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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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“L’euthanasie est le dernier soin”

Article de Brigitte Bègue

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3090, 28 décembre 2018, pp. 28-29.

Mots clés : Santé-Santé publique, Euthanasie, Deuil, Législation, Fin de vie

Contrairement à la France, la Belgique autorise depuis 2002 l’euthanasie dans certaines conditions. Selon Yves de Locht, médecin généraliste belge, abréger les souffrances d’un patient atteint d’une affection incurable est une évidence. Il en témoigne dans son livre « Docteur, rendez-moi ma liberté ».

Droit de prescription des médecins coordonnateurs : l’embrouillamini législatif

Article de Jonathan Blondelet

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3090, 28 décembre 2018, p. 15.

Mots clés : Santé-Santé publique, Grand âge-Vieillissement, EHPAD, Personne âgée, Santé, Médecin, Prescription médicale, Urgence médicale

Sujet de polémique depuis des années, le droit de prescription des médecins coordonnateurs va-t-il devenir une réalité à la faveur d’un amendement au projet de loi de financement de la sécurité sociale, voté par le Sénat ? Pas si simple. Le gouvernement entend encadrer ce droit qui ne verra le jour qu’après une large concertation.

Le rôle clé des médecins coordonnateurs

Article de Nathalie Auphant

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3090, 28 décembre 2018, p. 13.

Mots clés : Santé-Santé publique, Grand âge-Vieillissement, Santé, EHPAD, Personne âgée, Dossier médical, Suivi médical, Coordination, Fichier, Technologie numérique

Lancé officiellement le 6 novembre dernier par la ministre de la Santé, le dossier médical partagé a vocation à devenir le carnet de santé numérique de tous, selon la Caisse nationale d’assurance maladie qui pilote son déploiement. Dans les Ehpad, cet outil pose la question de l’informatisation du suivi des personnes âgées et de l’adhésion des médecins coordonnateurs.

Santé des personnes sous main de justice

Article de Virginie Halley des Fontaines, Pierre Czernichow

Paru dans la revue Actualité et dossier en santé publique, n° 104, septembre 2018, pp. 7-50.

Mots clés : Santé-Santé publique, Administration pénitentiaire, Prison, Détenu, Statut, Santé, Santé mentale, Soin, Accès aux soins, Hospitalisation, Maladie infectieuse, Dépistage, Prise en charge, Psychopathologie, Suicide, Addiction, Politique sanitaire, Réinsertion sociale, GENEPI, France, Royaume Uni de Grande Bretagne et d'Irlande du Nord, Belgique

En publiant l’avis sur l’évaluation de la stratégie santé des personnes placées sous main de justice, le Haut Conseil de la santé publique a rappelé que ces personnes devaient bénéficier de la logique globale de la stratégie nationale de santé, privilégiant la promotion de la santé, la prévention, la lutte contre les inégalités d’accès aux soins, la qualité de ces soins, leur sécurité et leur pertinence. Dire que les états de santé conditionnent la réinsertion des personnes placées sous main de justice est une évidence. Il s’agit donc de leur garantir un accès aux soins équivalent à celui dont bénéficie par principe la population générale. Cela implique, si la population sous main de justice est exposée à des risques spécifiques, qu’ils soient identifiés, que l’information soit connue, et que la réponse apportée soit adéquate.
Longtemps on a parlé de la santé des seuls détenus sous la responsabilité de l’administration pénitentiaire. L’expression « personnes placées sous main de justice » élargit la focale et englobe toute « personne confiée » aux services de la justice, selon le terme choisi par l’administration en charge de la protection de la jeunesse [...].