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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Accompagner les angoisses de la nuit

Article de Stella Choque

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 29, septembre-octobre 2020, pp. 23-24.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Handicap-Situations de handicap, Nuit, Établissement social et médicosocial, Peur, Anxiété, Usager, Accompagnement, Travail de nuit, Sommeil

La nuit en institution reste un monde "à part" avec ses rituels, ses spécificités, ses fantasmes et surtout pour certains résidents son lot d'angoisse. Les professionnels sont souvent seuls ou en binôme pour affronter cette longue période de travail. Comment permettre au résident agité de s'endormir paisiblement ? Comment calmer la personne angoissée ? Tel est le défi qu'ils doivent relever toutes les nuits.

Le risque de déshydratation

Article de Stella Choque

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 38, juillet-septembre 2020, pp. 23-24.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Déshydratation, Personne âgée, Vieillissement, Alimentation, Prévention, Eau

La déshydratation de la personne âgée représente un risque toujours présent que ce soit en institution ou bien à domicile. Les professionnels sont en alerte en cas de fortes chaleurs estivales mais il ne doivent pas baisser la garde avec l'arrivée de la fraîcheur en automne. Il est donc primordial d'assurer en permanence une prévention efficace tout au long de l'année.

Communiquer malgré tout

Article de Alexandra Marquet, Pierre Moyon, Stella Choque, et al.

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 28, juillet-août 2020, pp. 7-17.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Handicap-Situations de handicap, Communication, Communication non-verbale, Personne âgée, Personne handicapée, EHPAD, Foyer d'accueil médicalisé, Aphasie, Maladie d'Alzheimer, Langage, Parole, Soin, Équipe soignante, Adaptation, Animation, Bientraitance, Corps, Observation, Outil, Vulnérabilité, Langue des signes, Pictogramme, PECS (Méthode), MAKATON (Programme)

Communiquer ne se résume pas au fait d'échanger des mots et à avoir une discussion. Les professionnels travaillant en EHPAD ou en foyers pour personnes en situation de handicap en sont d'ailleurs pleinement conscients. Au quotidien, ils accompagnent des usagers souffrant de troubles du spectre autistique, de déficiences intellectuelles, de troubles psychiatriques ou encore de maladies neurodégénératives. Les exemples sont nombreux. Les équipes doivent donc apprendre à communiquer autrement avec des usagers dont la compréhension peut être altérée. Certains ne parlent pas, quand d'autres ne s'expriment que par des sons ou des syllabes. Comment décrypter ? La formation initiale ne donne pas de clefs à chaque situation. Et pourtant, l'accompagnement ne sera de qualité que si les professionnels parviennent à entrer en communication avec les personnes aidées. Il s'agira alors de comprendre pourquoi untel adopte un comportement d'opposition, devient violent ou se replie sur soi. L'enjeu est d'apporter une autonomie dans la communication et de s'appuyer sur une communication alternative. Les solutions techniques ne manquent pas, que ce soit PECS, Makaton, LSF, bébé signé, Animate, autant de méthodes qui ont fait leurs preuves sur le terrain. Ces outils sont évidemment utiles, mais ils ne suffisent pas. Le professionnel va devoir observer, écouter et surtout décoder. Il va devoir associer la parole au geste pour se faire comprendre. Avoir une attitude bienveillante, se mettre à la bonne hauteur, à la bonne distance, ne pas détourner le regard mais au contraire soutenir ce regard quand l'échange se complique. Autant de paramètres qu'il lui faudra prendre en compte pour que la personne, certes vulnérable, puisse se faire comprendre et demeure actrice de son quotidien en établissement.

Jardins thérapeutiques et troubles de la mémoire

Article de Stella Choque

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 33, avril-juin 2019, pp. 15-16.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Vieillissement, Mémoire, Stimulation, Jardinage

Jardiner est une activité ludique qui plaît à de plus en plus de Français. Nombre de résidents arrivant en institution ou sont suivis à domicile la pratiquent. Elle constitue donc un excellent support pour stimuler la mémoire des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer ou présentant des troubles mnésiques quelle qu'en soit l'étiologie. Qu'il s'agisse de redonner le sourire à Jeanne ou bien d'inciter Raymond à reprendre une activité physique, le jardinage thérapeutique peut atténuer leurs troubles mnésiques.

Bientraitance et usage de la contention

Article de Stella Choque

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 31, octobre-décembre 2018, pp. 23-24.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Contention, Personne âgée, EHPAD, Liberté, Usager, Sécurité, Dignité, Soin, Bientraitance, Législation

L'utilisation de la contention constitue une restriction majeure à la liberté individuelle de l'usager et représente donc a priori une violation de la loi du 2 janvier 2002. Son usage en structure médico-sociale heurte souvent les familles et les professionnels. Pourtant, l'article 7 de cette même loi précise les obligations des structures d'accueil en matière de respect de sa dignité, de son intégrité, de sa vie privée, de son intimité et de sa sécurité. Cet impératif de sécurité ne doit en aucun cas occulter la dispensation de soins et d'accompagnement dans la bientraitance.

Bien accompagner la nuit : un défi à relever

Article de Alexandra Marquet, Laurence Hardy, Stella Choque, et al.

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 14, mars-avril 2018, pp. 7-17.

Mots clés : Travail social : Établissements, Grand âge-Vieillissement, Nuit, Travail de nuit, Établissement social et médicosocial, Accompagnement, Personne âgée, Personne handicapée, Coucher, Sommeil, Trouble du sommeil, Déficience cognitive, Écoute, Équipe soignante, Besoin, Assistant de soins en gérontologie, Rythme, Management, Bientraitance, Activité, Médicament, EHPAD, Maladie d'Alzheimer, Surveillant de nuit

Pendant longtemps, dans les établissements médico-sociaux, les personnes âgées ou en situation de handicap devaient se coucher tôt, même si elles rencontraient des problèmes pour trouver le sommeil ou si elles se réveillaient à 2 heures du matin... Force est de constater que c'est encore une réalité dans de nombreuses structures où les résidents sont couchés à 20 heures... Or, avec l'avancée en âge et l'émergence de nouvelles pathologies, le besoin de sommeil se réduit inexorablement. (...)
Malgré tout, des établissements ont décidé d'apporter des réponses nouvelles, après avoir été confrontés à des problèmes chroniques de déambulation, des troubles du comportement ou du sommeil. L'émergence des troubles cognitifs en maison de retraite n'y est pas étrangère, tout comme le vieillissement des personnes en situation de handicap en FAS ou en FAM. Pour quelles solutions ? Les neuroleptiques, les contentions... certains ne s'y résolvent pas et préfèrent tester des accompagnements spécifiques. Il leur faut alors trouver des partenaires, des financements, des autorisations... Mais au bout de ce chemin semé d'embûches, c'est la qualité de vie et celle du sommeil des résidents qui sont visées. En posant un cadre plus souple, plus à l'écoute des besoins des usagers, les professionnels se sentent mieux, plus valorisés, ayant enfin des outils et des moyens pour exercer dans de meilleures conditions. C'est ainsi l'occasion d'écouter les besoins qui émergent la nuit. A l'heure où les projets personnalisés ont gagné leur place la journée dans les établissements médico-sociaux, leur déclinaison nocturne n'est pas suffisamment prise en compte... C'est aux directions de se saisir de cette problématique en apportant des réponses concrètes...

L'activité physique et le grand âge

Article de Stella Choque, Jacques Choque

Paru dans la revue Doc'Domicile, n° 49, février-avril 2018, pp. 31-32.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Activité physique, Personne âgée, Dépendance, Vieillissement, Hospitalisation, Motricité, Socialisation, Maintien à domicile

Entre soixante-dix et quatre-vingts ans, la personne âgée perd en moyenne 8 kg, dont 6 kg de masse maigre. Ne se sentant plus sûre d'elle, elle va peu à peu cesser ses activités de peur de chuter et se désocialiser, accélérant ainsi tous les processus dégénératifs liés au vieillissement et donc augmenter le risque d'hospitalisation ou d'entrée en institution. Pour briser ce cercle infernal une seule solution : le maintien de l'activité physique et le "coaching de vie".

Quelle place pour les familles en institution ?

Article de Stella Choque

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 10, juillet-août 2017, pp. 21-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Dépendance, Famille, Relation famille-institution, Vieillissement, Handicap, Établissement pour personnes âgées, Isolement, Usager, Conseil de la vie sociale

L'isolement des personnes âgées est souvent associé à la solitude à domicile. Or, la collectivité n'est pas épargnée même si certaines tentent d'ignorer une réalité : la solitude des personnes âgées vivant en institution ou peut-on être seul entouré d'une centaine de personnes ? Face à cette situation, des solutions existent, encore faut-il accepter de donner de la place aux familles, ouvrir les établissements aux animaux ou aux animations avec comme objectif : la création d'un lieu de vie et non un lieu de soin.

Communiquer dans la bientraitance

Article de Stella Choque

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 8, mars-avril 2017, pp. 25-26.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Communication, Personne âgée, Vieillissement, Usager, Écoute, Émotion, Besoin, Distance, EHPAD, Bientraitance

La communication est la clé qui ouvre la porte de la bientraitance. En effet, prendre soin d'un résident ou d'une personne soignée, c'est avant toute chose être à son écoute. Nous avons tous des désirs, des besoins, des émotions à exprimer quel que soit notre état de santé physique ou psychique. A nous, professionnels, d'apprendre à décoder les messages qui nous sont envoyés... ou encore faut-il prendre le temps et être attentif...

L'alimentation au coeur de l'accompagnement

Article de Alexandra Marquet, Cécile Bacchini, Stella Choque, et al.

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 22, juillet-août-septembre 2016, pp. 9-17.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Alimentation, Cuisine, Repas, Personne âgée, Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Accompagnement, Plaisir, Aidant familial, Équipe soignante, Autonomie, EHPAD, Goût

Aujourd'hui dans les institutions, le plaisir de manger doit être une priorité pour tous. La loi de 2002 mais aussi le Conseil national de l'alimentation rappellent que l'alimentation doit être compatible avec les attentes des personnes qui y vivent, ce qui signifie que le projet de restauration doit comporter deux éléments essentiels : le désir et le plaisir. Ce plaisir de manger, que ce soit à domicile ou en établissement, doit être au cœur de l'accompagnement. C'est d'ailleurs l'enjeu face à des personnes vieillissantes, sujettes aux troubles de déglutition, aux modifications du comportement à table, aux déambulations, à une satiété rapide et durable, à une anorexie ou à des usures qui conduisent à un risque élevé de dénutrition et au syndrome de glissement.
Pour justement redonner l'envie aux personnes âgées, les aidants qu'ils soient professionnels ou familiaux ont un rôle important à jouer. Les repas ne doivent pas se limiter à des aliments, sans goût, ni texture. L'enjeu est de redonner sa place à la personne, son rôle en l'associant et en favorisant son autonomie... C'est aussi pour ces raisons que de plus en plus d'établissements misent sur des ateliers culinaires et sur des repas thérapeutiques avec la volonté de créer une ambiance chaleureuse porteuse d'échanges... Face aux situations multiples, les professionnels doivent toujours observer pour identifier le problème, trouver la solution adaptée et ensuite personnaliser l'accompagnement et donc le repas.