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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

Réponses 11 à 20 sur un total de 35

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Prévenir les risques propres à chaque salarié

Article de Jean Marc Engelhard

Paru dans la revue Direction(s), n° 206, mars 2022, pp. 14-16.

Mots clés : Travail social : Métiers, Risque professionnel, Prévention, EHPAD, Risques psychosociaux, Burn out, Usure professionnelle, Santé, Santé mentale, Conditions de travail, Bergerac

Repérer et mesurer les risques professionnels tant physiques que psychosociaux au regard de la situation de chaque résident : tel est l'objectif du dispositif ERA Pro développé par la direction de l'Ehpad La Madeleine. En misant sur la prévention primaire, cet outil contribue à une meilleure soutenabilité du travail.

Groupe SOS : la tentation de l’hégémonie

Article de Antonin Amado, Pénélope Bacle

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3209, 14 mai 2021, pp. 6-17.

Mots clés : Travail social : Établissements, Association, Entreprise, Projet, Développement, Finances publiques, Management, Organisation du travail, Conditions de travail, EHPAD, Gestion, Migration, Délinquance, Radicalisation, Partenariat, Innovation sociale

Dossier composé de cinq articles :
Groupe SOS : la tentation de l’hégémonie
Un groupe sur tous les fronts
Ehpad : une stratégie vorace
Au cœur des sujets sensibles
Inco Investissement : le financeur solidaire favori du gouvernement

La crise ravive le malaise des travailleurs sociaux

Article de Emeline Le Naour

Paru dans la revue La Gazette des communes, n° 8/2554, Semaine du 1er au 7 mars 2021, pp. 34-37.

Mots clés : Travail social : Métiers, Travail social, Action sociale, Mouvement social, Assistant de service social, Éducateur spécialisé, Polyvalence de secteur, Crise, Santé, Épidémie, Conditions de travail, Risque professionnel, Risques psychosociaux, Salaire, Rémunération, Méthode de travail social, Bureaucratie, Évaluation, Précarité, Emploi précaire, Ressources humaines, Recrutement, CCAS, Foyer de l'enfance, EHPAD, Collectivité territoriale, Commune, Département

En première ligne durant la crise, les travailleurs sociaux ont dû s'adapter pour continuer à assurer leurs missions, le plus souvent sans les moyens adéquats. Exclus des augmentations de salaires du Ségur et de la prime "Covid", ils espèrent une reconnaissance. Une "bureaucratisation" de la profession loin de l'action de terrain imaginée, de bas salaires, des conditions de travail souvent dégradées et peu de reconnaissance... Certains métiers du secteur peinent à attirer de nouvelles générations. Face au manque de moyens humains et financiers et à ce qui est, selon eux, un désengagement de l’État, les professionnels sont confrontés à une détresse sociale grandissante. Les actions de prévention sont rares et il leur faut répondre à l'urgence.

La psychogériatrie dans le contexte épidémique

Article de Philippe Thomas, Cyril Hazif Thomas

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 146, novembre-décembre 2020, pp. 30-31.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Affectivité, Anxiété, Conditions de travail, Crise, EHPAD, Épidémie, Gériatrie, Isolement, Lien social, Personne âgée, Psychologie, Reconnaissance, Relation, Relation familiale, Relation soignant-soigné, Vieillissement

Le développement de l’épidémie de coronavirus a bouleversé l’organisation des services et augmenté la charge de travail du personnel soignant. Les services ou les établissements accueillant les personnes âgées ont été particulièrement exposés à la contagion. Le personnel a exprimé des craintes légitimes et les résidents, âgés, ont développé des formes graves de la maladie. À l’anxiété générée par le risque d’être contaminé s’est ajoutée celle provoquée par la distanciation physique des visiteurs, nécessaire pour les protéger.

Les salariés s'attaquent à l'usure professionnelle

Article de Jean-Marc Engelhard

Paru dans la revue Direction(s), n° 191, novembre 2020, pp. 12-14.

Mots clés : Travail social : Établissements, Usure professionnelle, EHPAD, Conditions de travail, Risques psychosociaux, Fatigue, Qualité de la vie, Comité social et économique, Représentant du personnel, Organisation du travail, CHAUVIGNY

Changements de services ponctuels, journées "Vis mon métier", mais aussi meilleure prise en compte des suggestions des professionnels en matière d'organisation ou d'équipement... Autant de mesures mises en place par l'Ehpad Les Châtaigniers pour améliorer les conditions de travail et lutter contre l'usure professionnelle.

La nuit en établissement

Article de Alexandra Marquet, Laurence Hardy, Damien Lecocq, et al.

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 29, septembre-octobre 2020, pp. 7-17.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Handicap-Situations de handicap, Établissement pour personnes âgées, Établissement pour personne handicapée, Travail de nuit, Surveillant de nuit, Accompagnement, Usager, Trouble du sommeil, Trouble du comportement, Pratique professionnelle, Activité, Rythme, Santé, Maladie, Conditions de travail, EHPAD, Assistant de soins en gérontologie, Nuit

Niveau de responsabilité élevé, autonomie, rigueur : les qualités du travail de nuit requièrent inévitablement de l'expérience pour les professionnels qui accompagnent, en effectif réduit, des personnes âgées ou en situation de handicap. Intervenant sans la présence de leur hiérarchie et sans le soutien des équipes pluridisciplinaires, les travailleurs de nuit dits "veilleurs" ont longtemps été mal considérés... et cantonnés aux rondes et autres surveillances d'usagers alités ou endormis. Mais force est de constater que, la nuit, dans les les institutions, le silence et le sommeil ne règnent pas sans partage. Il y a les insomnies, les déambulations, les angoisses, les troubles du comportement, les fins de vie et autres urgences médicales à gérer : autant d'imprévus qui demandent réactivité et maîtrise de soi. Au fil des années, l'accompagnement de nuit a évolué. Les pratiques professionnelles ont changé, comme c'est aussi le cas pour les interventions en journée. Dans de nombreux établissements, les résidents ne sont plus couchés avant le départ des équipes de jour. Des activités en groupe ou individuelles sont proposées au cœur des soirées et même au milieu de la nuit, avec toutefois toujours le même objectif : accompagner les usagers vers l'endormissement. La collectivité veille de plus en plus sur le rythme des usagers et la qualité de leur sommeil, mais également sur la santé des professionnels. Et pour cause, les différents rapports ont mis en évidence les effets néfastes sur la santé du travail de nuit. Problèmes de sommeil, troubles métaboliques, prises de poids, diabète, cancers, maladies coronariennes... Cette liste non exhaustive interroge. Les rapports nationaux et d'expertise ne peuvent donc plus être ignorés. C'est pour cette raison que, sur le terrain, de nouvelles organisations voient le jour. Si la continuité de service est toujours recherchée, l'amélioration des conditions de travail pour les équipes de nuit, tout comme le respect du rythme des résidents, fait désormais partie des priorités de l'accompagnement nocturne en établissement.

Les psychologues dans les institutions aujourd'hui

Article de Anne Sylvie Grégoire, Nadège Guidou, Nathalie Schmitt, et al.

Paru dans la revue Connexions, vol. 1, n° 113, janvier-juin 2020, pp. 47-186.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Psychologie, Profession, Pratique professionnelle, Psychiatrie, Santé mentale, Conditions de travail, Violence, Identité professionnelle, EHPAD, Hôpital, École, Institution, Formation, Écrit professionnel, Travail d'équipe

Depuis la création du titre de psychologue en 1985, une conjonction de facteurs scientifiques, politiques et culturels a transformé le métacadre des institutions. Le modèle gestionnaire qui s’est imposé à tous les secteurs vient bouleverser l’organisation et le sens du travail des psychologues. Quatre points méritent ici d’être interrogés :

Comment la vie psychique peut-elle être prise en compte lorsque l’appréciation de la souffrance psychique se trouve en tenailles entre des exigences d’adaptabilité et une conception objectivante ?
En quoi de nouvelles attentes institutionnelles remettent-elles en question les valeurs de la profession, quand l’exigence d’évaluation et de transparence amène les psychologues à devenir des « techniciens » ?
Quels rapports aux groupes et à l’institution sont à repenser, si les organisations demandent aux psychologues d’aider leurs propres équipes ou de participer au développement de la coopération entre les différents pôles de la vie institutionnelle ?
Enfin, quels enjeux pèsent sur la formation, alors que la validité scientifique des théories du psychisme et la pertinence clinique des méthodes de traitement sont remises en cause ?
C’est à travers toutes ces questions que ce numéro de Connexions explore la profession de psychologue aujourd’hui.

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Des professionnels stressés

Article de Alexandra Marquet, Pierre Moyon, Laurence Hardy, et al.

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 27, mai-juin 2020, pp. 7-17.

Mots clés : Travail social : Établissements, Santé mentale-Souffrance psychique, Stress, Souffrance psychique, Établissement social et médicosocial, EHPAD, Équipe soignante, Conditions de travail, Accompagnement, Usure professionnelle, Épidémie, Prévention, Santé mentale, Directeur d'établissement, Responsabilité

Un public dépendant et/ou en situation de handicap souffrant de multipathologies, atteint de troubles du comportement générant violence physique ou verbale, des familles à gérer, un sous-effectif chronique, autant d'éléments qui expliquent l'état de santé ou plutôt de stress permanent des professionnels du médico-social. Une étude publiée en 2015 par la Dares tirait déjà la sonnette d'alarme avec des voyants tous au rouge. Et pour cause, que ce soit les infections psychiques, les troubles musculo-squelettiques, les accidents du travail ou les arrêts maladie, le secteur occupe la bien triste tête du classement des professions en souffrance. Avec des réglementations qui ne cessent d'évoluer, des bonnes pratiques qu'il faut appliquer, des écrits professionnels qui demandent du temps et un public fragilisé à accompagner, le quotidien en Ehpad ou en foyer pour personnes en situation de handicap est usant. Les journées se suivent et ne se ressemblent pas. Bon ou mauvais stress, une chose est sûre, le stress est présent et impacte la qualité de vie au travail des équipes confrontées à l'usure professionnelle ou aux glissements de tâches. Depuis mars, les soignants ont été soumis à rude épreuve en plus de leur quotidien, avec la gestion du Covid-19, qui n'a fait que refléter les difficultés vécues pour le secteur. Face à cette situation, la prévention du stress et des atteintes à la santé mentale liées au travail social relève de la responsabilité et des priorités des directions qui doivent accompagner, proposer une écoute ou encore former avec l'objectif de limiter le risque de mal-être au travail.

Grand âge - L’urgence d’agir

Article de Rozenn Le Berre

Paru dans la revue Lien social, n° 1270, 31 mars au 15 avril 2020, p. 10.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, EHPAD, Conditions de travail, Maltraitance, Aide à domicile

2018 a marqué une crise sans précédent dans le secteur de l'accompagnement des personnes âgées. Burn-out, maltraitance, perte de sens : les professionnels sont sortis du silence.

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Infirmière en Ehpad : "l'impression de se noyer" : entretien avec Mathilde Basset

Article de Audrey Minart

Paru dans la revue Le Cercle psy, n° 33, juin-juillet-août 2019, pp. 74-75.

Mots clés : Travail-Emploi, Budget, Conditions de travail, EHPAD, Infirmier, Organisation du travail, Travail d'équipe

Sous-effectifs, déshumanisation des soins, dérives organisationnelles... Dans un livre-témoignage, l'infirmière Mathilde Basset relate le quotidien qu'elle a vécu dans un Ehpad.