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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Une formatrice pair qui se rêve en "anti-modèle"

Article de Laurence Ubrich

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3312, janvier 2024, pp. 18-19.

Mots clés : Travail social : Métiers, Handicap-Situations de handicap, Travailleur social, Pair aidant, Handicap, Milieu ordinaire, Expertise, Institution

Ayant toujours vécu en milieu ordinaire en dépit de son handicap, Julia Boivin use de sa faconde et de son sens de la formule pour rendre visibles ceux qui vivent en institution. L’expertise d’usage comme passeport pour la citoyenneté.

Café & Co, la convivialité comme tremplin

Article de Flora Peille, Christian Bellavia

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3295, 17 février 2023, pp. 22-25.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Personne handicapée, Adulte, Isolement, Lieu de vie, Accueil, Travailleur social, Dispositif d'insertion, Emploi, Motivation, Dynamique de groupe, Partenariat, Mission locale pour l'emploi, Développement, Compétence, Bénévolat

Ouvert à Toulouse en novembre dernier, le tiers-lieu inclusif Café & Co entend lutter contre l’isolement des jeunes en situation de handicap sortis des institutions. L’expérimentation repose sur le collectif pour impulser une dynamique personnelle.

Les droits ne s’arrêtent pas au seuil du visible

Article de Jérôme Fernandes

Paru dans la revue Lien social, n° 1330, 3 au 16 janvier 2023, pp. 28-29.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Personne handicapée, Témoignage, Travailleur social, Travailleur handicapé, Discrimination

Un paradoxe veut que beaucoup d’handicapés visibles souhaiteraient l’être moins, alors que les handicapés invisibles, qui souffrent de n’être pas reconnus et qui doivent éternellement se justifier de leur handicap, souhaiteraient être plus visibles sans pour autant être stigmatisés. 

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Le Nom Lieu : trouver sa place grâce au numérique

Article de Laëtitia Bonnet

Paru dans la revue Le Media social, 04 janvier 2023.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Accompagnement, Autisme, Exclusion sociale, Handicap psychique, Insertion professionnelle, Jeune, Profession médicale, Socialisation, Technologie numérique, Technologie de l'information et de la communication, Thérapie, Travailleur social, Bordeaux

À Bordeaux, l’association Le Nom Lieu utilise le numérique comme levier thérapeutique et d’insertion sociale et professionnelle auprès de jeunes en situation de souffrance psychique ou d’exclusion sociale. Elle intervient aussi auprès des professionnels du soin et du médico-social en les formant à l’usage des outils numériques pour les publics qu'ils accompagnent.

Pédagogie : parler de sexualité avec des personnes handicapées

Article de Catherine Abou el Khair

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3263, 10 juin 2022, pp. 28-29.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Sexualité, Affectivité, Personne handicapée, Pratique professionnelle, Formation, Travailleur social, Accompagnement, Usager, Atelier, Groupe de parole

La vie sexuelle et affective des personnes en situation de handicap sort peu à peu de l’ombre. Destinées aux professionnels, des formations ont été développées pour appréhender ce sujet avec pédagogie auprès du public accompagné.

Adapter le travail aux travailleurs dits " faibles ". Un enjeu social et managérial

Article de John Cultiaux, Harmony Glinne

Paru dans la revue Forum, n° 166-167, mai 2022, pp. 71-82.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Travailleur handicapé, Management, Inclusion, Travailleur social, Adaptation, Ergonomie, Conditions de travail, Recherche-action, Belgique

La participation de catégories de travailleurs en marge de l’emploi constitue un enjeu à la fois social, politique et managérial et pose aux organisations une question élémentaire : comment adapter le travail pour permettre à des travailleurs dits « faibles » de participer à une activité qui doit aussi être rentable ? Cet article déploie cette question dans le contexte des entreprises de travail adapté à propos de travailleurs souffrant d’un handicap important. Au travers d’une approche ergonomique et clinique du travail, il ambitionne essentiellement de réinterroger les catégories dans lesquelles se pose ce questionnement : qu’est-ce qu’un travailleur faible ? Qu’est-ce qu’adapter le travail ? En concentrant nos observations et analyses sur la question du travail et en proposant une définition situationnelle du travailleur dit « faible », l’étude ouvre ce questionnement à d’autres paramètres que ceux, plus administratifs, qui relèvent de la personne et de son handicap : la situation de travail, l’encadrement dont bénéficie la personne (qu’il s’agisse d’un encadrement professionnel ou, plus largement, du soutien d’un collectif de pairs) mais également les ressources personnelles issues de son environnement extra-professionnel.

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Violences faites aux femmes en situation de handicap - Accompagner la libération de la parole

Article de Claudine Colozzi, Johanna Dagora

Paru dans la revue Lien social, n° 1314, 29 mars au 11 avril 2022, pp. 18-24.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Femme, Personne handicapée, Maltraitance, Abus sexuel, Discrimination, Prévention, Violence, Victime, Autisme, Formation, Parole, Travailleur social, Violence conjugale, AFFA (Association francophone de femmes autistes)

Maltraitance physique, agressions sexuelles, discriminations… Les femmes en situation de handicap sont plus souvent victimes de violences que les autres. Pourtant, contrairement au reste de la société, la parole peine à se libérer dans le champ du handicap, même si la question investit de plus en plus le débat public. Pour encourager les victimes à s’exprimer et accompagner les professionnels, des initiatives se multiplient.

Accompagner la libération de la parole
Autisme et violences - Porter la parole des plus vulnérables
Entretien avec Johanna Dagora - Accueillir la parole des femmes victimes

Fin de vie : réinterroger les pratiques

Article de Alexandra Marquet, Laurence Hardy, Philippe Giafferi, et al.

Paru dans la revue ASH Etablissements, hors-série n° 7, juillet 2021, pp. 3-41.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Handicap-Situations de handicap, Fin de vie, Accompagnement de fin de vie, Soins palliatifs, Mort, Personne âgée, Dépendance, Vieillissement, Personne handicapée, EHPAD, MAS, Foyer d'accueil médicalisé, Pratique professionnelle, Établissement social et médicosocial, Travailleur social, Équipe soignante, Épidémie, Projet de vie

TENIR LA MAIN DU MOURANT. Les débats politiques et de société sont souvent animés dès lors que surgissent les questions de la fin de vie, des soins palliatifs, de l'euthanasie ou du suicide assisté. Quand les résidents aspirent à finir leur existence au sein de leur établissement, pour y mourir dignement. Derrière cette formule pudique, c'est une présence, une écoute et un accompagnement à la hauteur des attentes qui sont demandés. Non un transfert vers l'hôpital. Mourir dans son lit, en conservant ses repères, entouré de ses photos, d'odeurs et de visages familiers (...). Un souhait pas toujours entendu. A l'heure où les établissements médico-sociaux se revendiquent comme des lieux de vie, ils sont nombreux à ne pas assumer qu'on y meurt aussi. Et pourtant, le vieillissement des personnes en situation de handicap ou encore l'intégration en Ehpad d'une population de plus en plus dépendante et souffrant de polypathologies font que la mort s'est invitée dans leur quotidien (...).
A QUAND UN VERITABLE LIEN ENTRE SANITAIRE ET SOCIAL ? Face à cette situation, certaines structures refusent de se saisir de la question et de structurer cet ultime accompagnement. Avec quelles conséquences ? Des résidents perdus transférés dans les tout derniers jours de leur vie, arrivant à l'hôpital pour y rendre leur dernier souffle, sans repère, alors que la Haute autorité de santé et l'Agence nationale de l'évaluation et de la qualité des établissements et services sociaux et médico-sociaux ont tout prévu grâce aux partenariats avec les équipes mobiles de soins palliatifs ou en sollicitant une hospitalisation à domicile...
PRATIQUES REINTERROGEES. Les équipes doivent plus que jamais réinterroger leurs pratiques en intégrant des projets palliatifs aux projets de vie. Malgré le manque de temps évident, des postures, des gestes et un discours tourné vers la "Validation" de Naomi Feil, ont toute leur importance pour apporter du réconfort (...).
EN FINIR AVEC LE DENI. La mort est par essence liée au parcours des résidents. Une réalité révélée par la pandémie Covid-19, période au cours de laquelle les décès se sont multipliés en EHPAD et les hospitalisations ont été plus nombreuses en FAM ou en MAS, marquant ainsi la fin du déni pour ces lieux de vie. Reste à gérer l'accompagnement psychologique des usagers et des professionnels qui n'est pas encore à la hauteur des besoins. Les conséquences de la temporalité (au moment du décès) ne sont pas prises en compte par des structures qui ne doivent pas fonctionner à perte et où une chambre vide doit rapidement trouver preneur.

Le jour ou La Clarté a rouvert ses portes

Article de Sophie Massieu

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3161, 22 mai 2020, pp. 22-25.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Crise, Épidémie, IEM, Établissement social et médicosocial, Handicap moteur, Travailleur social, Prévention sanitaire, Règlement intérieur, Adaptation, La Clarté, Morbihan

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