PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Paru dans la revue Thérapie familiale, vol. 31, n° 4, pp. 305-472.
Mots clés : Famille, Image mentale, Représentation sociale, Famille en difficulté, Psychothérapeute, Interaction, Pratique professionnelle, Relation soignant-soigné, Thérapie, Thérapie de couple, Thérapie familiale, Thérapie de groupe
Paru dans la revue Thérapie familiale, vol. 31, n° 4, pp. 339-355.
Mots clés : Adoption, Psychothérapie, Jeune en difficulté, Représentation sociale, Psychothérapeute, Filiation, Famille naturelle, Famille d'accueil, Groupe d'appartenance, Adolescent
Article de Catherine VASSELIER NOVELLI, Charles HEIM
Paru dans la revue Thérapie familiale, vol. 31, n° 4, pp. 397-415.
Mots clés : Violence, FEMME BATTUE, Homme, Couple, Famille, Représentation sociale, Psychothérapeute, Groupe de parole, Prison, Détenu, Témoignage, Service pénitentiaire d'insertion et de probation
Le travail en co-intervention, à deux ou à plusieurs, ne s'improvise pas. La santé d'une équipe ne réside pas dans l'absence de crises mais dans sa capacité de les vivre, d'identifier ses maladies et de voir comment les dépasser. Les tensions font partie de la vie institutionnelle, comme le conflit intérieur est inhérent à la condition humaine. Quel espace de parole pour s'interpeller entre professionnels, pour questionner les impasses dans lesquelles chacun peut se sentir coincé, comment continuer à collaborer au-delà des conflits ? Autant de questions qui nécessitent en toile de fond la confiance, toujours à remettre sur le métier pour créer un espace de négociation et permettre une élaboration commune au service de la clinique. Le concept de « différenciation du soi », élaboré par M. Bowen, sert notamment de fil de conducteur pour tenter de déjouer les pièges et favoriser un contexte dans lequel la parole de chacun se dégage des enjeux relationnels.
Paru dans la revue Thérapie familiale, vol. 31, n° 3, pp. 249-266.
Mots clés : Émotion, Thérapie, Relation, Communication, Relation soignant-soigné, Psychothérapeute
Si le passage dans le traitement de l'individu à la famille, constitua une révolution épistémique, le retour à l'individu se fait avec moins de bruit. Néanmoins, l'individu récupéré par la thérapie systémique est un individu relationnel. La psychothérapie commence à prendre en compte le principal instrument de la relation : l'émotion, sans laquelle il n'y a pas de cognition. Cela est actuellement facilité par les avancées en neuroscience et l'étude des relations précoces. Des concepts comme schéma et communication émotionnelle sont nécessaires pour comprendre le processus de changement. Malgré les difficultés de la prise en compte de l'émotion, elle reste un élément essentiel dans la relation et dans toute thérapie. Les thérapeutes ne peuvent plus faire l'économie des émotions, ni celles du patient ni les siennes propres.