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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

Réponses 1 à 10 sur un total de 218

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Intégrer un médiateur de santé pair

Article de Carol Savaris, Martine Anstett

Paru dans la revue Santé mentale, n° 285, février 2024, pp. 14-17.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Pair aidant, CMPP, Établissement social et médicosocial, Médiation, Équipe pluridisciplinaire, Équipe soignante, Travail d'équipe, Usager, Relation soignant-soigné, Pratique professionnelle, Relation d'aide

Après deux expériences peu probantes, Martine, pair-aidante, s'intègre avec succès à l'équipe soignante d'un centre médico-psychologique. Ses propositions et son regard "décalé" apportent de réels bénéfices aux usagers et aux soignants. Retour d'expérience.

Cap ou pas cap ? Les défis de la transformation de l’offre d’accompagnements et de soins sociaux et médico-sociaux

Article de Johan Priou

Paru dans la revue Vie sociale, n° 43, janvier 2024, pp. 147-166.

Mots clés : Action sociale : histoire et perspectives, Établissement social et médicosocial, Politique sociale, Vulnérabilité, Évaluation, Besoin, Usager, Partage d'informations, Responsabilité

La transformation de l’offre d’accompagnements et de soins est une des modalités d’action des politiques d’action sociale, médico-sociale et de santé pour tendre vers une « société inclusive ». Cet article examine les conditions actuelles de sa mise en œuvre et identifie des défis collectifs à relever pour réussir cette transformation. Celle-ci peut constituer, sous certaines conditions, une véritable opportunité pour les personnes concernées de se voir soutenues dans leur parcours de vie. Elle peut être également une opportunité pour les acteurs professionnels et les organismes gestionnaires d’établissements et services sociaux et médico-sociaux d’adapter leurs réponses aux attentes actuelles. Pour autant, cette transformation appelle des mutations importantes du secteur social et médico-social en termes de gouvernance, de pilotage, d’organisation territoriale des réponses, de redéfinition des responsabilités des acteurs et d’évaluation des politiques conduites. Ces mutations sont nécessaires pour prévenir les risques pour les personnes les plus vulnérables.

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DUI en secteur social : nouveaux usages, nouveaux dangers

Article de Raymond Taube

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3311, décembre 2023, pp. 52-53.

Mots clés : Travail social : Établissements, Établissement social et médicosocial, Technologie numérique, RGPD, Éthique, Dossier, Usager

Le secteur social s’est à son tour doté d’un outil centralisant toutes les informations administratives, médicales et socio-éducatives des usagers. Ce « dossier usager informatisé » (DUI), qui permet aux professionnels de mieux connaître les personnes accueillies, n’est pas sans poser des questions tant éthiques que juridiques sur la protection des données.

Violence institutionnelle normalisée vs nouvelles normes collectives d’institution

Article de Pierre Bechler

Paru dans la revue Le Sociographe, n° 84, décembre 2023, pp. 27-41.

Mots clés : Travail social : Établissements, Norme, Famille, Usager, Récit de vie, Établissement social et médicosocial, Institution, Maltraitance, Violence institutionnelle, Pouvoir

Décrire, en se mettant à la place d’un « usager », la réalité de certaines maltraitances institutionnelles subies est parfois le seul moyen dont on dispose pour tenter de faire percevoir et de faire comprendre que l’absence de normes - s’imposant à l’ensemble des acteurs sans distinction de statut ou de condition - rend possible l’imposition, par qui détient une parcelle de pouvoir à l’égard d’autrui, d’un arbitraire individuel qui est souvent bien plus violent que l’application des normes collectives les plus rigoureuses.

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Accompagnement à la Transformation de l’Offre par la Transition Inclusive : le guide ATOSTI

Article de François Bernard, Daniel Boisvert

Paru dans la revue Les Cahiers de l'Actif, n° 562-563, mars-avril 2023, pp. 131-148.

Mots clés : Travail social : Établissements, Établissement social et médicosocial, Changement, Méthodologie, Participation, Usager, Culture, Institution, Projet, Évaluation, Foyer de vie, Désinstitutionnalisation, Inclusion, ATOSTI (Accompagnement à la transformation de l'offre de services par la transition inclusive), Isbergues

La démarche ATOSTI - Accompagnement à la Transformation de l’Offre de Services par la Transition Inclusive - s’inscrit dans un contexte national et international de promotion et de protection du respect des droits de l’ensemble des citoyens, garantissant aux personnes en situation de handicap la pleine jouissance de ces droits au même titre que tout un chacun.
Le guide ATOSTI offre une plateforme d’auto-évaluation aux organismes médico-sociaux et d’autres secteurs, permettant de mesurer la qualité de leur offre sous l’angle de l’inclusion sociale, tout en documentant cette démarche de transformation des services actuels.
Le support décline neuf principes d’actions guidant la transition inclusive. Ces principes se concrétisent en processus opérationnels, dont la mise en œuvre constitue le cœur du changement de pratiques dans une visée d’amélioration. Le guide détaille également les modalités de sondage des personnes accompagnées, proches, familles, professionnels et partenaires. Les sondages permettent de rendre compte de la satisfaction des parties prenantes, constituant des indicateurs précieux de la qualité des services et de la transition inclusive.
Cet article présente le déroulement de la démarche ATOSTI, détaille les différentes étapes de mise en œuvre et la méthodologie afférente.
Il propose enfin deux illustrations concrètes, à travers les témoignages de Géraldine Lombart, directrice du Foyer de vie Le Creuset à Isbergues et Marie Ségala, directrice de la plateforme de services troubles complexes du langage Mémo à Paris, deux structures gérées par l’association GAPAS.

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La transformation de l’offre : nouvel horizon de l’action sociale ?

Article de Pierre Savignat

Paru dans la revue Les Cahiers de l'Actif, n° 562-563, mars-avril 2023, pp. 67-80.

Mots clés : Travail social : Établissements, Établissement social et médicosocial, Changement, Pratique professionnelle, Évolution, Appel à projet, Objectif, Milieu ordinaire, ITEP, Handicap, Territoire, Développement, Usager, Autonomie, Inclusion

La question de la transformation de l’offre s’impose comme un impératif, avec, parfois, l’idée sous-jacente que le champ de l’action sociale aurait peu d’appétence à évoluer, voire ferait montre de conservatisme.
Rien n’est plus faux. Il n’y a rien de nouveau dans le fait que l’action sociale doive se transformer et s’adapter. Son histoire montre, au contraire, qu’elle n’a cessé d’évoluer. En effet, les processus de transformation pourraient servir de fil conducteur à l’histoire de l’action sociale, de la seconde moitié du XIXe siècle à nos jours. La transformation de l’offre et, au-delà, des modes d’organisation et de fonctionnement, comme des pratiques professionnelles et des rapports aux personnes accompagnées est une constante, une composante de son ADN.
Mais toutes ces transformations, quels qu’en soient la nature, la portée ou le rythme, se sont toujours déployées dans des contextes déterminés, comme déclinaisons de finalités qui ont permis de faire sens. Dès lors, pour comprendre l’actualité de la question de la transformation de l’offre, pourquoi elle est sur le devant de la scène, ce qu’elle recouvre et quelle est, en fait, la commande publique, il convient de la contextualiser et de la discuter.

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Aux frontières de l’inclusion : l’exclusion

Article de Colette Mauri

Paru dans la revue Les Cahiers de l'Actif, n° 562-563, mars-avril 2023, pp. 51-66.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Établissement social et médicosocial, Accompagnement, Usager, Inclusion, Personne handicapée, Exclusion sociale, Inégalité, Représentation sociale, Pratique professionnelle, Intégration, Différence

À l’heure des plateformes, des dispositifs, et des outils pour un accompagnement en transformation, il est d’autant plus important de se recentrer sur la personne à accompagner, sur le sens que l’inclusion revêt pour elle. Les effets constatés répondent-ils à son mieux-être, un bénéfice est-il toujours observable ? Et quelle signification a l’inclusion pour celle ou celui qui accueille, intègre, inclut l’autre dans son univers ? La personne en situation de handicap est accompagnée pour pouvoir s’adapter, alors que l’individu de la société la découvre dans sa singularité afin de l’inclure. Les processus inclusifs se jouent au travers de relations intersubjectives dont les racines sont issues du vécu de l’histoire propre à chacun. Ainsi, leur singularité complexifie leurs relations. Pouvant se sentir très différents, voire étrangers l’un à l’autre, leurs impressions intersubjectives interfèrent et distordent la perception d’un environnement peu ou bien connu, mais inquiétant.
Comment comprendre, décrypter ces projections afin de faciliter les processus d’inclusion tout en neutralisant les distorsions exclusives ? Aux frontières de l’inclusion, des risques d’exclusion se profilent : la vigilance se situe à cette interface même entre inclusion et exclusion.

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La réflexion éthique en établissement : retrouver du sens

Article de Alexandra Marquet, Karine Lefeuvre, Michel Billé, et al.

Paru dans la revue ASH Etablissements, hors-série n° 28, avril 2023, pp. 3-41.

Mots clés : Travail social : Métiers, Éthique, Établissement social et médicosocial, Débat, Équipe pluridisciplinaire, Travail social, Travailleur social, Équipe soignante, Usager, Accompagnement, Interprétation, Projet d'établissement, Conseil de la vie sociale, Personne âgée, Personne handicapée, Vulnérabilité, Liberté, Formation

Pendant de nombreuses années, les professionnels de terrain ont regardé (de loin) les sachants débattre de questionnements éthiques qu’ils considéraient davantage comme des discussions philosophiques. Désormais, il se sentent concernés. Eux, en première ligne, doivent arbitrer, décider. En équipe et parfois seul. Mais toujours avec la même appréhension : « Est-ce le bon choix ou le moins pire ? » Depuis près de trois ans, la crise sanitaire a accéléré les prises de conscience face à des injonctions paradoxales et des situations de plus en plus complexes. A l’heure où l’éthique a semble-t-il remplacé la morale, devenue désuète, la question de la quête du sens se pose plus que jamais. Telle une nécessité, l’éthique démocratique a pris le pouvoir sur l’éthique élitiste. Dans ce numéro spécial, des experts et des professionnels de terrain prennent la parole.

Le travail d'équipe en établissement : appartenir à un groupe

Article de Alexandra Marquet, Laurence Hardy, Philippe Giafferi, et al.

Paru dans la revue ASH Etablissements, hors-série n° 25, janvier 2023, pp. 3-41.

Mots clés : Travail social : Établissements, Travail d'équipe, Groupe, Établissement social et médicosocial, Management, Cadre, Communication, Écoute, Compétence, Équipe pluridisciplinaire, Transmission, Information, Projet, Secret professionnel, Usager, Stagiaire, Chef de service éducatif, Intégration

TOUS AU SERVICE DES PLUS VULNERABLES. Se retrouver en buvant un café pour partager ses doutes, ses angoisses et autres déceptions, mais aussi ses moments de joie intense. En théorie, le travail en équipe, les transmissions et les réunions pluridisciplinaires représentent des moments particulièrement attendus, et même enviés par les professionnels du domicile qui œuvrent, eux, seuls. Sur le terrain, le tableau se révèle nettement moins idyllique. Dans un même service se côtoient des personnalités aux parcours, à la sensibilité, aux diplômes et aux objectifs différents. L’enjeu est dès lors de les faire cohabiter autour d’un projet commun mis au service des besoins de l’usager. Un défi de taille semé d’embûches lorsque chacun veut imposer son point de vue, sa vision de l’accompagnement. Plusieurs risques sont à considérer : des dissensions et autres conflits peuvent éclater au quotidien ; les incompréhensions peuvent fatiguer les équipes et dérouter les plus vulnérables. Comment faire en sorte que tous réussissent à faire équipe, sur un même chemin, et restent à l’écoute de chacun ? Travailler ensemble s’acquiert avec le temps, l’envie, sous l’impulsion des cadres et des chefs de service. Cette façon de travailler ensemble nécessite également des garanties pour éviter de tomber dans l’arbitraire.
COMMUNAUTE DE VIE. Chacun doit pouvoir avoir voix au chapitre pour poser le cadre d’une réflexion commune. Se parler mais avant tout s’écouter. Puis décider ensemble, en recherchant la cohérence. C’est toute la difficulté de ce travail collectif qui nécessite une ouverture et une connaissance de l’autre. Connaître les missions de ses collègues permet de ne pas commettre d’impair, de mieux se comprendre et s’entraider. Si les échanges quotidiens autour de transmissions écrites ou orales constituent des moments privilégiés, la conduite de projets communs donne toute sa dimension à la collaboration. Derrière une équipe, il n’y a pas de femme ou d’homme, pas de travailleur de nuit ou de jour, pas d’animateur, d’éducateur spécialisé ou d’aide-soignant. Derrière elle sont rassemblés les membres d’une même communauté de vie, où les usagers devraient trouver toute leur place. C’est le chemin défendu par certains. Quand tous les professionnels utilisent le même langage, les mêmes outils, ont suivi les mêmes formations, ils parviennent à mieux gérer les cas complexes ou les situations conflictuelles, évitant ainsi tout message contradictoire. Dans un secteur en tension et sous pression, faire équipe peut permettre de tenir le coup et de trouver malgré tout un certain plaisir. De cette façon, face à une impasse, un professionnel peut réussir à passer la main en toute confiance. A condition de pouvoir compter sur une dynamique collective et collaborative favorisée par les qualités de leurs employeurs, de leurs cadres et de leurs pairs.
SAVOIR TAIRE CERTAINES INFORMATIONS. Enfin, si le métier demande de partager des informations, encore faut-il les traiter correctement et savoir évaluer la communication nécessaire, tandis que les transgressions de la loi autour du "fameux" secret partagé restent légion. Le partage non pertinent est une facilité à laquelle ne doivent pas succomber les travailleurs sociaux : travailler ensemble, oui, mais garder à l’esprit ce qui doit rester confidentiel et ce qui peut être transmis. Voilà l’impératif auquel sont soumis les professionnels. Même s’ils sont souvent contraints de travailler sans filet et sur un fil, c’est aussi les deux pieds sur terre qu’il faut aborder le virage du travail partenarial et du décloisonnement. Toutes nos félicitations par avance aux contorsionnistes qui y parviendront.

Violence(s) en établissement : les professionnels en première ligne

Article de Alexandra Marquet, Daniel Faggianelli, Cécile Carra, et al.

Paru dans la revue ASH Etablissements, hors-série n° 22, octobre 2022, pp. 3-41.

Mots clés : Travail social : Établissements, Établissement social et médicosocial, Violence, Agressivité, Usager, Conditions de travail, Posture professionnelle, Personne âgée, Personne handicapée, Trouble du comportement, Travailleur social, Équipe soignante, Formation, IME, Bientraitance, Écoute, Empathie

Accepter la vérité.
Un usager qui s’automutile, deux résidents qui en viennent aux mains ou encore un autre donnant des coups de poing au professionnel qu’il côtoie tous les jours. Autant de situations vécues par des personnels souvent démunis et déstabilisés. La violence au travail n’est pas nouvelle pour les équipes encadrant des personnes âgées ou en situation de handicap. Les faits sont recensés depuis 2005 par l’Observatoire national des violences en santé qui observe une constante : la quasi absence de judiciarisation des faits et une complexité des causes. Pathologies, addictions, refus de soins, environnement inadapté, équipes restreintes… les raisons sont nombreuses et difficiles à expliquer. Savoir exposer les maux vécus sur son lieu de travail constitue la première étape. Agressivité ou violence ? Pour adopter la bonne posture, les professionnels doivent pouvoir les différencier. Mais encore faut-il parvenir à prendre du recul. L’agressivité peut être un moyen d’expression pour des personnes qui ne peuvent pas ou plus s’exprimer. Elle peut aussi être la conséquence d’un manque d’adaptation, une réaction face à une attitude vécue comme une agression. La question est de savoir comment ne pas mettre en échec une personne vulnérable dans un quotidien parsemé d’obstacles : manque de personnels, de temps, et parfois de compétences.
TOUS CONCERNES, TOUS ENGAGES.
Si les professionnels sur le terrain sont en première ligne, c’est à la direction d’être à l’initiative. Au-delà des fiches d’événements indésirables et des traitements ou suivis connus de tous, la formation et la sensibilisation restent les garantes d’une meilleure préparation des professionnels et d’un accompagnement de qualité. Plus la pathologie et l’histoire de vie de la personne vulnérable seront connues, mieux le professionnel saura s’adapter. Il évitera des impairs qui peuvent se retourner contre lui. Des outils sont par ailleurs à sa disposition face aux réactions incomprises et aux troubles du comportement ; un terme pas toujours employé à bon escient, ce qui génère un accompagnement complexe et parfois défaillant. Au-delà de ce goût amer, de l’incompréhension qui saisit individuellement, c’est collectivement que viendront les bonnes réponses : pour parler le même langage, avoir les mêmes réflexes et postures, les équipes devront suivre une formation commune. Et le plus grand nombre, idéalement. Dans certains territoires, des sessions sont ouvertes aux professionnels accueillant les personnes âgées et en situation de handicap. Elles favorisent rencontres, échanges et apprentissages communs.
CHANGEMENTS SOCIETAUX ET CONSEQUENCES.
Savoir se protéger, choisir le lieu opportun, peser ses mots, adopter une posture d’écoute et d’empathie, tout en travaillant dans une structure où l’éthique est érigée en mode de réflexion et de questionnement : même quand tous les voyants sont au vert, le risque demeure. Les professionnels ne sont pas maîtres de tout : comment réussir à accompagner des groupes de plus en plus hétérogènes ? La montée de la violence relève aussi d’évolutions sociétales, dont les soignants comme les équipes éducatives sont les premiers témoins. L’inclusion permet à de nombreux élèves en situation de handicap de faire leur entrée dans les écoles, laissant place à des enfants aux profils plus complexes, ou à des problématiques multiples dans les instituts médico- éducatifs ; les personnes âgées arrivent de plus en plus dépendantes en Ehpad, conséquence d’un maintien à domicile volontiers sacralisé, des patients issus de la psychiatrie se retrouvent en foyers de vie ou autres établissements médico-sociaux. Devant cette nouvelle donne, les structures font face tant bien que mal. Souvent démunies, mais inventives. Tous auraient besoin du chaînon manquant des politiques publiques : la prévention. Quand sera-t-elle privilégiée ? Il y a urgence.