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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Quand l'animation devient violente

Article de Pascal Mullard

Paru dans la revue Le Journal de l'animation, n° 219, mai 2021, pp. 36-41.

Mots clés : Travail social : Établissements, Animation, Violence, Agressivité, Jeune, Conflit, Communication, Médiation, Équipe, Violence institutionnelle, Empathie

L'animation est par définition un métier du lien, du groupe, des relations. Pratiquer l'animation, c'est donc potentiellement rencontrer toutes les modalités du lien. Parmi celles-ci, la violence. Bien que nos intentions de professionnels soient aux antipodes d'une perpétuation de la violence, nous savons que nous pouvons, de différentes manières, en exercer certaines formes. Exploration...

Violence contre violence

Article de Joseph Rouzel

Paru dans la revue Les Cahiers de l'Actif, n° 488-489, janvier-février 2017, pp. 221-234.

Mots clés : Travail social : Établissements, Violence, Agressivité, Concept, Institution, Violence institutionnelle, Travail social, Lien social

Ce texte s'appuie sur la journée de rencontre à l'ITEP de Liré (49) le vendredi 1er février 2008. Il en reprend à nouveaux frais l'argumentation en l'illustrant et en l'actualisant.

D'une violence qui masque l'autre

Article de Gilles Brandibas

Paru dans la revue Le Sociographe, n° 56, décembre 2016, pp. 65-80.

Mots clés : Travail social : Établissements, Violence, Violence institutionnelle, Accompagnement, Symbolique, Interprétation

Partant d’un rappel substantiel de ce que peut être la violence, nous proposons de définir et d’approcher ce qui relève de la violence symbolique. Cette forme de violence constitue ce qui n’est pas mis en avant dans les analyses ni les réponses institutionnelles. Or, l’institution, dans son évolution technocratique et réglementaire, sans en avoir l’intention, génère pour autant de la violence symbolique, notamment dans la mesure où la perte de sens des pratiques d’accompagnement résulte de l’émoussement progressif de toute possibilité de réfléchir en équipe autour des situations rencontrées. Nous reprenons dans cet écrit plusieurs exemples qui nous amènent à cette lecture pour, en conclusion, proposer quelques pistes pour y remédier.

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La fabrique de la maltraitance

Article de Carine Maraquin, Jean Marie Vauchez

Paru dans la revue Vie sociale et traitements VST, n° 127, juillet-septembre 2015, pp. 13-100.

Mots clés : Travail social : Établissements, Maltraitance, Usager, [QUOTIDIEN], Pratique professionnelle, SDF, Éthique, Récit de vie, Enfant handicapé, Violence, Violence institutionnelle, Souffrance

La maltraitance institutionnelle ne se réfère pas uniquement aux horreurs régulièrement dénoncées dans les médias. Elle peut se nicher dans les mille petits riens du quotidien qui, si on n’y prend garde, peuvent générer autant de souffrances accumulées. Si nous avons des outils pour lutter contre le pire, comment lutter contre le quotidien banal qui devient automatique ? Éviter de fabriquer la maltraitance, c’est pouvoir interroger les pratiques, se référer à des projets, savoir se situer vis-à-vis des usagers… C’est être formé, encadré, contrôlé quelle que soit sa place dans l’organigramme. C’est aussi, pour les institutions et les tutelles, créer les conditions du bien-être pour les personnels : statuts, conditions de travail, évolutions professionnelles, mobilités… Lutter contre la maltraitance passe par le respect des usagers et de soi-même, plutôt que par le respect d’un protocole.

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