PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Paru dans la revue Alternatives économiques, n° 435, juin 2023, pp. 38-41.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Santé mentale, Jeune, Jeune en difficulté, Souffrance psychique, État dépressif, Psychiatrie infantile, CMPP, Prise en charge, CMP, Enfant en difficulté, COVID-19
La crise sanitaire a affecté la santé mentale des enfants, adolescents et jeunes adultes de manière durable. Pourtant, leur prise en charge souffre toujours d'un manque criant de moyens
Paru dans la revue Alternatives économiques, n° 435, juin 2023, pp. 38-41.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Santé mentale, Souffrance psychique, Jeune en difficulté, État dépressif, Psychiatrie infantile, CMPP, CMP, Prise en charge, Jeune, Confinement
La crise sanitaire a affecté la santé mentale des enfants, adolescents et jeunes adultes de manière durable. Pourtant, leur prise en charge souffre toujours d'un manque criant de moyens.
Paru dans la revue L'Observatoire, n° 111, juillet 2022, pp. 39-43.
Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Santé mentale-Souffrance psychique, Travail social, Réseau, Santé mentale, Accompagnement, Jeune, Handicap, Rupture, Belgique
Créé en 2004 l'Entre-Temps est un service à la croisée des secteurs dont la prise en charge se veut résolument transversale. Il propose une structure d'appui aux jeunes se situant à l'intersection de diverses compétences : l'aide à la jeunesse, le secteur du handicap et la santé mentale. Pour éviter que le passage d'un secteur à l'autre ne se vive comme une rupture brutale, le service sert de lien pour assurer la continuité du suivi de l'usager avec son réseau. En tant que tiers médiateur, son rôle consiste à soutenir le jeune, sa famille et les institutions concernées en mettant en place une collaboration forte avec ceux-ci.
Paru dans la revue Agora, n° 92, 2022 [3], pp. 25-40.
Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Santé mentale-Souffrance psychique, Adolescent, Jeune, Souffrance, Santé mentale, Politique sanitaire, Prise en charge, Maison des adolescents
Cet article s’appuie sur l’analyse du discours public relatif à la souffrance des jeunes et à l’organisation de sa prise en charge dans les maisons des adolescents, pour montrer que ces dispositifs pluridisciplinaires et partenariaux, dédiés aux jeunes en souffrance âgés de 11 à 21 ans, à leur famille et aux professionnels qui interviennent auprès d’eux, ont réussi à négocier la définition de leur label et à s’imposer dans l’espace concurrentiel de l’offre de santé mentale en direction de la jeunesse.
Les conduites suicidaires sont « inexplicables » au sens réducteur de causalité simple et univoque. Chaque histoire demeure singulière. Les réactions au suicide sont aussi multiples.
Paru dans la revue Direction(s), n° 199, juillet-août 2021, pp. 16-18.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Santé mentale, Service civique volontaire, Jeune, Représentation sociale, Stigmatisation, Tabou, Parole, Établissement social et médicosocial, Usager, Handicap psychique, Jeu, Éducation, Lyon
Depuis 2019, des volontaires en service civique interviennent sur les questions de la santé mentale auprès des jeunes du même âge accompagnés par des structures sociales ou médico-sociales. Leur approche de pair à pair décomplexée et ludique contribue à lever des tabous et à libérer la parole.
Si la crise Covid-19 a durement touché les plus âgés (78 % des personnes décédées sont plus de 75 ans, selon Statista), le poids de ses retombées psychologiques semble, lui, être largement porté par les plus jeunes. Plusieurs études, en France et à l'étranger, concordent en effet sur ce point : les enfants, les adolescent et les jeunes adultes ont vu leur santé mentale se dégrader dramatiquement depuis la première vague de confinement en mars 2020.
Le centre Kâlî accueille en journée des adolescents qui présentent des troubles psychiques. En les privant de contacts avec leurs pairs, de projets, d'opportunités d'autonomisation et d'expérimentation en dehors de la sphère familiale, mais aussi pendant un temps d'accompagnement thérapeutique en présentiel, la crise sanitaire a accentué leurs fragilités.
Article de Anne Sophie Vleeschauwer, Noémie Castro
Paru dans la revue L'Observatoire, n° 106, mars 2021, pp. 21-24.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Santé mentale, Épidémie, Crise, Souffrance psychique, Anxiété, Isolement, Jeune
Le projet Mosaïque est une initiative d'accompagnement psychologique pour les jeunes en difficulté entre 13 et 30 ans, caractérisé par sa rapidité d'accueil et sa gratuité. Il est le fruit du partenariat entre les services de santé mentale (SSM) Le Grès et le SAS.
Article de Jacques Marescaux, Jean Paul Arveiller, Francis Curtet, Jean Michel Delileet al.
Paru dans la revue Pratiques en santé mentale, n° 2, mai 2017, pp. 4-49.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Toxicomanie-Addictions, Cannabis, Santé mentale, Addiction, Prison, Jeune, Témoignage, Société
La prise de cannabis concerne des enfants de plus en plus jeunes. Le produit lui-même est plus concentré et son mode de consommation a changé. Les enjeux sont alors importants à plusieurs niveaux.- Au niveau de la société tout d’abord qui peine à choisir sa politique en la matière. Les positions idéologiques varient de la banalisation à la prohibition débouchant sur des propositions politiques allant du tout-répression à la simple légalisation en passant par la dépénalisation du produit, sachant que les autres pays qui ont adopté des positions autres que la nôtre ne semblent pas non plus satisfaits de ce qui se passe chez eux.- Au niveau de la santé tant individuelle que publique ensuite. De nombreux spécialistes placent aujourd’hui le produit parmi les drogues dures et addictives. On retrouve généralement son rôle au moment du déclenchement des bouffées délirantes et, pris au long cours, il est souvent mis en cause dans l’installation de conduites de retrait et d’apragmatisme. D’autres, en revanche, soulignent son possible aspect thérapeutique dans le traitement de la douleur ou de l’anxiété.Ce numéro de la revue tentera de dresser un état des lieux sur ces deux aspects puis de donner la parole à des acteurs de terrain confrontés à la consommation du produit parmi la population dont ils s’occupent. Quels sont les problèmes rencontrés ? Quelles sont leurs réponses apportées ponctuellement ? Enfin les effets pathologiques en termes de psychiatrie d’une part, de santé mentale d’autre part seront abordés de même que la question de la prévention qui doit intéresser tant les responsables de la Cité que ceux de la santé publique.