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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

Réponses 21 à 30 sur un total de 41

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Confinement : quand le remède est parfois pire que le mal

Article de Maxime Ricard

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3157, 24 avril 2020, pp. 12-13.

Mots clés : Lien social-Précarité, Épidémie, Crise, Enfermement, Personne âgée, Isolement, Ennui, EHPAD, Souffrance psychique, Anxiété, Adaptation, Rencontre, Famille

Voilà plus d'un mois que la France est confinée pour des raisons de la pandémie du coronavirus. Un mois durant lequel bon nombre de personnes restent chez elles, parfois de leur famille et de leurs amis. Des restrictions sociales qui peuvent être parfois mal supportées par les personnes âgées.

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"Une expérience inoubliable"

Article de Maxime Ricard

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3155, 10 avril 2020, p. 18.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Service civique volontaire, EHPAD, Expérience, Jeune, Personne âgée, Lien social, Soutien psychologique

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Liberté et sécurité : concilier l’inconciliable

Article de Alexandra Marquet, Maxime Ricard, Etienne Bataille, et al.

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 35, octobre-décembre 2019, pp. 10-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Vieillissement, Dépendance, Liberté, Sécurité, Autonomie, EHPAD, Maintien à domicile, Équipe soignante, Personne âgée, Contention, Care, Soin, Bientraitance, Accompagnement, Risque, Vulnérabilité, Législation

Que faire face à une personne qui déambule, erre puis part bien décidée à retrouver son chez-soi d'autrefois ? Et que dire... quand une personne vivant seule, en perte d'autonomie, se retrouve couchée le soir à 20 h avec la barrière relevée pour éviter une chute au beau milieu de la nuit quand elle cherchera à se lever dans le noir. Elle restera donc allongée pendant dix voire douze heures, contre sa volonté. Depuis plusieurs années, la contention, qu'elle soit physique ou médicamenteuse, est de plus en plus réglementée. Dans le même temps, les questions autour de l'éthique ont pris une part importante dans l'accompagnement des personnes souffrant de troubles cognitifs notamment. Les professionnels ont désormais à l'esprit le risque et le bénéfice de chaque soin. Mais entre la bienveillance de l'accompagnement et les restrictions des libertés, où mettre le curseur ? L'équation est quasiment impossible. La réponse est forcément personnalisée et individualisée, selon chaque situation, chaque cas. Et pour cause, il est facile de philosopher, d'évoquer ces questions lors de formation bien installé dans un fauteuil, entouré de collègues et experts, mais sur le terrain, au quotidien, à domicile comme en établissement, des décisions doivent et sont prises avec toujours le même objectif : protéger la personne, éviter qu'elle se blesse, qu'elle se perde, qu'elle se mette en danger... sans pour autant qu'elle ressente les contraintes qui provoquent inévitablement des troubles du comportement. (...)

L’expérimentation Paerpa est "totalement pertinente"

Article de Maxime Ricard

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3116, 21 juin 2019, p. 16.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Qualité de la vie, TIERCE PERSONNE, Autonomie, Projet, Suivi médical, Coordination, Hôpital, EHPAD

Lancé en 2014, le programme Paerpa a pour objectif d’améliorer la prise en charge et la qualité de vie des personnes de 75 ans et plus et de leurs aidants. Le 2e congrès francophone « parcours de santé, de soins, des aînés », qui s’est tenu à Paris, le 12 juin, a été l’occasion d’en dresser un bilan.

Des labels pour des Ehpad plus humains

Article de Maxime Ricard, Dominique Libault

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3116, 21 juin 2019, pp. 24-28.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement de la personne et identité, Rapport, Personne âgée, Qualité, Santé publique, Accompagnement, EHPAD, Qualité de la vie, Professionnalisation, Financement, Finances publiques, Motivation

Dossier composé de trois articles:
- Des labels pour des Ehpad plus humains
- « L’état doit aider au financement des labels »
- « Avoir l’adhésion de tous les professionnels »

Quand le jardin soigne les malades d'Alzheimer

Article de Maxime Ricard

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 33, avril-juin 2019, pp. 11-12.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Jardinage, Maladie d'Alzheimer, Thérapie, Hôpital, Maison de retraite, EHPAD

Ces dernières années, de nombreux hôpitaux, maisons de retraite et autres structures pour personnes âgées ont aménagé des jardins spécialement conçus pour l'accompagnement et la prise en charge de malades Alzheimer. Mais, pour être réellement thérapeutiques, ces jardins doivent être conçus selon un cahier des charges bien précis. L'implication des soignants est également une condition sine qua non à la réussite de cette thérapie non médicamenteuse qui se développe de plus en plus.

Jardins thérapeutiques : pour quels bénéfices ?

Article de Alexandra Marquet, Maxime Ricard, Jérôme Pellissier, et al.

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 33, avril-juin 2019, pp. 10-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Vieillissement, Personne âgée, Maladie d'Alzheimer, Jardinage, Thérapie, EHPAD, Lien social, Mémoire, Animation sociale, Dépendance, Association Aid'Aisne

A l'heure où l'été arrive et où les jours rallongent, les espaces verts sont pris d'assaut par les jardiniers. Mais une fois la perte d'autonomie constatée, et la dépendance installée, de nombreuses personnes âgées sont contraintes de cesser de jardiner. Certaines à domicile n'ont plus de potagers ou de massifs de fleurs, qui demandent trop d'entretien, quand d'autres, une fois institutionnalisées, restent cloîtrées entre les murs de l'établissement, assises devant la télé. Et pourtant, depuis quelques années, les soignants misent de plus en plus sur les thérapies non médicamenteuses dont les jardins dits "thérapeutiques" font partie. Plantations, récoltes, fleurs, plantes aromatiques, légumes, fruits, stimulation autour des sens, chemins permettant de travailler la proprioception ; autant d'activités qui sont proposées en extérieur, à l'air libre... loin de la pesanteur ressentie en établissement et du brouhaha du collectif. C'est alors l'occasion de se retrouver dehors pour discuter, se remémorer des souvenirs, partager des techniques et pourquoi pas côtoyer des poules, chats et autres animaux de compagnie. Pour quels résultats ? Le premier indice c'est l'ambiance plus détendue, le bien-être et le plaisir ressentis par tous... des échanges qui se nouent entre résidents, avec les soignants ou encore avec les familles. Ceux qui ont testé constatent une diminution de la fréquence des chutes, des accidents, une amélioration des compétences cognitives, une baisse des troubles du comportement, de l'agitation, un meilleur sommeil et surtout une baisse des prescriptions médicamenteuses. Rompre l'isolement et partager, c'est aussi ce qui manque actuellement aux personnes vivant encore à domicile, mais en perte d'autonomie. (...) Le jardin partagé peut être une solution... mais les services d'aide à domicile sont encore peu nombreux à avoir opté pour ce projet...