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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Autour de Keynes. Les équilibres multiples du marché du travail

Article de Nicolas Piluso

Paru dans la revue Idées économiques et sociales, n° 194, décembre 2018, pp. 56-61.

Mots clés : Courants de pensée en sciences humaines, Chômage, Théorie, Marché du travail, Économie, Modèle, Courant de pensée, Keynes (John Maynard)

Les travaux de Keynes sur la question du chômage ont donné lieu à de multiples développements théoriques. Parmi eux, le modèle WS-PS est l’aboutissement d’une recherche des fondements microéconomiques du chômage involontaire. Son échec à rendre compte de façon pertinente des situations de chômage dans les différents pays développés a conduit les économistes à renouveler l’analyse en termes de défauts de coordination et d’équilibres multiples. De leur côté, les postkeynésiens ont développé un modèle de chômage involontaire qui se veut plus fidèle aux écrits de Keynes mais qui exhibe également des équilibres multiples.

Les journées de l'économie

Article de Pascal Le Merrer, Lino Galiana, Igor Martinache, et al.

Paru dans la revue Idées économiques et sociales, n° 188, juin 2017, pp. 4-47.

Mots clés : Courants de pensée en sciences humaines, Économie, Société, Croissance économique, Inégalité, Emploi, Banque, Libéralisme, Chômage, Flexibilité de l'emploi, Emploi précaire, Politique de l'emploi

La grande mise à jour était le thème général des Journées de l’économie (Jéco) 2016. On ne peut en effet ignorer que « le monde est devenu différent ». Une autre économie se dessine, où les frontières entre l’industrie et les services s’estompent, où le travail humain est confronté à l’essor de la robotisation, où la coordination des activités ne peut se résumer à un choix entre le marché et l’État, où les logiques de coopération et de concurrence s’interpénètrent, où de nouveaux acteurs s’imposent, en particulier avec les plateformes numériques. Ira-t-on vers une économie du bien commun, notion qui recouvre des réalités très mouvantes ?