Article de Maxime Ricard
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3259, 13 mai 2022, pp. 22-23.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Homosexualité, EHPAD, Accueil, Accompagnement, Invisibilité sociale, Travailleur social, Équipe soignante, Pratique professionnelle, Formation, Mixité sociale, Intimité, Identité sexuelle
Pour lutter contre l’invisibilisation des personnes âgées homosexuelles en établissement d’hébergement, l’association GreyPride s’attache à sensibiliser les professionnels au respect de l’intimité et à la diversité des orientations sexuelles à travers une formation.
Article de Sophie Massieu, Maxime Ricard, Brigitte Bègue
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3194, 29 janvier 2021, pp. 6-13.
Mots clés : Santé-Santé publique, Fin de vie, Accompagnement de fin de vie, EHPAD, Personne âgée, Personne handicapée, Formation professionnelle, Développement, Travail social, Équipe soignante
Dossier composé de quatre articles :
- Établissements médico-sociaux : le tabou de la mort recule pas à pas
- Fin de vie : un nécessaire accompagnement
- Formation : des programmes cousus main
- « La mort est d’abord un fait social »
Article de Alexandra Marquet, Maxime Ricard, Etienne Bataille, et al.
Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 35, octobre-décembre 2019, pp. 10-22.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Vieillissement, Dépendance, Liberté, Sécurité, Autonomie, EHPAD, Maintien à domicile, Équipe soignante, Personne âgée, Contention, Care, Soin, Bientraitance, Accompagnement, Risque, Vulnérabilité, Législation
Que faire face à une personne qui déambule, erre puis part bien décidée à retrouver son chez-soi d'autrefois ? Et que dire... quand une personne vivant seule, en perte d'autonomie, se retrouve couchée le soir à 20 h avec la barrière relevée pour éviter une chute au beau milieu de la nuit quand elle cherchera à se lever dans le noir. Elle restera donc allongée pendant dix voire douze heures, contre sa volonté. Depuis plusieurs années, la contention, qu'elle soit physique ou médicamenteuse, est de plus en plus réglementée. Dans le même temps, les questions autour de l'éthique ont pris une part importante dans l'accompagnement des personnes souffrant de troubles cognitifs notamment. Les professionnels ont désormais à l'esprit le risque et le bénéfice de chaque soin. Mais entre la bienveillance de l'accompagnement et les restrictions des libertés, où mettre le curseur ? L'équation est quasiment impossible. La réponse est forcément personnalisée et individualisée, selon chaque situation, chaque cas. Et pour cause, il est facile de philosopher, d'évoquer ces questions lors de formation bien installé dans un fauteuil, entouré de collègues et experts, mais sur le terrain, au quotidien, à domicile comme en établissement, des décisions doivent et sont prises avec toujours le même objectif : protéger la personne, éviter qu'elle se blesse, qu'elle se perde, qu'elle se mette en danger... sans pour autant qu'elle ressente les contraintes qui provoquent inévitablement des troubles du comportement. (...)