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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Intérêt de la photothérapie à domicile

Article de Céline Chamaillard, Sarah Coquery, Sandrine Jaffres, et al.

Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 350, octobre 2021, pp. 35-39.

Mots clés : Santé-Santé publique, Petite enfance-Périnatalité, Nourrisson, Allaitement, Relation enfant-parents, Hospitalisation à domicile, Thérapie, Neurologie, Maladie infantile, Puéricultrice, Suivi médical

L’ictère est le symptôme le plus fréquemment observé durant la période néonatale. Sa surveillance standardisée et son traitement, par photothérapie si besoin, permettent d’éviter les séquelles neurologiques irréversibles. Un programme d’hospitalisation à domicile (HAD) spécifique, pour les nouveau-nés de trois jours et plus à risque d’ictère sévère, a été mis en place par l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris grâce à l’expertise du Centre national de référence en hémobiologie périnatale (CNRHP). La puéricultrice facilite la collaboration avec le service hospitalier, le CNRHP et l’équipe pluridisciplinaire de l’HAD dans ce projet innovant. Le lien parents-enfant est favorisé, le retour à domicile est plus rapide, tout en garantissant la sécurité de ce suivi médical spécialisé.

Le soutien à l’oralité en service de néonatalogie

Article de Coralie Martin

Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 345, mars 2021, pp. 18-23.

Mots clés : Petite enfance-Périnatalité, Oralité, Nourrisson, Prévention, Soin, Développement sensoriel, Alimentation, Trouble du comportement alimentaire, Puéricultrice, Famille, Stimulation, Goût, Sens, Soutien à la parentalité

Le soutien à l’oralité est longtemps resté au second plan dans les services de néonatalogie. Pourtant, des aversions alimentaires et des troubles de l’oralité avec un impact très lourd sur la vie de l’enfant peuvent apparaître. Comment faire en sorte que l’alimentation des enfants les plus vulnérables devienne un plaisir ? Retour d’expérience d’une puéricultrice, référente en oralité, qui travaille sur la prévention des dystimulations orales en néonatalogie, en lien avec la famille.

Plus-value de la puéricultrice hospitalière

Article de Emilie Courtois, Mathilde Le Garf, Françoise Zammit, et al.

Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 342, décembre 2020, pp. 11-33.

Mots clés : Petite enfance-Périnatalité, Puéricultrice, Hôpital, Individualisation, Équipe soignante, Enfant malade, Compétence professionnelle, Coordination, Hospitalisation, Pédiatrie, Nourrisson, Consultation médicale, Parentalité, Pédagogie, Réduction des risques, Jeu

Si un doute subsistait sur la plus-value de la puéricultrice en milieu hospitalier, la lecture de ce dossier devrait le lever. Prendre le leadership au sein d'un service de soins, monter un projet sur l'optimisation du parcours de soins des enfants avec une hospitalisation programmée, mener des consultations auprès d'enfants et de parents, mettre en place une formation pour prévenir les événements indésirables en service de néonatalogie, former ses collègues aux soins de développement des nouveau-nés en passant par le jeu, etc. sont autant d'exemples qui confirment les bénéfices apportés par la puéricultrice hospitalière.

La consultation de puéricultrice

Article de Charles Eury, Sébastien Colson, Sandrine Mayen Rodrigues, et al.

Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 339, août-septembre 2020, pp. 13-32.

Mots clés : Petite enfance-Périnatalité, Puériculture, Puéricultrice, PMI, Consultation, Pratique professionnelle, Diagnostic, Inégalité, Enfant, Prévention, Coordination, Pluridisciplinarité, Suivi médical, Hôpital, Nourrisson

Les consultations de puéricultrice constituent une réalité aujourd'hui bien ancrée sur le territoire national. Pouvant prendre des formes diverses, elles s'exercent encore principalement dans les services de protection maternelle et infantile, où les puéricultrices bénéficient d'une autonomie suffisante pour développer une démarche de consultation formalisée. Le secteur hospitalier voit également s'accroître ce type de dispositif avec, à la clé, un parcours de soins fluidifié et un accompagnement des familles renforcé. Véritable mise en œuvre des compétences spécifiques de la spécialité de puéricultrice, ces consultations doivent désormais être reconnues et valorisées au niveau national. Nous vous proposons un tour d'horizon des pratiques actuelles et des évolutions futures.

Toxicomanies et parentalité

Article de Coralie Cadène, Elsa Lorphelin

Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 328, juin-juillet 2019, pp. 22-24.

Mots clés : Toxicomanie-Addictions, Petite enfance-Périnatalité, Observation, Soutien à la parentalité, Toxicomanie, Sevrage, Prise en charge, Puéricultrice, Attachement, Relation enfant-mère, Nourrisson

Dans les services de maternité ou de néonatologie, il existe une recrudescence d’accueil de parents toxicomanes et/ou polydépendants. Le syndrome de sevrage néonatal est difficile, tant pour les parents que pour les soignants qui les accompagnent. De plus, il s’agit d’une pathologie taboue pour laquelle les équipes ne sont pas assez formées. La puéricultrice a un rôle primordial à jouer dans la prise en soins de ces familles.

La visite à domicile

Article de Emilie Courtois, Catherine Sellenet, Annie Billot, et al.

Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 321, novembre 2018, pp. 13-35.

Mots clés : Petite enfance-Périnatalité, Puéricultrice, Prévention, Intervention à domicile, Intimité, Lieu de vie, Périnatalité, Nourrisson, Famille, PMI, Observation, Pratique professionnelle, Accessibilité, Inégalité, Brazelton (Thomas Berry)

Les 43e Journées nationales d'études des puéricultrices ont été l'occasion de faire le point sur les visites à domicile. Considérées comme bienveillantes et nécessaires par les soignants, elles peuvent être vécues comme intrusives par les parents. Comment la puéricultrice doit-elle alors se positionner ? La visite à domicile est un outil essentiel de prévention, notamment auprès des familles ayant des difficultés à accéder aux services de santé. Réinterroger cette pratique permet néanmoins d'éviter de la banaliser et de prendre en compte ce lieu de soins différent de l'hôpital ou des services de protection maternelle et infantile. Savoir trouver la juste distance est un enjeu majeur pour maintenir les visites à domicile et réduire ainsi les inégalités d'accès au système de santé.

L’intervention précoce en périnatalité face à la souffrance psychique du bébé

Article de Asmâa Cochereau

Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 317, mai 2018, pp. 25-29.

Mots clés : Petite enfance-Périnatalité, Périnatalité, Souffrance psychique, Nourrisson, Médiation, Thérapie, Psychiatrie infantile, Soin, Relation enfant-parents, Puéricultrice, Dépistage, Relation enfant-mère, Psychologie du développement, Allaitement, Toucher, Massage, Équipe pluridisciplinaire

La puéricultrice s’inscrit au sein des compétences médicosociales du service de psychiatrie infanto-juvénile via un travail interdisciplinaire et partenarial avec les professionnels du champ de la périnatalité. Le rôle de la puéricultrice dans une unité de soins pour nourrissons-parents se situent tant dans la prévention, que dans le repérage des signes d’alerte qui peuvent concerner le nouveau-né et les interactions bébés-parents. L’implication dans le dispositif de soins s’appuie sur des consultations et des suivis, individuels et groupaux, pour accompagner le bébé et ses parents.