Rechercher un article, un ouvrage, une thèse

PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

Réponses 21 à 23 sur un total de 23

Votre recherche : *

Soins et négociation

Article de Jean Naudin, Romain Nègre, Christophe Pacific, et al.

Paru dans la revue Santé mentale, n° 211, octobre 2016, pp. 27-79.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Psychiatrie, Soin, Négociation, Relation soignant-soigné, Éthique, Conflit, Droits des usagers, Malade, Psychiatre, Relation éducative, Approche systémique, Relation d'aide, Rogers (Carl)

La négociation des soins fait écho à l'idée que le patient doit avoir une place et un rôle accrus dans le champ de la santé. Traditionnellement, dans la relation soignant-soigné, le savoir appartenait au premier qui imposait ses décisions au second. Aujourd'hui, dans un contexte qui prône le malade comme acteur du soin, il faut s'assurer que la négociation ne soit pas un alibi humaniste. En psychiatrie, les soins sous contrainte et le déni de la pathologie rendent le soin négocié encore plus complexe. Pourtant, faute de négociation, la prise en charge est vouée à l'échec.

Isolement et contention "en dernier recours"

Article de Jean Louis Senon, Adeline Hazan, Eric Pechillon, et al.

Paru dans la revue Santé mentale, n° 210, septembre 2016, pp. 21-91.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Psychiatrie, Internement psychiatrique, Isolement, Loi, Relation soignant-soigné, Hôpital psychiatrique, Thérapie, Sanction, Violence, Équipe soignante, Pratique professionnelle

"L'isolement et la contention sont des pratiques de dernier recours." Cette injonction du législateur reste une notion floue pour des soignants qui parfois "n'ont pas le choix". Le dernier recours, c'est n'utiliser ces mesures que quand une relation d'apaisement empathique a échoué, quand un traitement médicamenteux adapté n'a pas été accepté ou n'a pas apaisé le patient, quand les techniques de désescalade n'ont pas eu de résultat et quand une analyse clinique laisse penser que ces pratiques sont proportionnées à la gravité des troubles et aux risques encourus.

Troubles du sommeil en psychiatrie

Article de Agnès Brion, Thierry Faivre, Roger Godbout, et al.

Paru dans la revue Santé mentale, n° 205, février 2016, pp. 22-83.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Trouble du sommeil, Psychopathologie, Psychiatrie, Sommeil, Schizophrénie, Rêve, Psychose, État dépressif, Médicament, Prise en charge, Psychologie clinique, Suicide, Risque, Relation soignant-soigné, THERAPIE COMPORTEMENTALE

En psychiatrie, les troubles du sommeil s'accompagnent souvent d'une aggravation des symptômes de la maladie mentale. Compte tenu des enjeux pronostiques, ces troubles sont à rechercher systématiquement. Aujourd'hui, des prises en charge adaptées, en particulier non médicamenteuses, peuvent avoir des effets positifs sur le cours de la maladie. État des lieux des connaissances.