Article de Florent CADET
Paru dans la revue Le Journal des psychologues (le mensuel des professionnels), n° 316, avril 2014, pp. 60-64.
Mots clés : Psychologue, Pratique professionnelle, Insertion sociale, Insertion professionnelle, Épistémologie, Subjectivité, GAGNEPAIN (JEAN)
Par-delà la performance économique et la raison sociale, l'insertion professionnelle ne répondrait pas à la seule volonté de trouver un travail, mais devrait être aussi l'occasion, pour le sujet, de rencontrer son désir. Au psychologue de s'éloigner de l'insertion normative et de chercher, avec le sujet, l'objet de son insertion subjective.
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Article de Marion GRANDIERE, Véronique DELVENNE, Isabelle LAMBOTTE
Paru dans la revue Le Journal des psychologues (le mensuel des professionnels), n° 313, décembre 2013-janvier 2014, pp. 61-64.
Mots clés : Psychologue, Hôpital, Pédiatrie, Pratique professionnelle, Soutien psychologique, Enfant, Malade, Parents, Relation soignant-soigné, Relation enfant-parents, BELGIQUE
" En France, le statut du psychologue à l'hôpital est assez récent. Défini par la loi n°91-478 de 1991 portant réforme hospitalière du code de santé publique, il ne recouvre pas la fonction de psychologue de liaison contrairement à la Belgique. Au service de néphrologie-dialyse et unité de psychologie de l'hôpital universitaire des enfants de Bruxelles, l'exercice de la psychologie de liaison est quotidien. En voici un témoignage."
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Article de Marie Jean SAURET, Michel CHAUVIERE, Vincent de GAULEJAC, et al.
Paru dans la revue Le Journal des psychologues (le mensuel des professionnels), n° 307, mai 2013, pp. 16-60.
Mots clés : Évaluation, Pratique professionnelle, Analyse critique, Psychologue, Psychologue clinicien, Psychiatre, Travailleur social, Action sociale, Établissement social et médicosocial, Évolution, Entreprise, Ressources humaines, Idéologie, Souffrance psychique, Travail, Psychanalyse, Individu, Sujet
"Le dossier de ce mois, centré sur l'évaluation telle qu'elle se généralise, est une réflexion, mais aussi une forme de mise en garde-parmi d'autres-devant la relégation au second plan de la pensée, si nécessaire dans nos secteurs d'activité pour rendre compte, justement, de la complexité de l'être humain, pour tout simplement travailler entre professionnels et avec les "usagers". Les contributions des différents auteurs appellent aussi à un renouvellement des pratiques et à faire de la réflexion de chacun l'outil de travail princeps plutôt que de s'en remettre à la normalisation. Céder à cette tendance serait en quelque sorte se démettre de son travail, privilégier la forme sur le fond et rendre tellement transparentes nos pratiques qu'elles en seraient vidées de leur sens"
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