Rechercher un article, un ouvrage, une thèse

PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

Réponses 1 à 5 sur un total de 5

Votre recherche : ref:81102..81144

Handicap et sexualité : déconstruire les préjugés

Article de Florence Pagneux

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 2982, 09 novembre 2016, pp. 22-25.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Handicap, Sexualité, Travailleur social, Formation, Projet d'établissement

De plus en plus d’établissements et de services prennent en compte la dimension affective et sexuelle des personnes en situation de handicap. Reste à dépasser le stade des bonnes intentions, ce qui passe par la formation des professionnels, un travail sur les représentations du couple et de la sexualité, mais aussi par l’engagement actif des directions et de leurs tutelles.

Comprendre la réforme des Bpjeps

Article de Roselyne Van Eecke

Paru dans la revue Le Journal de l'animation, n° 173, novembre 2016, pp. 76-81.

Mots clés : Culture-Loisirs, BPJEPS, Réforme, Animation, Sport, Diplôme, Formation, VAE

Plus de 90000 diplômes dans les métiers de l'animation et du sport ont été délivrés au cours des cinq dernières années par les ministères chargés de la Jeunesse et des Sports. Le Bpjeps est le plus connu parmi eux, sans doute parce qu'il représente près de 80% des encadrants professionnels de ce secteur, sport et jeunesse confondus. Il vient d'être réformé, avec un réel souci de simplification et d'ouverture du dispositif. Passons en revue ce qui change et ce qui demeure, à travers l'analyse des nouveaux textes qui s'appliquent depuis le 1er septembre 2016.

Faire tomber le tabou de la fin de vie en institution

Article de Alexandra Marquet, Françoise Mohaër, Colette Peyrard, et al.

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 5, septembre-octobre 2016, pp. 8-18.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Fin de vie, Accompagnement de fin de vie, Soins palliatifs, EHPAD, Personne âgée, Mort, Formation, Équipe soignante, Tabou, Personne handicapée, Souffrance, Loi 2016-87 du 2 février 2016

D'un côté, en EHPAD, les personnes entrent de plus en plus tard, très affaiblies avec des poly-pathologies ; de l'autre, en foyer, le vieillissement des personnes souffrant d'un handicap mental ou psychique fait de plus en plus partie du quotidien des équipes. Face à ces situations, les professionnels ont été formés à accompagner les personnes dans les actes de la vie quotidienne, à stimuler les capacités restantes, mais pas à gérer cette fin de vie. Or, un professionnel non formé est avant tout un professionnel non préparé. "Je ne saurais pas faire, j'ai peur". C'est en substance le discours entendu en structure.... Pour beaucoup d'experts et de fins connaisseurs de cet accompagnement, l'enjeu est la formation, la sensibilisation et surtout l'anticipation pour faire tomber le tabou du soin palliatif. Les EHPAD et les foyers spécialisés doivent avoir l'ambition de concevoir un projet partagé pour répondre à la problématique du dernier souffle. C'est d'ailleurs en respectant le choix des personnes âgées et handicapées qui ne veulent pas mourir à l'hôpital que ces établissements joueront pleinement leur rôle, en accompagnant la personne dans sa vie et ainsi dans sa mort. C'est en offrant un accompagnement adapté et individualisé de la fin de vie que les EHPAD pourront s'éloigner de cette image de mouroir qui leur colle encore malheureusement à la peau. Autant se préparer et miser sur la pluridisciplinarité qui a tout son sens : HAD, SSIAD, équipes mobiles de soins palliatifs sont autant de ressources extérieures qui viennent seconder les équipes en établissement...

L’utilisation du génogramme en formation de thérapeutes familiaux psychanalytiques

Article de Marthe Barraco de Pinto

Paru dans la revue Dialogue, n° 213, septembre 2016, pp. 83-92.

Mots clés : Enfance-Famille, Thérapie familiale, Génération, Psychanalyse, Formation, Famille, Outil

Après une évocation des travaux de quelques cliniciens qui se servent du génogramme comme médiation, l’article s’attache à présenter cet outil dans le cadre de la formation des thérapeutes familiaux de l’association psyfa (Psychanalyse et Famille). Sont envisagés en particulier sa finalité et les modalités de son utilisation. Le but de cet exercice en groupe est de permettre à chacun de réfléchir à la place qu’il occupe dans sa famille actuelle, de repérer les legs des générations précédentes, de s’intéresser aux phénomènes de répétition qui impactent les différents membres du groupe familial ainsi que les relations traduites en termes d’alliances. Les particularités de la situation groupale sont aussi évoquées, comme les nécessités du cadre contenant, les résonances induites chez les participants et la créativité du groupe qui s’exprime. Les témoignages de thérapeutes en formation jalonnent cet écrit et illustrent les propos.

Accès à la version en ligne