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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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L'animal en EHPAD : quelles règles ?

Article de Etienne Bataille

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 21, avril-juin 2016, pp. 21-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, EHPAD, Établissement pour personnes âgées, Personne âgée, Vieillissement, Animal, Maladie d'Alzheimer, Émotion, Santé mentale, Mémoire, Thérapie, Règle, Zoothérapie, Bientraitance

La présence des animaux en EHPAD est évoquée depuis longtemps, mais aujourd'hui elle est de plus en plus envisagée en lien avec la bientraitance et le respect du continuum de la personne. Les études se sont d'ailleurs multipliées pour révéler que le contact avec l'animal était incontestablement bon pour le moral mais, au-delà, la présence de l'animal aurait des vertus pour améliorer la santé mentale et physique des personnes âgées ou handicapées ; l'animal serait donc aussi bon pour la santé...

Zoothérapie : ce qu'il faut savoir

Article de Amandine Lamouret

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 21, avril-juin 2016, pp. 19-20.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Thérapie, Animal, Établissement pour personnes âgées, EHPAD, Émotion, Mémoire, Maladie d'Alzheimer, Médiation, Lien social, Formation, Zoothérapie

L'animal est le support de nos émotions, il écoute sans jamais juger, réclame notre attention et nous offre de la tendresse sans rien attendre en retour. Des échanges sont possibles. Un attachement, souvent fort, entre l'Homme et son animal se crée. Il est donc logique de penser que l'animal est signifiant pour un grand nombre de personnes et peut être utilisé comme un nouvel outil dans le domaine de la santé. C'est ainsi qu'on voit se développer la zoothérapie en France depuis quelques années.

Médiation animale : une thérapie avant tout

Article de Stéfane Hedont Hartmann

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 21, avril-juin 2016, pp. 12-14.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Animal, Établissement pour personnes âgées, EHPAD, Maison de retraite, Lien social, Maladie d'Alzheimer, Mémoire, Personne âgée, Thérapie, Médiation, Vieillissement, Zoothérapie

Une médiation thérapeutique est un moyen (outil, technique, support, médium etc...) qui, à la fois soutient la relation singulière entre un patient et un thérapeute, mais aussi en constitue un des modes d'échanges et de communication intersubjective consciente et inconsciente. L'animal peut être considéré comme un élément distractif permettant d'oublier les contraintes de la vie quotidienne. D'autre part, les activités mises en place rappellent aux anciens possesseurs d'animaux combien la relation de tendresse qu'ils avaient pu nouer avec leur ancien compagnon avait pu leur apporter.

Les animaux en institution

Article de Alexandra Marquet, Anne Chervet, Stefane Hedont Hartmann, et al.

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 21, avril-juin 2016, pp. 9-18.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Vieillissement, Personne âgée, Animal, Établissement pour personnes âgées, EHPAD, État dépressif, Thérapie, Mémoire, Maladie d'Alzheimer, Médiation, Lien social, Zoothérapie

Depuis quelques années, certains établissements autorisent les résidents à conserver leur animal de compagnie lors de leur entrée dans l'institution ; d'autres privilégient un animal de mascotte et des structures font appel ponctuellement à des animaux venant de l'extérieur pour des activités conduites par des experts en lien avec les animateurs. L'EHPAD, qui souhaite mettre en place ce type de thérapie, doit bien réfléchir en équipe à ce projet qui est un véritable engagement, car l'animal est un être vivant dont il faudra toujours s'occuper. Du côté des bienfaits, ils ne sont plus à démontrer tant aux niveaux social, affectif que cognitif. L'animal familier est un facilitateur de lien social pour des personnes souffrant de la maladie d'Alzheimer. Il favorise le souvenir d'expériences passées, souvent liées d'ailleurs aux animaux. On parle alors de réminiscence.

La danse-thérapie : mode d'expression universel

Article de Liza Bousquet

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 3, mai-juin 2016, pp. 27-28.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Handicap-Situations de handicap, Culture-Loisirs, Corps, Image du corps, Vieillissement, Personne âgée, Personne handicapée, EHPAD, Activité, Animation, Danse, Thérapie, Émotion, Bien-être, Activité physique

La danse est un langage universel et gestuel. Elle permet de prendre conscience de la trajectoire qui existe entre nos émotions, nos sensations les plus profondément enfouies et notre personnalité. La danse-thérapie est une méthode de soin qui utilise la danse comme objet médiateur dans la relation thérapeutique. La dimension physique de la danse permet la découverte des sensations ainsi que l'entretien musculaire et articulaire du corps, tout en y insérant une dimension psychologique.

L'animation et le corps

Article de Magaly Hilaire, Cécile Aguesse

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 3, mai-juin 2016, pp. 23-24.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Corps, Massage, Soins corporels, Personne âgée, Vieillissement, EHPAD, Animation, Image du corps, Maladie d'Alzheimer, Démence sénile

Avec l'avancée en âge, le rapport au corps se modifie, parce que souvent le schéma corporel s'est délité en mémoire lorsque la personne est institutionnalisée en EHPAD. Tout l'intérêt du travail de l'animation est de permettre la réminiscence des différentes parties constitutives du schéma corporel afin d'en reprendre conscience. L'utilisation d'outils comme le massage, l'automassage ou encore la mobilisation corporelle peuvent réactualiser ce support identitaire.

Le toucher relationnel dans le soin

Article de Stella Choque

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 3, mai-juin 2016, pp. 21-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Corps, Image du corps, Toucher, Soin, Soins corporels, Hygiène, Vieillissement, Personne âgée, Massage, Peau, Formation, Équipe soignante, Confiance

Depuis des milliers d'années, les hommes utilisent les massages pour leurs effets antalgiques, décontractants, relationnels. Au fil du temps, selon les cultures, ce qui était naturel et spontané devient tabou ou censé n'appartenir qu'aux experts. Et pourtant, les personnes en situation de "prendre soin de l'autre" vivent quotidiennement une relation de corps à corps avec les résidents ou les patients. Comment passer de ce "corps à corps" bien codifié par la technique enseignée dans les écoles à un corps "accord" empathique destiné à prodiguer du bien-être ?

Le corps du professionnel

Article de Aude Dagonneau

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 3, mai-juin 2016, pp. 19-20.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement de la personne et identité, Corps, Image du corps, Équipe soignante, Psychomotricien, Vieillissement, Personne âgée, Pratique professionnelle, Soin, Compétence

Nous sommes professionnels, nous sommes là pour les soins, le patient/résident, la famille, des tâches administratives... mais que signifie "être là pour" ? Pour mieux comprendre les dimensions et les risques psycho-corporels, il faut évoquer le corps et la relation au corps que le professionnel entretient. En tant que psychomotricienne, les liens entre notre psychisme et notre corps, entre le travail et qui nous sommes sont essentiels et fragiles. Comment trouver cet équilibre quand on travaille quotidiennement en gériatrie ?

Le corps et l'esprit

Article de Gilles Tessens

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 3, mai-juin 2016, pp. 17-18.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Handicap-Situations de handicap, Corps, Image du corps, Vieillissement, Personne âgée, Personne handicapée, Activité physique, Usager, Accompagnement, Observation, Adaptation, Activité

Dans la relation que nous entretenons avec les usagers, nous avons tendance à les solliciter afin que l'indépendance ou encore le maintien des compétences soit au rendez-vous, mais jusqu'où pouvons-nous aller pour ne pas mettre en échec la personne fragilisée ? Cette question est centrale dans l'accompagnement que nous prodiguons au quotidien. Il s'agit de ne pas oublier que nos actions ont des impacts et des conséquences qu'il ne faut évidemment pas négliger.

Le toucher, pas si simple

Article de Cécile Guermonprez

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 3, mai-juin 2016, pp. 15-16.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Handicap-Situations de handicap, Corps, Image du corps, Vieillissement, Personne âgée, Dépendance, EHPAD, Maladie d'Alzheimer, Personne handicapée, Toucher, Hygiène, Équipe soignante, Intimité, Nudité, Pudeur

Toucher l'autre. Se faire toucher. Quand on y réfléchit, pas si simple que cela. Dans notre vie, c'est une permission que l'on n'accorde qu'à peu de personnes ; ce sont des gestes d'affection voire d'amour. Nous permettons à l'autre d'entrer dans notre bulle de protection, où nous cultivons notre liberté, notre indépendance et intimité. En EHPAD, le contact est quotidien. Les soignants doivent toujours avoir à l'esprit que ces gestes ne sont pas anodins.