La maladie d’Alzheimer s’accompagne d’une aphasie progressive, d’autant plus sévère que les troubles cognitifs sont plus marqués.
La qualité des soins prodigués au malade module cependant l’évolution de ses difficultés langagières.
L’aphasie est ainsi liée à l’insuffisance de communication humaine et peut être limitée par la prise en compte de la fonction phatique de la langue pour garder ouverts les canaux de communication.

La question des liens entre anorexie et refus alimentaire chez le sujet âgé est souvent à l’origine de grandes difficultés de stratégies thérapeutiques dans les équipes soignantes.
De même, les liens diachroniques entre l’anorexie mentale de l’adolescent et celle du sujet âgé ont été jusqu’à présent peu étudiés.
Le rôle de l’équipe pluridisciplinaire est essentiel.