Livre, édité par FNARS, publié en 2016.
Mots clés : Sortant de prison, Contrôle judiciaire, Accompagnement social, Sanction pénale, Médiation, Peine de substitution, Accueil, Milieu ouvert, Hébergement, Logement, Insertion professionnelle, Insertion sociale, Travail social, Réseau, Partenariat, alternative
Les associations du réseau FNARS qu’elles soient centres d’hébergement, accueils de jour, ateliers ou chantiers d’insertion, sont susceptibles d’accueillir et d’accompagner des personnes ayant connu la justice ou en cours d’exécution d’une mesure de justice. Ces personnes peuvent exécuter une mesure alternative à la prison ou sortir de prison après avoir effectué l’intégralité de leur peine. Ces peines en milieu ouvert, au sein de la société, font sens en cumulant sanction et accompagnement. En proposant un accompagnement social, les associations adhérentes à la FNARS contribuent à maintenir des perspectives d’insertion et réparer l’effet désocialisant de la détention ou l’effet de marginalisation lié à un historique judiciaire. Ces associations participent à la mise en place des moyens d’une réinsertion durable dans la société des personnes placées sous main de justice. Elles favorisent ainsi la lutte contre la récidive par la construction progressive d’un projet d’insertion.
Livre de Luce Dupraz, Élisabeth Badinter, édité par Erès, publié en 2012.
Mots clés : Petite enfance-Périnatalité, Crèche, Association, Laïcité, Expérience, Témoignage, Accueil, Mixité sociale, Interculturel, Mère, Insertion sociale, Insertion professionnelle, Femme, Émancipation, Banlieue, Projet d'établissement, Projet pédagogique
"L'histoire de Baby-Loup nous concerne tous, hommes et femmes qui avons des enfants, hommes et femmes politiques, hommes et femmes qui aspirons à vivre ensemble quelles que soient les difficultés sociales, économiques ou familiales que nous rencontrons. Parce que Baby-Loup met en œuvre simultanément deux types d'action, l'accueil des enfants en fonction des besoins de parents, notamment de ceux qui, de plus en plus nombreux, ont des horaires décalés, et la formation professionnelle de femmes qui, du fait de leur âge, de leur situation familiale et de leur faible niveau scolaire, n'entrent pas dans les critères classiques de réinsertion, cette institution concentre en un même lieu les contradictions de la société française, les lâchetés des uns, le courage et la détermination des autres."
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