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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Le contretransfert au cours des thérapies du couple vieillissant

Article de Marguerite Charazac Brunel

Paru dans la revue Dialogue, n° 213, septembre 2016, pp. 93-104.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Contre-transfert, Couple, Personne âgée, Deuil, Psychothérapie, Rêve, Anxiété, Émotion

La psychothérapie du couple âgé suscite des réactions transférentielles et contretransférentielles spécifiques où les mouvements émotionnels doivent être reconnus et contenus dans le cadre du préconscient. Les vécus d’angoisse de mort révèlent un vécu de mort déjà ressenti profondément dans l’inconscient, présent depuis longtemps. Fort heureusement, les personnes âgées restent le plus souvent très désireuses de faire part de leurs angoisses de mort, mais aussi de leurs rêves. Les rêves restent – quel que soit l’âge du sujet – la voie royale vers l’inconscient, mais aussi vers le rétablissement des interactions avec le thérapeute. La psychothérapie du sujet endeuillé, en particulier grâce à l’analyse des rêves, permet une ouverture vers de nouveaux liens. L’article présente ici la création d’un nouveau « jeune couple de partenaires âgés ».

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Destins de la sexualité dans la thérapie psychanalytique de couple

Article de Alberto Eiguer

Paru dans la revue Dialogue, n° 212, juin 2016, pp. 79-92.

Mots clés : Enfance-Famille, Sexualité, Psychanalyse, Thérapie de couple, Contre-transfert

Aujourd’hui, le thérapeute psychanalytique de couple (tpc) ne se réfère que rarement dans sa pratique au sexuel et à la sexualité. L’auteur étudie cette évolution en proposant deux hypothèses. Les orientations théoriques les plus répandues parmi les tpc auraient-elles une influence sur la difficulté à intégrer le sexuel et les troubles sexuels du couple dans l’analyse des cas ? La spécificité de ce cadre, un couple/un analyste, n’y joue-t-elle pas un certain rôle ? L’auteur rappelle le travail d’auto-analyse du thérapeute en soulignant que pour comprendre les dynamismes en jeu on doit entendre le cadre comme développant un espace psychique inédit, un chaudron néogroupal. Trois exemples cliniques illustrent ces idées.

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