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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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La garantie jeunes séduit les missions locales

Article de Caroline Sédrati Dinet

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, vol. 2946, 05 février 2016, pp. 23-28.

Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Travail-Emploi, Jeune majeur, Précarité, Insertion professionnelle, Mission locale pour l'emploi, Dispositif d'insertion

Le gouvernement a décidé d’étendre l’expérimentation de la garantie jeunes à tous les territoires volontaires. Une bonne nouvelle pour les missions locales qui soulignent l’intérêt d’un dispositif qui part des potentialités des jeunes et des territoires et s’inscrit dans la durée. Ce qui ne les empêche pas d’être réservées sur les modalités d’attribution des crédits d’accompagnement.

Plan pour l'emploi : état d'urgence

Article de Philippe Duval, Myriam El khomri, Sandrine Foulon, Vincent Grimault

Paru dans la revue Alternatives économiques, n° 354, février 2016, pp. 10-18.

Mots clés : Travail-Emploi, Emploi, Chômeur, Chômage, Diagnostic, Formation, Apprentissage, Jeune travailleur

Se remettre à la page. Une librairie d'insertion

Article de Sandra Mignot

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 2944, 29 janvier 2016, pp. 18-22.

Mots clés : Lien social-Précarité, Travail-Emploi, Exclusion sociale, Précarité, Atelier et chantier d'insertion, Insertion par l'économique, Accompagnement social, YVELINES, TRAPPES

La librairie Le Mille-Feuilles a été créée dans les Yvelines il y a dix ans sous la forme d'un chantier d'insertion. Un support original pour ramener vers l'emploi des personnes en difficulté. Mais son équipe se heurte aujourd'hui à une baisse de ses financements.

Charte des Rues marchandes : pour une reconnaissance des "biffins" comme acteurs sociaux à part entière !

Paru dans la revue Vie sociale et traitements VST, n° 128, octobre-décembre 2015, pp. 81-86.

Mots clés : Travail-Emploi, Recherche-action, Milieu urbain, Économie sociale et solidaire, Expérimentation, Innovation sociale

C’est une réalité socio-économique, et aussi un collectif d’acteurs en recherche.
C’est la rencontre entre un parcours de vie et un parcours de l’objet qui suit tout le cycle de la récupération-vente entre la mise au rebut (récupération, tri, revalorisation) et sa réintroduction pour une seconde vie à travers des marchés qui se déroulent régulièrement dans l’espace public (marchés biffins). Par cette expérience collective d’une économie informelle se constitue un groupe diversifié de la population (communauté des récupérateurs-vendeurs) qui y trouve un complément de revenu et un espace de socialisation. Par extension, les Rues marchandes peuvent inclure d’autres activités ayant pour point commun une maîtrise d’usage de la rue comme lieux d’urbanité et d’attractivité.
C’est une association de fait proposant, à travers la présente charte, une plate-forme ressource, et des chantiers en Île-de-France, tout en ayant la perspective de croiser d’autres régions en France et ailleurs où cet espace socio-économique constitue un enjeu. Cet association de fait s’incarne dans un collectif de récupérateurs-vendeurs, militants, citoyens, chercheurs, créateurs, travailleurs sociaux, entrepreneurs et innovateurs de l’économie sociale, formateurs… Tous concernés pour poser autrement la question des Rues marchandes du côté de la solution, non du problème.

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Le travail qui soigne ?

Article de Anne Lise Ullmann, Muriel Raoult Monestel, Gérard Zribi, et al.

Paru dans la revue Vie sociale et traitements VST, n° 128, octobre-décembre 2015, pp. 11-66.

Mots clés : Travail-Emploi, Travail, Code, Personne handicapée, ESAT, Ergothérapie, Identité, Action éducative, Autonomie, Chômage, Atelier et chantier d'insertion, Insertion sociale, Réinsertion sociale, Réinsertion professionnelle, Prévention de la délinquance

Le travail, machine à aliéner pour certains, triste nécessité pour d’autres, pourrait-il avoir une fonction positive ? Travailler dans le cadre d’un chantier d’insertion, en intérim social, s’engager dans un job payé à la journée, être travailleur handicapé dans un esat, se former avec des éducateurs techniques… cela peut-il redonner dignité et estime de soi, constituer une rééducation ou un réaccrochage social ? Il faut aller voir, dans le concret des pratiques éducatives et thérapeutiques, les conditions de mise en place et de fonctionnement du travail proposé : autonomie d’action, responsabilité, coopérations, globalité des tâches, accompagnements, adaptations… Reste que le travail devient une denrée rare dans la grande cour de l’entreprise, et qu’il y en a de moins en moins pour les amochés de la vie. Sont-ils dès lors destinés à vivre toute leur vie d’emplois aidés ?

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