Documentation sociale

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L'album de vie des enfants placés : un acte de naissance qui reste à écrire

Article de Corinne Le Bars

Paru dans la revue La Revue française de service social, n° 284, mars 2022, pp. 72-77.

Mots clés : Enfance en danger-Protection de l’enfance, Enfant placé, Biographie, Outil

Depuis presque vingt ans, l’album de vie, outil biographique au service de l’enfant placé créé par Marceline Gabel, essaie de s’imposer dans les pratiques des services de l’aide sociale à l’enfance. De nombreux conseils départementaux l’expérimentent mais parfois sans en donner le « mode d’emploi » ou avec plus ou moins de restrictions. Le Pacte pour l’enfance l’a réintroduit dans ses propositions, mais il a encore une fois disparu des débats sur le projet de loi Taquet.

Mourir du travail

Article de Corinne Le Bars

Paru dans la revue La Revue française de service social, n° 283, décembre 2021, pp. 14-20.

Mots clés : Travail social : Métiers, Mort, Travail, Conseiller en économie sociale et familiale

Reconnaissance du burn-out : entre timides avancées et fausses joies

Article de Corinne Le Bars, Laurence Dumont

Paru dans la revue La Revue française de service social, n° 283, décembre 2021, pp. 37-42.

Mots clés : Travail-Emploi, Burn out, Reconnaissance, Maladie professionnelle, Vie politique

Le burn-out est encore aujourd’hui défini par l’Organisation mondiale de la santé comme un simple « syndrome résultant d’un stresse chronique au travail qui n’a pas été géré avec succès », mais pas comme une pathologie à part entière. En France, depuis 2015 et la loi Rebsamen, pas moins de trois propositions de lois ont été déposées en vue de faire reconnaître le burn-out comme maladie professionnelle. En vain. Pourquoi est-ce si difficile ? Quels en sont les enjeux ?

De la force et de la fragilité dans la souffrance au travail. Ce qu'une expérience de travail de groupe enseigne

Article de Chloé Duval, Corinne Le Bars, Marylène Nicolle

Paru dans la revue La Revue française de service social, n° 282, septembre 2021, pp. 88-95.

Mots clés : Travail social : Métiers, Assistant de service social, Salarié, Femme, Burn out, Travail social de groupe, Souffrance, Travail, CARSAT, Normandie

Les trois auteures (deux assistantes sociales et une bénéficiaire) rapportent leur expérience conjointe d’une intervention d’intérêt collectif au service social de la Caisse d’assurance retraite et de la santé au travail (CARSAT) Normandie auprès de sept femmes en situation de burn-out. Ce faisant, elles explorent la notion de fragilité appliquée à la sphère professionnelle, montrant que la souffrance au travail est une « pathologie des liens » et que le travail social de groupe permet d’en retisser avec soi et les autres.

La méthodologie des histoires de vie en travail social. Ou la coconstruction d'une historicité

Article de Corinne Le Bars

Paru dans la revue La Revue française de service social, n° 279, décembre 2020, pp. 62-68.

Mots clés : Travail social : Métiers, Récit de vie, Méthodologie, Travail social, ISIC

Les travailleurs sociaux disposent aujourd’hui d’approches qui offrent une chance aux personnes à qui l’on ne donne jamais la parole de faire le récit de leur vie. Parmi ces approches, la méthodologie des histoires de vie, inspirée par le courant de la sociologie clinique ou celui des histoires de vie en formation, permet, en relation individuelle ou au sein d’un groupe partageant des problématiques communes, de faire de leur récit une histoire.

Le "Logement d'abord", perturbateur des praticiens ?

Article de Corinne Le Bars, Arnaud Morange

Paru dans la revue La Revue française de service social, n° 278, septembre 2020, pp. 40-49.

Mots clés : Territoire-Logement, Logement, Rétablissement, Pair aidant, Culture professionnelle, Travailleur social, Logement d'abord

Le « Logement d’abord » est un dispositif permettant à des personnes sans-abri souffrant de pathologies psychiatriques et d’addictions d’accéder à un logement autonome sans avoir à franchir les étapes classiques de l’insertion par e logement et à prouver leur capacité à habiter. Il prévoit de faire appel à des travailleurs pairs ayant un vécu de la rue et faisant la médiation entre les locataires et les partenaires de l’action sociale et de la santé. Ce dispositif a fait ses preuves, mais a aussi montré quelques limites qui nécessitent de bousculer les représentations et la culture professionnelle des travailleurs sociaux.