Vous êtes étudiant, professionnel, enseignant, documentaliste, chercheur en travail social ?
Accédez ici à tous les outils de PRISME vous permettant de chercher de la documentation et de suivre une veille documentaire spécialisées dans le secteur des sciences sociales et de l'action sociale.
Paru dans la revue Le Journal des psychologues (le mensuel des professionnels), n° 301, octobre 2012, pp. 71-74.
Mots clés : Rôle, Pratique professionnelle, SUPERVISION EN TRAVAIL SOCIAL, PSYCHASOC-MONTPELLIER
"La fonction de supervision est souvent convoquée au sein des équipes de travailleurs sociaux, mais qu'en est-il de la place et du rôle du professionnel qui l'assurera? Quelle est la nature de ses interventions ? Si la fonction de superviseur touche au désencombrement du transfert s'établissant entre un sujet et un professionnel, reste à voir les paradoxes de cette position et les exigences qu'elle requiert."
Article de Didier BERTRAND, Jean François COFFIN, Joseph ROUZEL, et al.
Paru dans la revue Forum (revue de la recherche en travail social), n° 130, décembre 2010, pp. 3-50.
Mots clés : Analyse de la pratique, Pratique professionnelle, Supervision, Organisme de formation, Établissement social et médicosocial, Résistance, Analyse institutionnelle, Parole, Écoute, Formation professionnelle, REPRESENTATION, Relation travailleur social-usager, Aide médico-psychologique, Identité professionnelle, Formation, Travailleur social
Paru dans la revue Les Cahiers de l'Actif, n° 386-387, juillet-août 2008, pp. 151-180.
Mots clés : Usure professionnelle, Vie quotidienne, Travail éducatif, Temps, Projet
Communication d'une conférence donnée le 25 avril 2007 à Bruxelles. "C'est une des difficultés de penser le quotidien car lorsque nous avons posé cela, « l'usure du quotidien, ça nous use » et bien on est pas tellement avancé. Dans la façon de présenter les choses par rapport au quotidien, l'usure, la répétition et ce que l'on appelle la routine, cette façon de le présenter fait opacité, fait obstacle à penser le quotidien en temps que tel. (...) C'est une des raisons pour lesquels, non seulement c'est difficile de penser le quotidien. Et lorsque j'ai cherché dans des travaux du côté de la philosophie et de la sociologie, on ne trouve pas grand-chose sur cette question précisément du quotidien, comme une masse opaque qui vient nous engluer. Au contraire des études sociologiques et anthropologiques qui ont été réfléchies par rapport aux rituels quotidiens tandis que la question du quotidien comme une masse opaque qui vient nous engluer, a été peu pensée" Extrait de l'introduction.