Article de G. Benvegnu, C. Letamendia, M. Vignes, et al.
Paru dans la revue Neuropsychiatrie de l'enfance et de l'adolescence, vol. 66, n° 1, janvier 2018, pp. 52-60.
Mots clés : Handicap-Situations de handicap, ITEP, Psychose, Enquête, Trouble du comportement, Prise en charge
Une enquête nationale a été menée auprès des médecins travaillant en institut thérapeutique, éducatif et pédagogique (ITEP), afin d’effectuer un état des lieux des connaissances sur le concept de « sujets à haut risque de transition psychotique » et interroger la pertinence d’un repérage précoce des troubles psychotiques au sein de ces institutions.
Article de A.M. Bartolini Girardot, C Chatel, C Bessis, et al.
Paru dans la revue Neuropsychiatrie de l'enfance et de l'adolescence, vol. 65, n° 8, décembre 2017, pp. 461-468.
Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Autisme, Développement, THERAPIE COMPORTEMENTALE, Jeune enfant, Enfant, Expérimentation, Prise en charge, Langage, Cognition, Early start denver model EDSM (Méthode)
Le modèle d’intervention précoce selon le modèle Denver est, à ce jour, recommandé par la Haute Autorité de santé (HAS) dans le cadre de la prise en charge de très jeunes enfants avec des troubles du spectre de l’autisme (TSA). La mise en œuvre de ce modèle est intensive, elle préconise au moins 20 heures d’intervention individuelle par semaine. Ce modèle de prise en charge est encore peu utilisé en France du fait des moyens d’encadrement dont disposent les structures et d’un coût trop important. Dans le cadre de notre recherche, nous avons voulu étudier si une prise en charge selon ce modèle, moins intensive, pouvait néanmoins être bénéfique au développement des enfants TSA.
Article de T. Krouch, M R. Moro
Paru dans la revue Neuropsychiatrie de l'enfance et de l'adolescence, vol. 64, n° 4, juin 2016, pp. 232-239.
Mots clés : Identité sexuelle, Prise en charge, Adolescent, Accompagnement, Genre
Les dysphories de genre à l’adolescence et durant l’enfance sont étudiées depuis de nombreuses années dans la littérature médicale. En France, les demandes émanant d’adolescents et de leur famille sont de plus en plus fréquentes et l’âge de cette demande de plus en plus jeune, avec une demande de prise en charge spécialisée par les équipes pluridisciplinaires s’occupant du sexualisme.
Article de A. Condat, F. Bekhaled, N. Mendes, et al.
Paru dans la revue Neuropsychiatrie de l'enfance et de l'adolescence, vol. 64, n° 1, janvier 2016, pp. 7-15.
Mots clés : Enfance-Famille, Jeunesse-Adolescence, Identité sexuelle, Psychopathologie, Enfant, Adolescent, Prise en charge, Genre
La dysphorie de genre est un trouble rare et en l’absence de centre dédié, chaque pédopsychiatre français aura rencontré environ 2 à 4 cas au cours de sa carrière. Aussi, en l’absence d’expérience clinique partagée ni de réflexion intégrée, chacun est-il tenté de se faire son idée à partir de quelques observations, dans un contexte où ces questions cliniques sont traversées par les débats sociétaux autour du genre, du sexe, de la procréation et des droits humains. Alors que des consultations spécialisées dans l’évaluation clinique et la prise en charge des troubles de l’identité sexuée chez l’enfant et l’adolescent se sont développées depuis les années 1970 à l’étranger, l’accès à une information et à des soins spécialisés n’est pas encore bien établi en France. C’est dans ce contexte qu’une consultation spécialisée identité sexuée a été créée au sein d’un service hospitalo-universitaire parisien.