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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

Réponses 21 à 30 sur un total de 74

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Agitation et agressivité chez la personne âgée démente

Article de Philippe Thomas

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 140, novembre-décembre 2019, 29-31.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Agressivité, Démence sénile, EHPAD, Émotion, Équipe pluridisciplinaire, Gériatrie, Maladie d'Alzheimer, Personne âgée, Pluridisciplinarité, Prise en charge, Psychothérapie, Thérapie, Trouble du comportement, Vieillissement

La prise en charge de l’agressivité et de l’agitation chez les personnes âgées démentes peut être envisagée sous l’angle de certaines modalités. Certaines thérapeutiques, en particulier l’usage des neuroleptiques, doivent être évitées. Il faut insister sur la nécessité de mettre des limites aux traitements non pharmacologiques.

Art-thérapie en unité d'hébergement renforcé

Article de Catherine Morice Chauveau

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 140, novembre-décembre 2019, 27-28.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Art-thérapie, Atelier, Déficience cognitive, Démence sénile, EHPAD, Lien social, Maladie d'Alzheimer, Personne âgée, Pratique professionnelle, Relation, Relation soignant-soigné, Thérapie, Trouble du comportement, Vieillissement

Lorsque les troubles cognitifs des aînés sont importants, il reste pour les soignants la possibilité de l’empathie, du calme relationnel, du temps à donner afin qu’ils accèdent à leur mémoire et fuient cette terrible sensation de ne plus savoir. Entrer dans un espace fermé qui leur est dédié signifie vouloir créer un contact avec des personnes perdues dans les méandres d’une histoire qu’elles ne reconnaissent plus comme étant la leur. Retour d’expérience d’un atelier d’art-thérapie avec des aînés fragilisés au plan cognitif, coupés de tous repères.

Impact des interventions assistées d'un animal sur le résident

Article de Jan Chrusciel, Aude Letty, Stéphane Sanchez, et al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 140, novembre-décembre 2019, 12-14.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Animal, Autonomie, Bien-être, Démence sénile, Dépendance, EHPAD, Étude de cas, Isolement, Maladie d'Alzheimer, Personne âgée, Prise en charge, Psychothérapie, Qualité de la vie, Robot, Vieillissement, Zoothérapie

Les interventions assistées par l’animal ont pour finalité le bien-être des personnes. L’objectif est de faire le point sur les études concernant cette pratique dans la population des anciens vivant en établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes. La thérapie assistée par l’animal, utilisable par un personnel préalablement formé, pourrait être un outil adapté à la personne âgée institutionnalisée souffrant de solitude.

Maladie d'Alzheimer, prise en charge non médicamenteuse

Article de Tristan Cudennec, Jan Chrusciel, Jean Luc Sudres, Emilie Tromeur Navaresiet al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 140, novembre-décembre 2019, 11-28.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Art-thérapie, Démence sénile, EHPAD, Équipe pluridisciplinaire, Maladie d'Alzheimer, Étude de cas, Évaluation, Musicothérapie, Personne âgée, Projet thérapeutique, Prise en charge, Thérapie, Vieillissement, Zoothérapie

Liberté et sécurité : concilier l’inconciliable

Article de Alexandra Marquet, Maxime Ricard, Etienne Bataille, et al.

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 35, octobre-décembre 2019, pp. 10-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Vieillissement, Dépendance, Liberté, Sécurité, Autonomie, EHPAD, Maintien à domicile, Équipe soignante, Personne âgée, Contention, Care, Soin, Bientraitance, Accompagnement, Risque, Vulnérabilité, Législation

Que faire face à une personne qui déambule, erre puis part bien décidée à retrouver son chez-soi d'autrefois ? Et que dire... quand une personne vivant seule, en perte d'autonomie, se retrouve couchée le soir à 20 h avec la barrière relevée pour éviter une chute au beau milieu de la nuit quand elle cherchera à se lever dans le noir. Elle restera donc allongée pendant dix voire douze heures, contre sa volonté. Depuis plusieurs années, la contention, qu'elle soit physique ou médicamenteuse, est de plus en plus réglementée. Dans le même temps, les questions autour de l'éthique ont pris une part importante dans l'accompagnement des personnes souffrant de troubles cognitifs notamment. Les professionnels ont désormais à l'esprit le risque et le bénéfice de chaque soin. Mais entre la bienveillance de l'accompagnement et les restrictions des libertés, où mettre le curseur ? L'équation est quasiment impossible. La réponse est forcément personnalisée et individualisée, selon chaque situation, chaque cas. Et pour cause, il est facile de philosopher, d'évoquer ces questions lors de formation bien installé dans un fauteuil, entouré de collègues et experts, mais sur le terrain, au quotidien, à domicile comme en établissement, des décisions doivent et sont prises avec toujours le même objectif : protéger la personne, éviter qu'elle se blesse, qu'elle se perde, qu'elle se mette en danger... sans pour autant qu'elle ressente les contraintes qui provoquent inévitablement des troubles du comportement. (...)

Qualité et quantité de vie

Article de Pierre Henry Frangne, Amélie Aregui, Rémy Billon, et al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 139, septembre-octobre 2019, pp. 11-28.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Bien-être, Bioéthique, Cancer, Care, Communication, EHPAD, Espérance de vie, Évaluation, Gériatrie, Personne âgée, Philosophie, Pluridisciplinarité, Maladie, Morbidité, Prise en charge, Projet, Qualité de la vie, Soin, Soins palliatifs, Traitement médical, Vieillissement, Vulnérabilité

Soins en gériatrie, que doit-on privilégier ? Page :11
Approche philosophique de la qualité de vie. Page :12-18
La qualité et la quantité de vie en oncogériatrie. Page :19-21
Le sujet âgé polymorbide et fragile : quelle qualité de vie? Page :22-24
Qualité de vie en soins palliatifs. Page :25-27

Le sujet âgé polymorbide et fragile : quelle qualité de vie

Article de Rémy Billlon, Philippe Thomas

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 139, septembre-octobre 2019, pp. 22-24.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Bien-être, Care, EHPAD, Espérance de vie, Gériatrie, Maladie, Morbidité, Personne âgée, Qualité de la vie, Soin, Traitement médical, Vieillissement, Vulnérabilité

La polymorbidité est fréquente chez les sujets très âgés, particulièrement dans les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes avec, souvent, un état de grande fragilité. Ils sont particulièrement à risque de polypharmacie et d’effets iatrogènes, ce qui peut amener à aggraver la qualité de fin de vie de ces patients. Une nouvelle manière de faire est à trouver en s’appuyant sur une approche centrée sur le patient, et pas sur la maladie.

La qualité et la quantité de vie en oncogériatrie

Article de Rachida Qabbal, Amélie Aregui, Stéphane Culine, et al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 139, septembre-octobre 2019, pp. 19-21.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Bien-être, Cancer, Care, Communication, Diagnostic, EHPAD, Espérance de vie, Évaluation, Famille, Gériatrie, Maladie, Personne âgée, Qualité de la vie, Relation soignant-soigné, Soin, Traitement médical, Vieillissement

Associer qualité et quantité de vie est l’un des défis de l’oncogériatrie. Il repose sur un diagnostic le plus précoce possible et une évaluation complète du patient dans sa dimension médicale, psychologique et sociale. Cette évaluation a pour but de prendre en charge le patient dans sa globalité, de recueillir son opinion et de définir un traitement adapté. Une fois ce dernier établi, la mise en place d’un suivi pour la prise en charge des comorbidités et des symptômes, ainsi que l’instauration d’aides si nécessaire permettent d’améliorer la qualité de vie.

Le baluchonnage, version française...

Article de Etienne Bataille, Muriel Cormorant

Paru dans la revue Doc'Domicile, n° 54, mai-juillet 2019, pp. 19-20.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, EHPAD, Maintien à domicile, Aidant familial, Repos, Fatigue, Accompagnement, Baluchon Alzheimer Québec

Les Français plébiscitent le maintien à domicile pour les personnes âgées, et ce au détriment de l'hébergement collectif ou les Ehpad. Mais lorsque la personne âgée souffre d'une perte d'autonomie physique ou cognitive, particulièrement celle atteinte de la maladie d'Alzheimer, l'accompagnement au domicile se heurte à un problème tant humain que financier. En l'absence de proches ayant la capacité d'aider, le système n'est pas viable. L'aidant bénévole devient alors la solution au problème. Il restait cependant nécessaire de réfléchir aux solutions permettant d'aider l'aidant.