Livre de Marshall B. Rosenberg, Deepak Chopra, Arun Gandhi, Charles Rojzman, édité par la Découverte, publié en 2016.
Mots clés : Communication, Non-violence, Concept, Émotion, Colère, Morale, Aliénation, Besoin, Demande, Observation, Attitude, Écoute, Responsabilité, Empathie, Conflit, Médiation, Communication verbale, Méthodologie, Relation éducative, Relation pédagogique, Relation interpersonnelle
La plupart d'entre nous avons été élevés dans un esprit de compétition, de jugement, d'exigence et de pensée de ce qui est " bon " ou " mauvais ". Au mieux, ces conditionnements peuvent conduire à une mauvaise compréhension des autres, au pire, ils génèrent colère, frustration, et peuvent conduire à la violence. Une communication de qualité entre soi et les autres est aujourd'hui une des compétences les plus précieuses. Par un processus en quatre points, Marshall Rosenberg met ici à notre disposition un outil très simple dans son principe, mais extrêmement puissant, pour améliorer radicalement et rendre vraiment authentique notre relation aux autres. Grâce à des histoires, des exemples et des dialogues simples, ce livre nous apprend principalement : à manifester une compréhension respectueuse à tout message reçu ; à briser les schémas de pensée qui mènent à la colère et à la déprime ; à dire ce que nous désirons sans susciter d'hostilité et à communiquer en utilisant le pouvoir guérisseur de l'empathie. Cette nouvelle édition est par ailleurs enrichie d'un important chapitre sur la médiation et la résolution des conflits.
Formé à la psychothérapie psychanalytique et docteur en psychologie clinique, Marshall B. Rosenberg a fondé en 1984 le Center for NonViolent Communication (CNVC), organisation internationale uvrant pour la paix dans plus de 60 pays, et en a occupé pendant de nombreuses années la fonction de directeur des services pédagogiques. Il est l'auteur de nombreux ouvrages, dont le best-seller Les mots sont des fenêtres (ou bien ce sont des murs), vendu à plus d'un million d'exemplaires à travers le monde. Il a été distingué pour son action par de nombreux prix. Il est décédé en 2015.
Livre de Guy Tisserant, Henri Jacques Stiker, Alain Seguy, édité par Pearson éducation, publié en 2012.
Mots clés : Personne handicapée, Handicap, Représentation sociale, HISTOIRE, Image mentale, Discrimination, Égalité des chances, Concept, Norme, Norme sociale, Risque, Entreprise, Management, Besoin, Évaluation, Recrutement, Discrimination positive
Malgré les lois et les pénalités financières qui accompagnent celles-ci, source pour les entreprises de lourdes dépenses, peu d'entreprises atteignent le taux légal d'emploi de travailleurs handicapés, physiques et/ou mentaux. Pourquoi ? Quels sont les blocages qui se cachent derrière cette réalité ? L'auteur commence par donner des éléments de compréhension des enjeux sous-jacents à cette problématique, avant de proposer des outils concrets permettant l'intégration de travailleurs handicapés dans l'entreprise, et introduit à cet effet le principe de compensation, qu'il a développé en tant que consultant spécialisé. Enfin, il élargit la question à la diversité en général, soulignant le bénéfice que l'on peut tirer de la prise en compte des singularités, qui peut être un formidable accélérateur d'évolution pour l'organisation.
Livre de Marie Claire Haelewyck, Véronique Gousée, édité par l'Harmattan, publié en 2010.
Mots clés : Démarche qualité, Évaluation, Qualité, Concept, Établissement social et médicosocial, Expérience, Recherche-action, Motivation, Méthodologie, Projet, Usager, Besoin, Adaptation, Réseau, Organisation du travail, Relation professionnelle, Accompagnement, Entretien, Questionnaire
Lorsqu'on parle de l'évaluation du service, il s'agit notamment d'évaluer les actions menées et les méthodologies utilisées. L'évaluation, qui permet de vérifier si les objectifs que l'organisme s'est fixés sont atteints, est souvent mal perçue et assimilée à la notion de contrôle. Pour cette raison, le principe d'autoévaluation semble très intéressant. En effet, il s'agit d'une participation volontaire des acteurs du travail social à un processus d'évaluation et cela implique un mode de management participatif plutôt qu'un contrôle exercé d'en haut. Tous les partenaires des organismes sont impliqués dans cette autoévaluation y compris les bénéficiaires et/ou leur(s) représentant(s). Ceci renforce la politique actuelle qui veut que la personne présentant un handicap soit au centre des projets la concernant. Marie-Claire Haelewyck est responsable du Service d'Orthopédagogie clinique et chargée de cours à l'Université de Mons. Ses activités de recherche sont centrées sur les méthodologies d'accompagnement en milieu intégré, sur l'évaluation et l'amélioration de la qualité de vie et des services proposés aux personnes ayant des besoins spécifiques ainsi que sur la défense des droits des personnes. Véronique Gousée est licenciée en psychologie, elle a été assistante de recherche et formatrice au service d'orthopédagogie clinique de l'université de Mons. Actuellement, elle est inspectrice pédagogique audit de qualité des services externes au sein de l'agence wallonne pour l'intégration des personnes handicapées (AWIPH).
Article de Jean Alain MARIOTTI
Paru dans la revue Avis et rapports du conseil économique et social, n° 1, 143 p..
Mots clés : Service public, Concept, Secteur privé, Secteur public, Besoin, Usager, Inégalité, Milieu urbain, Milieu rural, Coût, Qualité, Élu local, Changement, Décentralisation, Intercommunalité, Union européenne, Aménagement du territoire, Activité de service, Territoire, Lien social, TIC, INTERET GENERAL, MARIANNE (CHARTE), EUROPE, FRANCE D'OUTREMER
Face aux multiples mutations qui touchent la société, l'évolution des services publics est inéluctable. Pour le CES, l'action doit désormais reposer sur la notion de services au public, notion qu'il estime plus adaptée à la réalité et qu'il définit comme l'ensemble des services, publics et privés, nécessaires à la vie des populations et des territoires à un moment donné. Il fait des propositions pour mieux évaluer les besoins, favoriser davantage les partenariats, prendre en compte la diversité des territoires, permettre les adaptations dans le temps, responsabiliser les usagers et intéresser les personnels.