Article de Marie Rose Kadjo
Paru dans la revue L'Observatoire, n° 111, juillet 2022, pp. 39-43.
Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Santé mentale-Souffrance psychique, Travail social, Réseau, Santé mentale, Accompagnement, Jeune, Handicap, Rupture, Belgique
Créé en 2004 l'Entre-Temps est un service à la croisée des secteurs dont la prise en charge se veut résolument transversale. Il propose une structure d'appui aux jeunes se situant à l'intersection de diverses compétences : l'aide à la jeunesse, le secteur du handicap et la santé mentale. Pour éviter que le passage d'un secteur à l'autre ne se vive comme une rupture brutale, le service sert de lien pour assurer la continuité du suivi de l'usager avec son réseau. En tant que tiers médiateur, son rôle consiste à soutenir le jeune, sa famille et les institutions concernées en mettant en place une collaboration forte avec ceux-ci.
Article de Nadia Graradji, Georges Jovelet
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3098, 15 février 2019, pp. 24-28.
Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Santé mentale-Souffrance psychique, Psychiatre, Action sociale et médicosociale, Accompagnement, Suivi médical, Santé mentale, Projet, Territoire, Intégration, Stigmatisation, Souffrance psychique
Dossier composé de trois articles:
- Cap sur la coopération
- Changer de regard sur le malade
- «La France a une carence en structures intermédiaires»
Article de Anne Rouzé
Paru dans la revue Doc'AMP, n° 35, novembre-décembre 2015, pp. 10-11.
Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Santé mentale-Souffrance psychique, Handicap psychique, Trouble du comportement, Accompagnement, Schizophrénie, Anxiété, Famille, Soin, Écoute, Formation, PSYCHOSE MANIACODEPRESSIVE, Santé mentale, Aide médico-psychologique, Auxiliaire de vie sociale, UNAFAM (Union nationale de familles et amis de personnes malades et/ou handicapées psychiques)
Longtemps reléguées et mal perçues, les personnes souffrant de troubles psychiques sont restées à la charge de leur famille, confinées entre isolement et déni, dans une société qui peinait à déculpabiliser famille et malade. Les institutions proposaient une alternative de prise en charge mais rarement un projet de vie. Heureusement, ce tableau très sombre a bien évolué depuis vingt-cinq ans. Lorsque la stabilisation des malades est possible, leur place dans la société peut être restaurée et leur parcours accompagné.