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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Se remettre debout : marcher pour se sentir vivant

Article de David Le Breton

Paru dans la revue Empan, n° 118, juin 2020, pp. 15-21.

Mots clés : Santé-Santé publique, Santé publique, Activité physique, Loisir, Sédentarisation, Sens, Lien social, Jouissance, Corps, Technologie, Communication, Travail social, Bien-être

Dans les années 1950 en France, on marchait en moyenne sept kilomètres à pied par jour. Aujourd’hui, à peine trois cents mètres. La sédentarité est un souci majeur de la santé publique. Marcher, c’est reprendre corps dans son existence, retrouver une jouissance du temps, renouveler sa curiosité, se déconnecter pour se sentir vivant. C’est certes une pratique de santé, mais surtout une jouissance du monde.

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Royaume-Uni : entre soutien des autorités locales et système D

Article de Chloé Goudenhooft

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3156, 17 avril 2020, pp. 16-19.

Mots clés : Santé-Santé publique, Travail social : Métiers, Épidémie, Crise, Travail social, Adaptation, Organisation, Travailleur social, Conditions de travail, Bénévolat, Étudiant, Retraite, Usager, Adulte en difficulté, Royaume Uni de Grande Bretagne et d'Irlande du Nord

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En Allemagne, un refus du confinement guidé par des choix sociaux

Article de Violette Bonnebas

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3156, 17 avril 2020, pp. 8-9.

Mots clés : Santé-Santé publique, Épidémie, Crise, Contrainte, Respect, Vie quotidienne, Citoyenneté, Organisation, Travail, Travail social, Adaptation, Allemagne

Pas de confinement pour l'Allemagne. Le pays a opté pour une autre stratégie face au coronavirus : restreindre les contacts. Moins entravés dans l'exercice de leur métier que dans d'autres pays européens, les travailleurs sociaux ont tout de même dû s'adapter.

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Aimer son travail : 13 novembre 2015 dans un hôpital parisien

Article de Jean François Gomez

Paru dans la revue Empan, n° 105, mars 2017, pp. 88-95.

Mots clés : Travail-Emploi, Santé-Santé publique, Hôpital, Urgence, Gestion, Motivation, Management, Organisation du travail, Travail social, Implication personnelle, Paris

À partir du récit de la nuit du 13 novembre 2015 à l’hôpital Saint-Antoine à Paris, proche du Bataclan, l’auteur étudie le comportement du personnel hospitalier, pris dans la tourmente d’événements exceptionnels. La gravité de la situation va les obliger à s’adapter très rapidement ; les principes de hiérarchie et d’organisation se verront radicalement modifiés. L’auteur en tire des réflexions actuelles sur les orientations managériales à l’hôpital, puis par extension sur les évolutions du travail social, alimentées par les travaux récents de deux sociologues. Pour l’idéologie managériale, la grande inconnue est précisément la « merveille » qui s’est produite à Saint-Antoine et qui a pu enfin se libérer : la capacité des professionnels d’aimer leur travail et de s’y investir en pleine capacité.

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