PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Une charge mentale excessive est un élément important du processus d’épuisement professionnel. S’en préoccuper est une condition non négociable pour réduire le risque majeur de burn-out. À la lumière des neurosciences et grâce à des pratiques issues notamment de l’action militaire, de nouvelles ressources sont mobilisables pour maintenir l’équilibre des constantes vitales de chaque salarié, en particulier des travailleurs sociaux. Le pouvoir d’agir est au cœur de la résolution de ce fléau.
Paru dans la revue La Revue française de service social, n° 283, décembre 2021, pp. 75-81.
Mots clés : Travail-Emploi, Burn out, Témoignage, Salarié, ISIC, Écriture
Alors que nous traversions l’épreuve du burn-out, nous avons eu la chance de nous voir proposer la participation à un groupe d’échanges et d’entraide par le service social d’une caisse d’assurance retraite et de la santé au travail (CARSAT). À l’issue de cette expérience, nous avons décidé de raconter nos histoires dans un livre de témoignages. Puis nous nous sommes positionnées en patientes expertes afin de venir en aide à d’autres victimes de ce cri silencieux qu’exhale la souffrance au travail.
Article de Eric Hamraoui, Dominique Lhuilier, Katherine Portsmouth, et al.
Paru dans la revue La Revue française de service social, n° 283, décembre 2021, pp. 59-66.
Mots clés : Travail-Emploi, Burn out, Travail, Chômage, Accompagnement, Groupe
En croisant trajectoires professionnelles et de santé, nous cherchons à la fois à explorer les nouages sociopsychiques combinant sursollicitations et surengagement qui conduisent à l’épuisement professionnel, et à repérer l’impact réciproque du burn-out et de l’expérience du chômage. Enfin, nous interrogeons les conditions du retour au travail et de son accompagnement en nous appuyant sur l’expérimentation d’un dispositif collectif dit « atelier chômage et santé ».
Après avoir suivi une cohorte de cadres durant plus de cinq ans, notre enquête sociologique a mis en évidence que le burn-out dont ils ont été victimes a laissé une trace indélébile dans leur parcours. En outre, elle propose un outil donnant des repères utiles pour les services de santé au travail et pour les aidants afin d’accompagner les salariés sur le chemin de la reconstruction.
Paru dans la revue La Revue française de service social, n° 283, décembre 2021, pp. 37-42.
Mots clés : Travail-Emploi, Burn out, Reconnaissance, Maladie professionnelle, Vie politique
Le burn-out est encore aujourd’hui défini par l’Organisation mondiale de la santé comme un simple « syndrome résultant d’un stresse chronique au travail qui n’a pas été géré avec succès », mais pas comme une pathologie à part entière. En France, depuis 2015 et la loi Rebsamen, pas moins de trois propositions de lois ont été déposées en vue de faire reconnaître le burn-out comme maladie professionnelle. En vain. Pourquoi est-ce si difficile ? Quels en sont les enjeux ?
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3226, 24 septembre 2021, pp. 26-27.
Mots clés : Travail-Emploi, Action sociale et médicosociale, Risques psychosociaux, Conditions de travail, Qualité, Santé mentale, Santé, Déni, Burn out, Prévention, Risque, Relation interpersonnelle
Les métiers du secteur social et médico-social comptent parmi les plus exposés aux risques psychosociaux. Les prévenir est une nécessité pour garantir une qualité de vie au travail optimale et éviter l’usure, voire le burn-out, des professionnels.
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3214, 18 juin 2021, pp. 28-30.
Mots clés : Travail-Emploi, Travail de nuit, Surveillant de nuit, Isolement, Anxiété, Burn out, Management, Organisation du travail, Conditions de travail, Aide à domicile, Lien social, Travailleur social, Rencontre, Communication
Ils travaillent chez les particuliers ou seuls, la nuit, assurant la sécurité des résidents hébergés au sein de divers types d’établissements. Au risque d’éprouver un fort sentiment de solitude. Cette donnée doit être prise en compte par leurs managers. Mais les initiatives sont peu nombreuses.
A en croire le nombre croissant de salariés fragilisés, le bonheur au travail ne serait qu’une coquille vide destinée à masquer la dégradation des conditions d’exercice et à reporter les responsabilités sur les seuls individus.
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3201, 19 mars 2021, pp. 30-32.
Mots clés : Travail-Emploi, Action sociale et médicosociale, Crise, Épidémie, Prévention, Usure professionnelle, Burn out, Projet d'établissement, Implication personnelle, Salarié, Échec, Apprentissage
Dossier composé de deux articles :
- Ressources humaines : surmonter un échec, ça se travaille !
- Association Fouque à Marseille : apprendre des erreurs