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Puisant sa sève des observations relevées et enquêtes menées auprès des jeunes lors du premier confinement à Bruxelles, le présent article vise à rendre compte des rapports entretenus entre la crise, le lien social et la jeunesse bruxelloise face à la pandémie de la COVID-19. Entre disqualification au sein des familles et désaffiliation avec l’institution scolaire, ce développement donne à voir comment les rapports à l’altérité ainsi que les formes de sociabilité et d’individualisation se redessinent chez les jeunes bruxellois issus des quartiers dits « populaires » à mesure qu’évolue la crise sanitaire. L’article tend également à comprendre comment la crise, malgré ses multiples acceptions et sa longue trajectoire historique, est aujourd’hui, contre toute attente, une opportunité sociographique de relever à la fois des formes de coopération, de maintien du lien et d’engagement social chez les jeunes dans les quartiers « populaires » de la capitale belge.
Paru dans la revue Economie et statistique, n° 383-384-385, 325 p..
Mots clés : Pauvreté, Salaire, Revenu minimum, Consommation, Bien-être, Population, Statistiques, Mode de vie, Conditions de vie, Niveau de vie, Jeune, Émancipation, Exclusion sociale, Pays émergent, Inégalité, Milieu rural, Agriculture, AUTO-CONSOMMATION, BRESIL, ESPAGNE, FRANCE, ROYAUME UNI DE GRANDE BRETAGNE ET D'IRLANDE DU NORD, MADAGASCAR, POLOGNE, PORTUGAL, ROUMANIE, FEDERATION DE RUSSIE