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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Un balcon citadin devenu thérapeutique...

Article de Maÿlis Baylé

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 33, avril-juin 2019, pp. 19-20.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Jardinage, Thérapie, Milieu urbain

Au printemps 2015, l'arrivée des premières fleurs dans les jardins publics et sur les balcons de ma ville a été l'occasion d'une idée verte : pourquoi ne pas transformer le balconnet de mon bureau en espace esthétique et rééducatif ? L'idée a été de concentrer sur ce petit espace un maximum d'outils pouvant soutenir les rééducations réalisées au sein du cabinet : de la prise en charge de l'oralité alimentaire de l'enfant au travail auprès des personnes présentant des troubles neurologiques. Plusieurs espaces ont alors été définis.

Les jardins du souvenir

Article de Sonia Trinquier

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 33, avril-juin 2019, pp. 17-18.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Jardinage, Thérapie, Animation, Mémoire, Maladie d'Alzheimer, Formation, Association Mosaïque des Hommes et des Jardins

Référente Jardins, Nature et Santé en Occitanie et membre cofondatrice de la jeune Fédération française Jardins, Nature et Santé, l'association Mosaïque des Hommes et des Jardins conçoit, coordonne et anime des jardins à visée thérapeutique. Les établissements font appel à nos services pour former leur personnel soignant, ou bien aménager et rendre fonctionnel leurs espaces verts et terrasses, ou encore animer des ateliers jardins clés en main et adaptés à leurs résidents.

Jardins thérapeutiques et troubles de la mémoire

Article de Stella Choque

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 33, avril-juin 2019, pp. 15-16.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Vieillissement, Mémoire, Stimulation, Jardinage

Jardiner est une activité ludique qui plaît à de plus en plus de Français. Nombre de résidents arrivant en institution ou sont suivis à domicile la pratiquent. Elle constitue donc un excellent support pour stimuler la mémoire des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer ou présentant des troubles mnésiques quelle qu'en soit l'étiologie. Qu'il s'agisse de redonner le sourire à Jeanne ou bien d'inciter Raymond à reprendre une activité physique, le jardinage thérapeutique peut atténuer leurs troubles mnésiques.

Quand le jardin soigne les malades d'Alzheimer

Article de Maxime Ricard

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 33, avril-juin 2019, pp. 11-12.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Jardinage, Maladie d'Alzheimer, Thérapie, Hôpital, Maison de retraite, EHPAD

Ces dernières années, de nombreux hôpitaux, maisons de retraite et autres structures pour personnes âgées ont aménagé des jardins spécialement conçus pour l'accompagnement et la prise en charge de malades Alzheimer. Mais, pour être réellement thérapeutiques, ces jardins doivent être conçus selon un cahier des charges bien précis. L'implication des soignants est également une condition sine qua non à la réussite de cette thérapie non médicamenteuse qui se développe de plus en plus.

Jardins thérapeutiques : pour quels bénéfices ?

Article de Alexandra Marquet, Maxime Ricard, Jérôme Pellissier, et al.

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 33, avril-juin 2019, pp. 10-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Vieillissement, Personne âgée, Maladie d'Alzheimer, Jardinage, Thérapie, EHPAD, Lien social, Mémoire, Animation sociale, Dépendance, Association Aid'Aisne

A l'heure où l'été arrive et où les jours rallongent, les espaces verts sont pris d'assaut par les jardiniers. Mais une fois la perte d'autonomie constatée, et la dépendance installée, de nombreuses personnes âgées sont contraintes de cesser de jardiner. Certaines à domicile n'ont plus de potagers ou de massifs de fleurs, qui demandent trop d'entretien, quand d'autres, une fois institutionnalisées, restent cloîtrées entre les murs de l'établissement, assises devant la télé. Et pourtant, depuis quelques années, les soignants misent de plus en plus sur les thérapies non médicamenteuses dont les jardins dits "thérapeutiques" font partie. Plantations, récoltes, fleurs, plantes aromatiques, légumes, fruits, stimulation autour des sens, chemins permettant de travailler la proprioception ; autant d'activités qui sont proposées en extérieur, à l'air libre... loin de la pesanteur ressentie en établissement et du brouhaha du collectif. C'est alors l'occasion de se retrouver dehors pour discuter, se remémorer des souvenirs, partager des techniques et pourquoi pas côtoyer des poules, chats et autres animaux de compagnie. Pour quels résultats ? Le premier indice c'est l'ambiance plus détendue, le bien-être et le plaisir ressentis par tous... des échanges qui se nouent entre résidents, avec les soignants ou encore avec les familles. Ceux qui ont testé constatent une diminution de la fréquence des chutes, des accidents, une amélioration des compétences cognitives, une baisse des troubles du comportement, de l'agitation, un meilleur sommeil et surtout une baisse des prescriptions médicamenteuses. Rompre l'isolement et partager, c'est aussi ce qui manque actuellement aux personnes vivant encore à domicile, mais en perte d'autonomie. (...) Le jardin partagé peut être une solution... mais les services d'aide à domicile sont encore peu nombreux à avoir opté pour ce projet...

L'annonce d'une mauvaise nouvelle

Article de Tristan Cudennec, Dominique Pierre, Jean Paul Pestre, Florence Rollot Tradet al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 136, mars-avril 2019, pp. 11-35.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Annonce de la maladie, Cancer, Déficience cognitive, Démence sénile, Déontologie, Diagnostic, Éthique, Fin de vie, Gériatrie, Maladie d'Alzheimer, Mort, Parole, Personne âgée, Relation soignant-soigné, Traumatisme, Vieillissement, Vulnérabilité

L'annonce du décès d'un patient à ses proches

Article de Valérie Kirchner, Valérie Tambouras, Rodolphe Daire

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 136, mars-avril 2019, pp. 28-34.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Annonce de la maladie, Diagnostic, Éthique, Fin de vie, Maladie d'Alzheimer, Mort, Parole, Personne âgée, Relation soignant-soigné, Vieillissement

L’annonce du décès d’un patient est un moment marquant dans l’accompagnement de ses proches. La pratique de cette annonce requiert un professionnalisme, une prise en compte de la souffrance du proche et des enjeux de ce moment. Au-delà de la théorie et des repères proposés, l’enjeu de l’annonce doit être pensé par les services et les soignants. Il laisse place à la créativité, l’adaptabilité et l’humanité de celui ou de celle qui annonce.

L'annonce en oncogériatrie, l'efficience du binôme infirmier-médecin

Article de Florence Rollot Trad, Sadia Bonhomme

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 136, mars-avril 2019, pp. 23-27.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Annonce de la maladie, Cancer, Diagnostic, Équipe soignante, Éthique, Maladie d'Alzheimer, Parole, Personne âgée, Relation professionnelle, Relation soignant-soigné, Soin, Vieillissement

De l’annonce diagnostique à l’arrêt des traitements, le parcours de soins du patient âgé atteint de cancer est parsemé d’annonces. Celles-ci se mêlent aux actions de soins et d’accompagnement. La collaboration et les interventions partagées entre médecins et infirmiers sont essentielles pour une prise en charge optimisée du patient âgé et de ses aidants.

L'annonce diagnostique en oncogériatrie

Article de Jean Yves Niemier

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 136, mars-avril 2019, pp. 19-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Annonce de la maladie, Accompagnement, Cancer, Déficience cognitive, Diagnostic, État dépressif, Éthique, Gériatrie, Maladie d'Alzheimer, Parole, Personne âgée, Relation soignant-soigné, Traumatisme, Vieillissement

L’annonce diagnostique d’un cancer chez une personne âgée est souvent difficile. Elle peut être impactée par des troubles sensoriels, cognitifs, un syndrome dépressif ou par la présence des proches. Il faut tenir compte d’une maladie parfois évoluée, d’une espérance de vie réduite et d’une fragilité patente à rechercher. Il est important qu’elle puisse être réalisée quelle que soit la situation clinique, mais toujours de manière adaptée, honnête et graduée.

Ethique et mauvaise nouvelle à un patient Alzheimer

Article de Julien Berthaud, Jean Paul Pestre

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 136, mars-avril 2019, pp. 15-18.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Annonce de la maladie, Démence sénile, Déontologie, Diagnostic, Éthique, Maladie d'Alzheimer, Parole, Personne âgée, Relation soignant-soigné, Vieillissement, Vulnérabilité

L’annonce d’une mauvaise nouvelle à un malade d’Alzheimer soulève souvent des interrogations éthiques : faut-il ou non informer la personne alors qu’elle risque de ne pas comprendre ou de ne pas retenir les explications fournies ? Si l’annonce de la vérité semble souhaitable au premier abord, il faut savoir analyser finement les enjeux car cette vérité peut être délétère pour un malade vulnérable. La personne qui informe peut se trouver au centre d’un conflit : d’un côté loyauté et devoir moral d’information, de l’autre mensonge bienveillant pour protéger le malade d’une information bouleversante. La connaissance des enjeux éthiques de ce dilemme peut éclairer le chemin à suivre au bénéfice du malade, de son entourage et des soignants.