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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

Réponses 21 à 30 sur un total de 42

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À la recherche du bien-être psychique

Article de François Chobeaux

Paru dans la revue Vie sociale et traitements VST, n° 144, 4e trimestre 2019, pp. 74-78.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Psychisme, Précarité, Souffrance psychique, Thérapie, Psychanalyse, Bien-être

Le bien-être psychique devient une injonction culturelle. Mais de quoi s’agit-il ? Un essai iconoclaste de définition passant par les définitions de la santé et par l’identification de ce que devrait être son inverse, le mal-être psychique, aboutit à proposer que la réalisation du bien-être est dépendante à la fois des possibilités d’actions du sujet et de son intégration active dans un corps social.

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Travailler la terre pour accéder à l'originaire

Article de Hélène Griaud

Paru dans la revue Le Journal des psychologues, n° 370, septembre 2019, pp. 53-58.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, IME, Atelier, Thérapie, Modelage, Expression plastique

L’auteure nous propose ici quelques réflexions émanant de sa pratique au sein d’un Institut médico-éducatif à travers des ateliers de manipulation d’argile. Les coanimatrices ont pu aborder et remobiliser des enjeux archaïques auprès d’enfants en difficulté, une manière de penser la terre comme un outil original de médiation thérapeutique afin d’accéder à des problématiques identitaires.

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De l'anxiété normale à l'anxiété pathologique

Article de Jérôme Palazzolo

Paru dans la revue Le Journal des psychologues, n° 369, juillet-août 2019, pp. 72-77.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Psychopathologie, Symptôme, Anxiété, Accès aux soins, Thérapie

L’anxiété, qui se manifeste sous forme de grande inquiétude, est un phénomène tout à fait normal de la vie. Lorsqu’elle prend un caractère excessif menant à une pathologie, il s’agit alors de troubles anxieux, affectant le comportement, les pensées, les émotions de la personne. S’ils peuvent être handicapants, ils sont, selon l’auteur, tout à fait abordables d’un point de vue thérapeutique. Comportant a priori un grand nombre d’états en apparence très différents, le point sur ces affections est ici proposé.

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Le lieu des parents dans la thérapie infantile : patients, partenaires ou intrus ?

Article de Pascal Reuillard

Paru dans la revue Le Journal des psychologues, n° 368, juin 2019, pp. 68-71.

Mots clés : Enfance-Famille, Santé mentale-Souffrance psychique, Thérapie, Enfant, Parents

Quelle place le thérapeute peut-il réserver aux parents lorsqu’ils accompagnent leur enfant en thérapie ? Selon l’auteur, si cette question peut susciter quelques controverses, seules l’expérience et les connaissances du clinicien viendront le guider dans une dynamique thérapeutique à chaque fois singulière. Le cas de Tom viendra en étayage de ses réflexions.

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Du patient individuel à la thérapie de famille. De l’équipe réfléchissante au thérapeute individuel

Article de Nicolas Louis Marie Nussbaumer, Marc Grandgirard, Cristina Garcia, et al.

Paru dans la revue Thérapie familiale, vol. 40, n° 1, mars 2019, pp. 51-71.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Thérapie, Individu, Thérapie familiale, Approche systémique, Équipe, Psychothérapeute, Formateur, Récit de vie, Théorie, Modèle, Atelier, Expérimentation, Réflexivité, Frank (Ian), Anderson (Tom)

À partir de l’histoire d’une thérapie individuelle devenue progressivement thérapie de famille, ayant impliqué un thérapeute-formateur et une équipe réfléchissante en formation, les quatre thérapeutes qui ont traversé cette aventure thérapeutique évoquent quelques facettes de leur évolution personnelle dans cet atelier qui se veut à son tour expérientiel. Des fragments des évolutions personnelles des quatre jeunes thérapeutes sont racontés à quatre volontaires qui forment l’équipe réfléchissante de l’équipe réfléchissante dans un cercle confidentiel sous la houlette du thérapeute-formateur ; les quatre volontaires sont invités ensuite à échanger leurs propres résonances avec la première équipe réfléchissante. Enfin, dans un troisième temps, le public s’exprime. L’enrichissement de l’atelier par ces divers apports narratifs conduit à une discussion comparative de l’expérience de formation vécue par l’équipe réfléchissante dans cet atelier et dans un autre cadre, celui de l’intervention systémique brève ainsi qu’une comparaison théorique avec le modèle de l’équipe de Ian Frank directement issu de celui de Tom Andersen. La conclusion parlera de sérendipité et d’échange de cadeaux.

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Le repas familial thérapeutique auprès des adolescentes souffrant d’anorexie mentale : quels apports cliniques lors de l’hospitalisation ?

Article de Marc Antoine Podlipski, Jordan Sibeoni, Bojan Mirkovic, et al.

Paru dans la revue Dialogue, n° 223, mars 2019, pp. 153-170.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Anorexie, Repas, Thérapie, Adolescent, Relation soignant-soigné, Alimentation, Hospitalisation, Famille, Rite

Cet article décrit l’utilisation par une équipe de soins spécialisée dans la prise en charge des adolescentes souffrant d’anorexie mentale d’un repas familial thérapeutique. La scène de table propose constamment un récit animant les protagonistes partageant le repas. L’hypothèse de travail initiale est que, dans ce récit, cet espace et ce moment singulier, il y a une fécondité potentielle sur un plan clinique avec l’observation, la participation ou encore la reprise de ce temps particulièrement sensible lors d’une hospitalisation pour un épisode d’anorexie mentale. Prenant appui sur un cas clinique ainsi que sur plusieurs entretiens menés auprès d’infirmières ayant participé à ce programme, les auteurs discutent les apports d’ordre psychologique de cette pratique et les nouvelles postures soignantes qu’elle implique.

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« C’est un accident ! On ne pouvait prévoir que cela arriverait »

Article de Florence Baruch

Paru dans la revue Dialogue, n° 223, mars 2019, pp. 109-124.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Enfance-Famille, Fécondation, Grossesse, Thérapie, Pulsion de mort, Génération, Secret, Entretien, Décision, Périnatalité, Psychanalyse

« C’est un accident ! » C’est à partir de cette phrase récurrente, entendue comme une apostrophe marquant le début d’entretiens individuels ou conjugaux à propos d’une grossesse impromptue, que l’auteur va questionner ce caractère dit imprévu de cette fécondation-là, à ce moment-là pour ce couple-là. Un temps d’arrêt, de sidération, comme si cette fécondation venait, dans une certaine temporalité, interroger les liens intersubjectifs tant pour chaque membre du couple que pour le couple lui-même. Les histoires familiales y sont convoquées et les alliances inconscientes remaniées ou tout du moins, elles affleurent dans le néo-groupe lors de ces rencontres. Ces entretiens aboutissent parfois à une demande de thérapie individuelle ou conjugale. Ces fécondations impromptues seraient-elles un symptôme venant visiter l’histoire du couple ?

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La créativité : un enjeu thérapeutique à l'hôpital

Article de Ludivine Dupire Vaujany, Odile Viel

Paru dans la revue Le Journal des psychologues, n° 364, février 2019, pp. 55-60.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Créativité, Hôpital, Thérapie

Favoriser, dans un dispositif spécifique, l’émergence et le développement de la créativité, sans autre visée que celle‑ci, se révèle être, à l’hôpital, une vraie proposition thérapeutique. Le corps objet de soin redevient sujet, s’émancipant de la centration sur la maladie. Une parole neuve en émerge, inouïe, qui donne vie. Démonstration.

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Les animaux pansent

Article de Mathilde Sorba, Gwen Le Goff

Paru dans la revue Rhizome, n° 72, juillet 2019, pp. 1-19.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Soin, Zoothérapie, Psychiatrie, SDF, Thérapie, Établissement de santé, Établissement social et médicosocial, MEDIATION ANIMALE

La réflexion sur les liens entre l’humain et l’animal, nourrie par les considérations sur la bientraitance animale, trouve un écho dans les champs de la précarité et de la santé mentale. Si les hôpitaux psychiatriques, construits traditionnellement à la campagne, étaient lotis de fermes et d’animaux, l’évolution de ces structures a éloigné un temps les animaux des services de soins. Aujourd’hui, chats, chiens, chevaux reviennent en force à l’aune de projets thérapeutiques relevant de l’aide ou du soin.Dans l’article introductif de ce numéro, Jérôme Michalon – dont le titre de l’ouvrage a inspiré celui de ce numéro Rhizome – explique comment les « pratiques de soins par contact animalier » se développent de façon concomitante à une individualisation de notre rapport aux animaux.

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C'est pas du jeu ! Quand des adolescents défient la logique de l'usage d'un serious game de simulation familiale

Article de Xanthie Vlachopoulou, Sylvain Missonnier

Paru dans la revue Dialogue, n° 222, décembre 2018, pp. 41-52.

Mots clés : Enfance-Famille, Santé mentale-Souffrance psychique, Adolescent, Médiation, Technologie numérique, Jeu vidéo, Identité, Soin, Outil, Thérapie, Famille, Psychiatrie, Hospitalisation, Conflit, Relation enfant-parents, Expérience

Aujourd'hui, l'immersion des adolescents dans la réalité virtuelle est devenue une composante essentielle de leur propre construction identitaire et de son déploiement au sein de l'univers familial et scolaire. Dans le meilleur des cas, l'avatar s'inscrit dans une zone ludique source de rêverie désirante et de tâtonnement créatif subjectivant. Dans les maisons de soin qui accueillent des adolescents, les médiations numériques gagnent du terrain, que ce soit sur un mode éducatif ou soignant. Sur ce terrain, des serious games spécialisés ont récemment fait leur apparition. Dans cet article, l'usage de l'un d'entre eux, Clash Back, est examiné, notamment à partir d'une expérience clinique sur plusieurs mois, et sa valeur thérapeutique est questionnée. En effet, un outil thérapeutique en soi n'existe pas mais dépend du cadre théorico-clinique qui sous-tend son utilisation et en permet le développement processuel. De plus, la mise à l'épreuve de ce serious game par les adolescents vient confirmer que les techniques ne suivent pas toujours la logique de leur créateur mais bien plutôt celle de la logique de son usage, parfois étonnante et éloignée de l'intention initiale.

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