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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Formation : prévenir les conduites à risques des adolescents

Article de Rémi Barbet

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3257, 29 avril 2022, pp. 30-31.

Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Adolescent, Collège, Conduite à risque, Comportement social, Psychologie, Formation, Travailleur social, Développement, Programme d'enseignement, Prévention, Groupe de parole, Relation, Lien social, Jeu de rôles

Déployé en Seine-Saint-Denis et à Paris, Mission Papillagou est un programme de développement des compétences psychosociales des collégiens. Depuis son implantation en Ile-de-France, plus d’une centaine de professionnels ont été formés à cet outil favorisant la prévention des risques et le travail en partenariat.

EDUCAIR, un espace singulier dans le collectif

Article de Laurent Coste

Paru dans la revue Empan, n° 108, décembre 2017, pp. 92-97.

Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Accompagnement, Adolescent, Coopération, Partenariat, Réseau, Jeune en difficulté, Travailleur social, Toulouse

Le dispositif EDUCAIR offre une proposition d’accompagnement éducatif en libéral à destination d’adolescents dits difficiles. Pour ce faire, EDUCAIR s’inscrit dans un travail de coopération auprès d’un réseau de partenaires.

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Les "Promeneurs du Net" des éducateurs sur les réseaux sociaux

Article de Lauriane Clémént

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3000, 03 mars 2017, pp. 36-39.

Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Travail social : Métiers, Adolescent, Travailleur social, Internet, Échange, Accompagnement, CNAF

Dans quatre départements, des animateurs, des éducateurs et des professionnels de la jeunesse prolongent leur mission en accompagnant les jeunes sur la Toile. Piloté par les caisses d’allocations familiales, le dispositif « Promeneurs du Net » est en cours de déploiement à l’échelle nationale.

Radicalisme violent. Comprendre, prévenir au delà de l'urgence

Article de Colette Leclercq, Romain Lecomte

Paru dans la revue L'Observatoire, n° 86, janvier-mars 2016, pp. 4-81.

Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Justice-Délinquance, Terrorisme, Intégrisme, Jeune, Travailleur social, Religion, Rupture, Islam, Identité, Adolescent, Média, Prévention, Prison, MEDIATION EDUCATIVE

Pourquoi des jeunes de chez nous partent-ils faire la guerre en Syrie ou se font-ils exploser, ici, dans des attentats suicides? Face au phénomène du radicalisme violent coexistent la tentation de ne rien faire, voire du déni, ou celle de croire que le sécuritaire suffira. Pour notre part, nous avons choisi de tenter de mieux comprendre pour désamorcer, prévenir et, au-delà de l’urgence, construire une société plus inclusive.
Ce numéro a été conçu pour aider les travailleurs sociaux, et tous ceux qui se sentent concernés, à déjouer les pièges des amalgames et à réinvestir dans des actions préventives.

Longtemps, nous avons hésité à consacrer un numéro de l’Observatoire à la question du radicalisme violent. N’allions-nous pas encore alimenter la surmédiatisation d’un phénomène qui ne concerne, directement, qu’une petite minorité de jeunes? N’allions-nous pas risquer d’encore attirer les regards inquiets sur une population musulmane déjà fortement stigmatisée?

Nous avons néanmoins fini par franchir le pas. Parce que, à diverses occasions, nous avons pu constater que les travailleurs sociaux se posent de nombreuses questions sur ce sujet complexe et sensible, tout en évitant de trop "s’en mêler" car craignant la maladresse, l’erreur d’interprétation, l’amalgame... Parce que, aussi, la prévention du radicalisme, à condition qu’elle soit clairement dissociée de la répression et du contrôle - ce qui n’est malheureusement pas toujours le cas -, implique d’en revenir à certains fondamentaux du travail social.

Nous avons construit ce dossier en nous appuyant sur les rencontres co-organisées par le Centre Régional d’Intégration de Charleroi (CRIC) et le Centre Régional de Verviers pour l’Intégration (CRVI), en collaboration avec la Direction Générale Opérationnelle de l’Action sociale de la la Région wallonne (DGO5), "Prévention du radicalisme violent. Osons en parler", programmées en octobre et novembre 2015.

Celles-ci nous ont servi de point de départ - vous retrouverez plusieurs orateurs conviés à ces journées dans nos contributeurs - mais nous avons aussi étoffé ce dossier, que nous avons conçu en deux parties, en nous appuyant notamment sur les avis pertinents de Thierry Tournoy, Directeur du CRIC et de Daniel Martin, Directeur du CRVI.

La première partie pose cette terrible question : pourquoi des jeunes de chez nous se laissent-ils séduire par les discours de Daesh et partent-ils faire la guerre en Syrie ou se font-ils exploser dans des attentats suicides ici, en Europe? Pour y répondre, nous avons sollicité une palette de contributeurs qui, par leur expertise, décortiquent ce qui se joue derrière cet embrigadement criminel des jeunes dans le radicalisme violent.

La seconde propose des pistes et des réflexions sur ce qu’il y a lieu de mener, d’inventer, de soutenir comme actions pour prévenir cette radicalisation. Si les travailleurs sociaux ne peuvent certes agir sur la variable géopolitique ni révolutionner notre contexte sociétal actuel, ils peuvent jouer un rôle important dans divers domaines : aider le jeune à se construire comme sujet et comme acteur de son devenir; reconstruire le lien décousu entre celui-ci et la société, sa famille, l’école...; consolider son esprit critique et sa résistance morale face aux tentatives d’endoctrinement; promouvoir l’interculturalité et le vivre-ensemble; lutter contre les inégalités et les discriminations;... Et, au-delà de l’urgence, participer par leurs convictions et leurs idéaux à une société davantage inclusive et porteuse de signes positifs, d’émancipation, d’espoir.

L'important n'est pas la chute, mais l'atterrissage

Article de Frédéric Mazereau

Paru dans la revue Le Sociographe, hors-série n° 8, novembre 2015, pp. 121-131.

Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Adolescent, Accompagnement, Délinquance juvénile, Travailleur social, Récit de vie, Relation éducative, Interaction

De nombreuses institutions spécialisées relevant du pénal des mineurs et censées accueillir des jeunes adolescents délinquants sont aujourd’hui mises à mal dans leurs principes de fonctionnement et sont contraintes d’opérer des mutations dans l’accompagnement éducatif. En effet, travailleurs sociaux comme soignants sont de plus en plus confrontés à des adolescents aux besoins complexes et fluctuants.
Ce constat, issu de mon expérience d’éducateur spécialisé auprès d’adolescents délinquants puis de formateur auprès de personnels éducatifs en CER, m’a amené à m’interroger sur la réalité de ces adolescents à travers leurs dires, leurs postures et leurs passages à l’acte. Après avoir fait brièvement une mise en perspective historique du traitement des mineurs délinquants, mon travail réflexif m’a amené à envisager de nouvelles perspectives en terme d’accompagnement éducatif au regard des mutations de ces publics aujourd’hui.

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