PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Paru dans la revue Tiers, n° 19, juin 2017, pp. 11-127.
Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Posture professionnelle, Identité, Relation interpersonnelle, Changement, Médiation familiale, Communication
Article de Patricia Attigui, Angélique Gozlan, Barbara Smaniotto, et al.et al.
Paru dans la revue Revue de l'enfance et de l'adolescence, n° 95, juin 2017, pp. 7-176.
Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Culture-Loisirs, Technologie de l'information et de la communication, Adolescent, Réseau d'information et de communication, Jeu vidéo, Jeu en réseau, Internet, Psychanalyse, Psychopathologie, Médiation, Identité, Soin, Addiction
Article de Grégoire Zimmermann, Marlène Barbosa Carvalhosa, Gillian Albert Sznitman, et al.
Paru dans la revue Enfance, vol. 69, n° 2, avril-juin 2017, pp. 239-261.
Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Adolescent, Conduite à risque, Transgression, Identité
Au cours des dernières décennies, on a assisté à une « pathologisation » de plus en plus importante des conduites à risque à l’adolescence rarement considérées comme de simples comportements de transgression constitutifs de cette période. Pourtant plusieurs auteurs ont souligné l’importance des conduites d’exploration dans la résolution des processus identitaires, d’individuation et de socialisation au cours de cette période développementale. Cet article a pour objectif de proposer une réflexion critique sur les conduites à risque à l’adolescence et examine en quoi l’approche théorique d’Erikson et les travaux néo-eriksonniens sur la construction identitaire offrent des pistes intéressantes par rapport à la compréhension du rôle de la prise de risque au cours de cette période développementale.
En présence de ses patients, le thérapeute pense, éprouve des émotions, des sensations ; il est traversé de souvenirs personnels, d’associations, de métaphores... De ce riche matériel, il ne leur restitue généralement que peu d’éléments relevant de la sphère affective – émotions, sensations, images – car très souvent, il privilégie plutôt les idées, les représentations, les hypothèses, à savoir du matériel issu de la sphère cognitive. De plus, ce qu’il leur communique provient plutôt de son soi professionnel que de son soi privé. Cette double censure a de bonnes raisons d’être car le thérapeute a un rôle professionnel à tenir à l’égard de ses patients. Mais n’est-ce pas là du gaspillage, voire de l’automutilation ? Bien élaborées et moyennant certaines mesures de précaution, les interventions comportant une utilisation plus large du soi du thérapeute sont parmi les plus mobilisatrices. Cet article propose des illustrations cliniques ainsi que des repères méthodologiques pour les construire.
Paru dans la revue L'Autre, vol. 17, n° 3, janvier-mars 2017, pp. 300-310.
Mots clés : Petite enfance-Périnatalité, Immigration-Interculturalité, Mensonge, Identité, Socialisation, Pensée, Individualisation, Autonomie, Jeune enfant, Devereux Georges
Troisième prix des jeunes auteurs - Les hommes se déplacent, d’un pays à un autre, ou d’une région à une autre, en quête, pour la majorité, de meilleures conditions de vie. Cela implique déchirement, rupture des liens d’appartenance avec le monde connu. En situation de migration, l’identité propre et l’identité sociale sont questionnées. Le travail thérapeutique en systémique consiste à comprendre l’homme et ses systèmes. Le thérapeute systémicien étant, bien souvent dans cette relation, confronté lui-même à ses propres liens d’appartenance et à ses résonances.