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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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La mobilité au coeur de l'accompagnement

Article de Alexandra Marquet

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 22, juillet-août-septembre 2016, pp. 33-34.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Accueil de jour, Vieillissement, Personne âgée, Expérimentation, Maintien à domicile, Accompagnement, Aidant familial, Équipe soignante, Maine et Loire

Depuis 2012, un accueil de jour itinérant a vu le jour dans le Maine et Loire. Créé par Marina Baconnais, aide médico-psychologique, et Lydie Picard, aide-soignante, ce dispositif expérimental accompagne des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer ou de troubles apparentés dans des lieux neutres, à l'image d'un club. En imaginant cette structure atypique, l'objectif était aussi de lever les freins liés à l'absence de mobilité des personnes âgées mais aussi de favoriser le maintien à domicile dans de bonnes conditions.

Les bienfaits de l'activité physique adaptée

Article de Virginie Babin, Julie Cazalas, Méline Noireaut

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 22, juillet-août-septembre 2016, pp. 31-32.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Culture-Loisirs, Activité physique, Sport adapté, Personne âgée, Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Aidant familial, Loisir, Bien-être, Santé, APA-S (Activités physiques adaptées-santé)

La maladie d'Alzheimer affecte de manière significative la vie de la personne mais également celle de son entourage familial. Les proches endossent le rôle d'aidant et, avec la progression de la maladie, l'aide apportée devient une activité à temps plein. Afin d'éviter que l'aidant se retrouve dans cette situation, la pratique d'une activité physique adaptée de manière régulière est une solution. Les activités physiques adaptées (APA) s'appuient sur des pratiques physiques dans un but de loisirs et de bien-être afin de préserver l'état de santé.

Repas thérapeutique adapté

Article de Liza Bousquet

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 22, juillet-août-septembre 2016, pp. 27-28.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Repas, Thérapie, Maladie d'Alzheimer, Personne âgée, Vieillissement, Accompagnement, Équipe soignante, Maladie, Médicament, Relation soignant-soigné

Les personnes souffrant de la maladie d'Alzheimer ou d'une maladie apparentée présentent un risque important de dénutrition. La perte de poids survient dans plus de 40 % des cas dès le début de la maladie. D'où l'importance d'un accompagnement durant la prise des repas, qui doit être un moment de détente. Toutefois, les aidants rencontrent souvent des difficultés compte tenu de l'attitude de l'aidé, qui ne voudra pas nécessairement manger ou encore n'arrivera pas à se servir de ses couverts.

Le manger-main pour un retour de l'autonomie

Article de Rachel Le Méhauté

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 22, juillet-août-septembre 2016, pp. 16-17.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Alimentation, Repas, Stimulation, Main, Personne âgée, Vieillissement, Dépendance, EHPAD, Autonomie, Plaisir, Maladie d'Alzheimer

Le "manger-main", également appelé "finger-food", désigne un repas cuisiné de telle façon qu'on puisse le déguster sans utiliser de couverts. L'utilisation de mets à picorer avec les doigts en EHPAD n'est pas nouvelle, puisque les premiers essais "officiels" datent des années 2000. Mais force est de constater que son recours se développe dans un nombre croissant d'établissements. Divers essais sont testés par les équipes, des formations sont proposées aux professionnels, des publications apparaissent. Effet de mode ou adaptation des pratiques ?

L'alimentation au coeur de l'accompagnement

Article de Alexandra Marquet, Cécile Bacchini, Stella Choque, et al.

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 22, juillet-août-septembre 2016, pp. 9-17.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Alimentation, Cuisine, Repas, Personne âgée, Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Accompagnement, Plaisir, Aidant familial, Équipe soignante, Autonomie, EHPAD, Goût

Aujourd'hui dans les institutions, le plaisir de manger doit être une priorité pour tous. La loi de 2002 mais aussi le Conseil national de l'alimentation rappellent que l'alimentation doit être compatible avec les attentes des personnes qui y vivent, ce qui signifie que le projet de restauration doit comporter deux éléments essentiels : le désir et le plaisir. Ce plaisir de manger, que ce soit à domicile ou en établissement, doit être au cœur de l'accompagnement. C'est d'ailleurs l'enjeu face à des personnes vieillissantes, sujettes aux troubles de déglutition, aux modifications du comportement à table, aux déambulations, à une satiété rapide et durable, à une anorexie ou à des usures qui conduisent à un risque élevé de dénutrition et au syndrome de glissement.
Pour justement redonner l'envie aux personnes âgées, les aidants qu'ils soient professionnels ou familiaux ont un rôle important à jouer. Les repas ne doivent pas se limiter à des aliments, sans goût, ni texture. L'enjeu est de redonner sa place à la personne, son rôle en l'associant et en favorisant son autonomie... C'est aussi pour ces raisons que de plus en plus d'établissements misent sur des ateliers culinaires et sur des repas thérapeutiques avec la volonté de créer une ambiance chaleureuse porteuse d'échanges... Face aux situations multiples, les professionnels doivent toujours observer pour identifier le problème, trouver la solution adaptée et ensuite personnaliser l'accompagnement et donc le repas.

Le goût... de vivre ?

Article de Cécile Bacchini

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 22, juillet-août-septembre 2016, pp. 10-11.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Alimentation, Repas, Personne âgée, Vieillissement, Accompagnement, Maladie d'Alzheimer, Cuisine, Atelier, Animation sociale, Stimulation, Mémoire

Dans la terminologie soignante, le repas est dit "thérapeutique" s'il a pour objectifs de répondre aux besoins nutritionnels de la personne, de favoriser son appétit et de mettre en place les conditions humaines, matérielles et techniques optimisant son autonomie. Au sein de l'accueil de jour pour personnes malades d'Alzheimer où j'exerce, le repas met l'accent sur le partage d'un temps entre les personnes accueillies et les soignants se restaurant eux-mêmes tout en accompagnant. L'alimentation s'inscrit ici à la base et aux fondements de tout acte d'accompagnement.

Des cafés Alzheimer pour accompagner les aidants

Article de Emeline Marceau

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 21, avril-juin 2016, pp. 33-34.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Accompagnement, Aidant familial, Aide à domicile, Maintien à domicile, Vie quotidienne, Dépendance, Écoute, Café Alzheimer, Pessac

A Pessac, la résidence Le Bourgailh du groupe Noble Age a lancé depuis novembre dernier des Cafés Alzheimer. Orchestrés par une équipe médicale professionnelle, ces rendez-vous s'articulent autour de temps d'échanges, d'écoute et de conseils visant à accompagner et orienter les aidants des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer et de troubles apparentés dans leurs diverses problématiques. Une initiative qui attire aussi bien les aidants, les aidés de l'établissement girondin que d'autres personnes extérieures à la structure.

Les activités assistées par l'animal

Article de Liza Bousquet

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 21, avril-juin 2016, pp. 27-28.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Vieillissement, Personne âgée, Animal, Thérapie, Émotion, Mémoire, Estime de soi, Lien social, Maladie d'Alzheimer, Santé, Animation, EHPAD, Zoothérapie, AAA (Activités assistées par l'animal)

Les activités assistées par l'animal ont montré les bienfaits du lien homme et animal. Grâce à sa capacité d'adaptation et à décoder les signaux émis par les humains, l'animal donne le sentiment qu'il s'ajuste aux émotions de ceux-ci. Il peut participer à de nombreuses animations, du moment où les règles de sécurité et d'hygiène sont respectées. La présence de l'animal peut d'ailleurs influencer la qualité de vie et améliorer le bien-être. Il facilite la communication, contribue à sécuriser l'environnement durant notamment les activités favorisant ainsi l'estime de soi.

Quels bénéfices pour les résidents ?

Article de Cécile Aguesse, Magaly Hilaire

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 21, avril-juin 2016, pp. 25-26.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Animal, Thérapie, Personne âgée, Vieillissement, Établissement pour personnes âgées, EHPAD, Usager, Maladie d'Alzheimer, Mémoire, Santé, Zoothérapie, AAA (Activités assistées par l'animal)

La zoothérapie est un programme structuré d'interventions ou de soins qu'un thérapeute prodigue à son patient, avec l'aide ou en présence d'un animal. Elle vise à maintenir ou à améliorer la santé des personnes souffrant de divers troubles, aussi bien physiques que cognitifs, psychologiques ou sociaux. Quant aux activités assistées par l'animal (AAA), elles sont plutôt destinées à motiver ou divertir des personnes. Toutefois, l'animal seul ne suffit pas à provoquer les comportements sociaux entre les résidents, c'est le rôle du professionnel.

L'animal en EHPAD : quelles règles ?

Article de Etienne Bataille

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 21, avril-juin 2016, pp. 21-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, EHPAD, Établissement pour personnes âgées, Personne âgée, Vieillissement, Animal, Maladie d'Alzheimer, Émotion, Santé mentale, Mémoire, Thérapie, Règle, Zoothérapie, Bientraitance

La présence des animaux en EHPAD est évoquée depuis longtemps, mais aujourd'hui elle est de plus en plus envisagée en lien avec la bientraitance et le respect du continuum de la personne. Les études se sont d'ailleurs multipliées pour révéler que le contact avec l'animal était incontestablement bon pour le moral mais, au-delà, la présence de l'animal aurait des vertus pour améliorer la santé mentale et physique des personnes âgées ou handicapées ; l'animal serait donc aussi bon pour la santé...