et en réseau d’acteurs de santé publique et de cohésion sociale. Elle pose dans un premier temps la question du pluriel des radicalisations violentes et du risque contreproductif de n’en traiter qu’une, dans un contexte de plus en plus fort de polarisation sociale. Ce contexte de polarisation de la société n’épargne pas les familles et communautés au sens large et peut lui-même produire des radicalisations. Il n’épargne pas non plus les professionnels et institutions, et plus largement l’ensemble des acteurs de la société. Pour tenter de répondre à cette problématique, l’auteure soumet un dispositif de co-intervention entre familles et professionnels au regard extérieur, et l’interroge en tant que dispositif de résilience collective.
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Article de Kheira Belhadj Ziane
Paru dans la revue Pensée plurielle, n° 44, 2017, pp. 47-57.
Mots clés : Lien social-Précarité, Honte, Intervention sociale, Usager, Médiation, Activité culturelle, Canada, Québec
La honte est une dimension peu étudiée dans le champ du travail social. Or cette émotion est l’une des plus redoutables qui soit, tant au niveau individuel que collectif. Dans nos sociétés occidentales contemporaines, le mythe de l’acteur homérique a produit une stigmatisation des usagers de l’intervention sociale. Définis à travers des archétypes dévalorisés, le processus de désignation relié à leur non-conformité les expose de manière explicite à vivre l’expérience de la honte, d’autant plus lorsqu’il entre en relation avec un intervenant social. Cet article présente les résultats d’une recherche évaluative réaliste d’une pratique sociale originale de médiation culturelle, Cultures du coeur-Québec, à travers laquelle nous avons identifié des stratégies d’intervention faisant implicitement usage de la honte et d’autres qui contiennent le potentiel de dégager les usagers des aspects néfastes de cette émotion.
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Article de Annie FONTAINE
Paru dans la revue Pensée plurielle, n° 30-31, octobre 2012, pp. 83-96.
Mots clés : Lien social, Anthropologie, Rue, Intervention sociale, Interaction
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Article de Jonathan PAQUETTE
Paru dans la revue Pensée plurielle, n° 29, pp. 99-110.
Mots clés : État, Intervention sociale, Culture, Politique culturelle, Savoir, ROYAUME UNI DE GRANDE BRETAGNE ET D'IRLANDE DU NORD
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Article de Manuel BOUCHER
Paru dans la revue Pensée plurielle, n° 29, pp. 75-98.
Mots clés : Intervention sociale, Parentalité, Enquête, Méthodologie, Relation travailleur social-usager, Travail social, Famille, Émancipation, Contrôle social, Sécurité, REAAP
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Article de Philippe LYET
Paru dans la revue Pensée plurielle, n° 25, pp. 9-25.
Mots clés : Milieu rural, Exclusion sociale, Pauvreté, Territoire, Typologie, Intervention sociale, RECLUSION
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