Rechercher un article, un ouvrage, une thèse

PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

Réponses 31 à 40 sur un total de 50

Votre recherche : *

Nés trop tôt !

Article de Marion Lefeuvre, Alexia Gomart, Marion Camus

Paru dans la revue Le Journal des professionnels de l'enfance, n° 117, mars-avril 2019, pp. 14-45.

Mots clés : Enfance-Famille, Développement cognitif, Développement sensoriel, Famille, Hospitalisation, Jeune enfant, Médecine alternative, Portage, Prématurité, Prise en charge, Propreté de l'enfant, Psychomotricité, Soin, Souffrance

Fratries : une approche systémique

Article de Ivy Daure, Marion Bies, Frédéric Salaun

Paru dans la revue Le Journal des psychologues, n° 363, décembre 2018-janvier 2019, pp. 12-51.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Enfance-Famille, Fratrie, Prise en charge, Approche systémique, Psychothérapie, Migration, Psychiatrie, Handicap, Placement, Maladie génétique

Certains systémiciens tels que Edith Tilmans-Ostyn et Muriel Meynckens-Fourez (1999) définissent la famille du point de vue de la fratrie, en indiquant qu’une famille est formée d’un couple avec au moins deux enfants ; dans le système couple avec un enfant, il manque des interactions importantes liées à la relation fraternelle, mais aussi entre les parents et les enfants, un parent et ses deux enfants, un enfant qui observe son parent ou ses parents faire parent avec un autre enfant, etc. Cette définition octroie à la fratrie une place très importante dans le système famille. Dans ce sens, nous devons comprendre l’importance de ces interactions pour la construction de notre personnalité, les modalités d’attachement et donc notre manière d’être en relation.

Accès à la version en ligne

Troubles du spectre autistique, une unité pilote parent-enfant

Article de Valérie Bonnard Couton, Stéphanie Lubrano, Anne Lise Tosello, et al.

Paru dans la revue Soins Pédiatrie Puériculture, n° 305, novembre-décembre 2018, pp. 37-41.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Enfance-Famille, Autisme, Prise en charge, Psychiatrie infantile, Enfant handicapé, Psychologie du développement, Hôpital de jour, Précocité, Soutien à la parentalité

Aujourd'hui il est possible d'agir sur la trajectoire développementale des troubles du spectre autistique. Du fait de la plasticité cérébrale, plus la prise en charge est précoce, plus les bénéfices seront importants. Une unité pilote a été créée en hôpital de jour, proposant une approche rapide et intensive, entre 18 et 36 mois, ciblée sur les compétences parentales.

Regards croisés sur le continuum petite enfance et école maternelle

Article de Magalie Dreuil, Emilie Penot, Marie Pierre Quirac

Paru dans la revue Le Journal des professionnels de l'enfance, n° 114, septembre-octobre 2018, pp. 34-36.

Mots clés : Enfance-Famille, Crèche, Jeune enfant, Enfant, Assistant maternel, École maternelle, Partenariat, Expérience, Mutualisation, Prise en charge

Batman

Article de Marc Boyer

Paru dans la revue Empan, n° 108, décembre 2017, pp. 24-30.

Mots clés : Enfance-Famille, Témoignage, CMPP, Partenariat, Relation équipe éducative-famille, Enfant handicapé, École, Famille, MDPH, CAF, Prise en charge, Argent

Le père d’un enfant de 12 ans, après dix ans de prise en charge, raconte son point de vue sur les rôles respectifs des différents partenaires impliqués dans l’éducation et le soin de son fils, les relations entre intervenants et les questions d’orientation.

Accès à la version en ligne

Les souffrances des enfants "dys"

Article de Anne Tirilly, Anne Gramond, Franck Ramus, et al.

Paru dans la revue L'Ecole des parents, n° 624, Juillet-août-septembre 2017, pp. 31-62.

Mots clés : Enfance-Famille, Dyslexie, Dysphasie, Dyscalculie, Souffrance, Diagnostic, Dysorthographie, Dyspraxie, Parents, Prise en charge, Confiance, Groupe de parole, Scolarité, Autonomie, Rééducation

Mal connus des parents et des enseignants – et parfois négligés par ces derniers –, les troubles spécifiques des apprentissages, dits troubles « dys » (dyslexie, dysphasie, dyscalculie, dyspraxie, etc.), souvent associés, concerneraient 5 à 10 % des enfants, soit deux à trois élèves par classe. D’origine multifactorielle (neurologique, génétique, psychoaffective, etc.), ils sont une source de souffrance pour l’enfant, souvent en échec scolaire malgré ses efforts, comme pour ses parents, démunis face à ces handicaps « invisibles » et inquiets pour son avenir. À quel âge diagnostiquer ces troubles et à qui s’adresser, compte tenu de la pénurie de professionnels ? Comment les prendre en charge, à l’école ou en ville ? Quelle attitude adopter, en tant que parent ou enseignant ? L’école des parents donne la parole aux spécialistes concernés (orthophonistes, psychologues, psychiatres, professeurs, etc.) pour venir en aide à ces enfants comme à leurs parents.

Accès à la version en ligne

N'oubliez pas les bébés Monsieur le Président

Paru dans la revue Spirale, n° 82, juin 2017, pp. pp 9-191.

Mots clés : Enfance-Famille, Politique familiale, Jeune enfant, Lieu de vie, Accueil, Périnatalité, Prévention, Précarité, Prise en charge, Qualité, Etablissement d'accueil du jeune enfant, Politique, PMI, Pédiatrie, Professionnel de l'enfance, Assistant maternel, Culture, Accueil petite enfance, Eveil culturel, Québec, Italie

Qui va porter le bébé ? El señor Présidente. Que les bébés s’en sortent... indemnes ! Moi, enfant. Humaniser le politique. Pour la création d’un ministère d’État en charge du bien-être de l’enfance et de la jeunesse. Manifeste pour un accueil prévenant de la petite enfance. Modes d’accueil de la petite enfance : donner toute(s) leur(s) place(s) aux bébés. La qualité d’accueil de la petite enfance, entre normativité et intersubjectivité. La pédagogie, ce sont des bras qui pensent. Pour une culture de l’hospitalité. Pour que la santé physique, psychique, affective des enfants soit explicitement définie comme un objectif politique. Le nez dans le ruisseau... Pauvreté et précarité des enfants de France. Parents, professionnels... tous présidents ? Pour un service public communal (ou intercommunal) de l’accueil global des jeunes enfants intégré au Projet éducatif de territoire. Il faut s’occuper des enfants, de tous les enfants, de toute urgence... Donner du poids à la prévention en périnatalité et petite enfance ? Accueillir un enfant. La PMI au plus près de toutes les familles. Familles en errance invisible et sans droits ? Pour que la France cesse d’être la mauvaise élève en matière d’allaitement. Préserver le printemps de l’existence. Des espaces d’accueil périnataux pour un temps prolongé et protégé après la naissance. Les congés parentaux au Québec : une source d’inspiration ? Des enjeux de la prise en charge hospitalière des nouveau-nés et des bébés. Prévenir et lutter contre les discriminations dès la petite enfance. Un enjeu de cohésion sociale. Donnez-nous du temps pour penser et pour réfléchir sur nos pratiques. La nécessaire évolution du statut des assistantes maternelles. Plaidoyer pour une véritable politique de la petite enfance. Pour une politique préventive. Prendre soin de la famille dès l’arrivée de l’enfant .Le bébé est une personne, et la lecture un art ! Soutenez le Protocole d’accord. Pour l’éveil artistique et culturel des jeunes enfants dès la naissance. Lire avec des bébés ? Plaidoyer pour des pratiques engagées et pensées… Le prendre soin du bébé en tant qu’impératif catégorique... ?

Accès à la version en ligne

La prise en charge des jeunes enfants par l’aide grand-parentale : un mode de garde composite

Article de Morgan kitzmann

Paru dans la revue Revue française des affaires sociales, n° 2, avril-juin 2017, pp. 187-206.

Mots clés : Enfance-Famille, Garde des enfants, Grands-parents, Classe sociale, Norme, Prise en charge, Enfant

En marge des structures formelles de garde, certains parents ont recours à l’aide informelle des grands-parents pour la prise en charge des jeunes enfants. Cet article s’attelle à montrer que l’aide des grands-parents n’est pas homogène. Elle prend des formes diverses. En s’appuyant sur des entretiens qualitatifs, cette analyse permet de dégager différents types de garde, leurs modalités et leurs déterminants : la garde intensive, la garde de dépannage, la garde de routine et enfin la garde de loisirs. D’une part, selon l’appartenance sociale, les individus vont plus ou moins mobiliser certains types de garde. D’autre part, ils peuvent mobiliser un même type de garde de différentes façons, selon la façon qu’ils ont d’adopter la norme de bonne grand-parentalité. La prise en compte du milieu social d’origine et de la structure familiale met en lumière des ressources grands-parentales inégales selon les individus ; ceci mène alors à penser des grands-parentalités et non une image uniforme de la grand-parentalité.

Accès à la version en ligne

Les interventions comportementales intensives et précoces auprès des enfants avec autisme : une revue critique de la littérature (2009-2012)

Article de Virginie Cruveiller, Graciela C. Crespin

Paru dans la revue La Psychiatrie de l'enfant, vol. LX, n° 1, janvier-juin 2017, pp. 197-212.

Mots clés : Enfance-Famille, Handicap-Situations de handicap, Autisme, Prise en charge, THERAPIE COMPORTEMENTALE, Recherche, Évaluation, TED, ABA (méthode)

Les interventions comportementales intensives et précoces – méthode ABA (Applied Behavior Analysis), ou EIBI (Early Intensive Behavioral Intervention) – font aujourd’hui l’objet d’un apparent consensus ; leur validité serait scientifiquement prouvée. Or, les données de la littérature scientifique sont bien plus divergentes et controversées qu’il n’y paraît. Cet article se propose de faire le point sur l’état actuel des connaissances en la matière, à travers une revue de la littérature récente (essais cliniques et méta-analyses parus depuis 2009). Si ce type d’intervention est probablement efficace sous certaines formes et pour certains enfants, comme l’attestent plusieurs essais cliniques, de nombreuses questions restent sans réponse, et le niveau de preuve général de ces études est grevé par un certain nombre de biais méthodologiques potentiels. De plus, certaines études montrent que l’intensivité d’une prise en charge n’est pas nécessairement corrélée à l’importance de ses effets. Les données actuellement disponibles – par ailleurs souvent en faveur de l’EIBI – restent donc lacunaires et discutables.

Accès à la version en ligne