Documentation sociale

Vous êtes étudiant, professionnel, enseignant, documentaliste, chercheur en travail social ?
Accédez ici à tous les outils de PRISME vous permettant de chercher de la documentation et de suivre une veille documentaire spécialisées dans le secteur des sciences sociales et de l'action sociale.

Réponses 1 à 3 sur un total de 3

Votre recherche : *

Policiers et éducateurs - Meilleurs ennemis

Article de Rozenn Le Berre, Katia Rouff Fiorenzi, Manuel Boucher

Paru dans la revue Lien social, n° 1283, 10 au 23 novembre 2020, pp. 18-24.

Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Police, Éducateur de rue, Violence, Quartier, Jeune en difficulté, Prévention spécialisée, Information, Recours, Discrimination, Paris

Dans les quartiers populaires, policiers et éducateurs se croisent, se toisent, se méfient souvent et se parlent parfois. Légitime apparait la colère des éducateurs quand des violences policières viennent mettre à mal leur travail et briser le lien de confiance patiemment tissé avec les jeunes. Pour autant, la réponse peut-elle être une rupture totale de liens, profession contre profession ?

Policiers et éducateurs : Meilleurs ennemis
Violences policières : Des jeunes à la barre
Entretien avec Manuel Boucher - Entre contrôle et émancipation

« Bandes de jeunes » : de quoi parle-t-on ?

Article de Manuel Boucher

Paru dans la revue Empan, n° 99, septembre 2015, pp. 17-19.

Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Groupe, Jeune, Bande, Socialisation, Marginalité, Histoire sociale

Ce texte présente rapidement une histoire des bandes de jeunes depuis le début du XXe siècle. Il en trace les constantes et les grandes lignes du rapport de la société avec ces modes de socialisation.

Accès à la version en ligne

Bandes juvéniles, cité ghetto et régulation des turbulences

Article de Manuel Boucher

Paru dans la revue Empan, n° 99, septembre 2015, pp. 20-26.

Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Groupe, Jeune, Quartier, Ghetto, Stigmatisation, Contrôle social, Bande, Police, Violence, Prévention de la délinquance

Dans un contexte craintif à l’égard de la jeunesse populaire et des « bandes juvéniles », cet article interroge la production de la régulation sociale des désordres dans les cités ségréguées d’un point de vue social et ethnique. En mobilisant les résultats d’une enquête sur les jeunes des quartiers populaires considérés comme « dangereux », ce texte souligne que c’est avant tout l’existence de logiques sécuritaires agressives produites par les forces de l’ordre et le redéploiement du contrôle social local opéré par une pluralité de promoteurs de morale qui sont en cause dans l’éclatement de phénomènes de violences.

Accès à la version en ligne