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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Médias sociaux : quel impact sur la santé mentale ?

Article de Pascal Minotte

Paru dans la revue L'Observatoire, n° 110, avril 2022, pp. 31-35.

Mots clés : Technologie numérique, Réseau social, Santé mentale, Adolescent, Jeune, BELGIQUE

Ces dernières années, la place importante qu'occupent les médias sociaux dans la vie des adolescents et jeunes adultes n'a cessé de soulever de nombreuses inquiétudes quand à leur impact sur la santé mentale : dépression, manque de sommeil, perte de confiance et d'estime de soi, image corporelle, effet de comparaison, cyberharcèlement, usages excessifs... La littérature scientifique présente cependant une multitude de résultats contradictoires. Ceux-ci alimentent le débat entre ceux qui estiment qu'il n'existe pas ou peu de danger et qu'au contraire il favorise le bien-être psychosocial. Quel point de vue adopter ? Tour d'horizon de la problématique.

Adaptation et créativité dans la tourmente : retour sur la crise sanitaire au sein du Centre Kali

Article de Lisianne Fiévez, Lucie Parentani

Paru dans la revue L'Observatoire, n° 106, mars 2021, pp. 25-29.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Santé mentale, Épidémie, Crise, Hôpital psychiatrique, Psychiatrie infantile, Jeune, Adolescent

Le centre Kâlî accueille en journée des adolescents qui présentent des troubles psychiques. En les privant de contacts avec leurs pairs, de projets, d'opportunités d'autonomisation et d'expérimentation en dehors de la sphère familiale, mais aussi pendant un temps d'accompagnement thérapeutique en présentiel, la crise sanitaire a accentué leurs fragilités.

Le projet Mosaïque : comment faire face aux effets de la crise sanitaire sur la santé mentale des jeunes ?

Article de Anne Sophie Vleeschauwer, Noémie Castro

Paru dans la revue L'Observatoire, n° 106, mars 2021, pp. 21-24.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Santé mentale, Épidémie, Crise, Souffrance psychique, Anxiété, Isolement, Jeune

Le projet Mosaïque est une initiative d'accompagnement psychologique pour les jeunes en difficulté entre 13 et 30 ans, caractérisé par sa rapidité d'accueil et sa gratuité. Il est le fruit du partenariat entre les services de santé mentale (SSM) Le Grès et le SAS.

Radicalisme violent. Comprendre, prévenir au delà de l'urgence

Article de Colette Leclercq, Romain Lecomte

Paru dans la revue L'Observatoire, n° 86, janvier-mars 2016, pp. 4-81.

Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Justice-Délinquance, Terrorisme, Intégrisme, Jeune, Travailleur social, Religion, Rupture, Islam, Identité, Adolescent, Média, Prévention, Prison, MEDIATION EDUCATIVE

Pourquoi des jeunes de chez nous partent-ils faire la guerre en Syrie ou se font-ils exploser, ici, dans des attentats suicides? Face au phénomène du radicalisme violent coexistent la tentation de ne rien faire, voire du déni, ou celle de croire que le sécuritaire suffira. Pour notre part, nous avons choisi de tenter de mieux comprendre pour désamorcer, prévenir et, au-delà de l’urgence, construire une société plus inclusive.
Ce numéro a été conçu pour aider les travailleurs sociaux, et tous ceux qui se sentent concernés, à déjouer les pièges des amalgames et à réinvestir dans des actions préventives.

Longtemps, nous avons hésité à consacrer un numéro de l’Observatoire à la question du radicalisme violent. N’allions-nous pas encore alimenter la surmédiatisation d’un phénomène qui ne concerne, directement, qu’une petite minorité de jeunes? N’allions-nous pas risquer d’encore attirer les regards inquiets sur une population musulmane déjà fortement stigmatisée?

Nous avons néanmoins fini par franchir le pas. Parce que, à diverses occasions, nous avons pu constater que les travailleurs sociaux se posent de nombreuses questions sur ce sujet complexe et sensible, tout en évitant de trop "s’en mêler" car craignant la maladresse, l’erreur d’interprétation, l’amalgame... Parce que, aussi, la prévention du radicalisme, à condition qu’elle soit clairement dissociée de la répression et du contrôle - ce qui n’est malheureusement pas toujours le cas -, implique d’en revenir à certains fondamentaux du travail social.

Nous avons construit ce dossier en nous appuyant sur les rencontres co-organisées par le Centre Régional d’Intégration de Charleroi (CRIC) et le Centre Régional de Verviers pour l’Intégration (CRVI), en collaboration avec la Direction Générale Opérationnelle de l’Action sociale de la la Région wallonne (DGO5), "Prévention du radicalisme violent. Osons en parler", programmées en octobre et novembre 2015.

Celles-ci nous ont servi de point de départ - vous retrouverez plusieurs orateurs conviés à ces journées dans nos contributeurs - mais nous avons aussi étoffé ce dossier, que nous avons conçu en deux parties, en nous appuyant notamment sur les avis pertinents de Thierry Tournoy, Directeur du CRIC et de Daniel Martin, Directeur du CRVI.

La première partie pose cette terrible question : pourquoi des jeunes de chez nous se laissent-ils séduire par les discours de Daesh et partent-ils faire la guerre en Syrie ou se font-ils exploser dans des attentats suicides ici, en Europe? Pour y répondre, nous avons sollicité une palette de contributeurs qui, par leur expertise, décortiquent ce qui se joue derrière cet embrigadement criminel des jeunes dans le radicalisme violent.

La seconde propose des pistes et des réflexions sur ce qu’il y a lieu de mener, d’inventer, de soutenir comme actions pour prévenir cette radicalisation. Si les travailleurs sociaux ne peuvent certes agir sur la variable géopolitique ni révolutionner notre contexte sociétal actuel, ils peuvent jouer un rôle important dans divers domaines : aider le jeune à se construire comme sujet et comme acteur de son devenir; reconstruire le lien décousu entre celui-ci et la société, sa famille, l’école...; consolider son esprit critique et sa résistance morale face aux tentatives d’endoctrinement; promouvoir l’interculturalité et le vivre-ensemble; lutter contre les inégalités et les discriminations;... Et, au-delà de l’urgence, participer par leurs convictions et leurs idéaux à une société davantage inclusive et porteuse de signes positifs, d’émancipation, d’espoir.

La zoothérapie, un espace relationnel créatif et naturel

Article de Daphné Stadnik

Paru dans la revue L'Observatoire, n° 85, octobre-décembre 2015, pp. 31-32.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Médiation, Animal, Trouble du comportement, Autisme, Personne âgée, Jeune

La zoothérapie est une modalité d’intervention bénéficiant de la rencontre avec l’animal pour susciter un changement auprès de personnes en difficulté. L’expérience du Centre Izis, unique en Belgique par la variété des animaux et du public accueilli et par la nouveauté de son approche, est présentée dans cet article.