PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Paru dans la revue Empan, n° 128, décembre 2022, pp. 112-119.
Mots clés : Enfance-Famille, Violence conjugale, Prise en charge, Soin, Genre, Pratique professionnelle, Agresseur, Conseil de l'Europe, Femme, Victime
Depuis le Grenelle de 2019, l’institutionnalisation de la prise en charge des auteurs de violences conjugales s’accentue. Toutefois, les pratiques observées lors de deux enquêtes qualitatives, menées en France en 2018-2019 et 2020-2022, révèlent une faible intégration du primat de la sécurité de la victime et une tendance à la reproduction des hiérarchies de genre. Faute d’un étayage scientifique rigoureux, le traitement socio-pénal des agresseurs conjugaux présente à ce jour plusieurs points de divergence vis-à-vis des indications du réseau européen Work With Perpetrators et des recommandations du Conseil de l’Europe dans le cadre de l’application de la Convention d’Istanbul.
Paru dans la revue Le Journal des professionnels de l'enfance - Pratiques, n° 128, juin-juillet-août 2021, pp. 4-7.
Mots clés : Enfance-Famille, Accueil, Adaptation, Conditions de travail, Épidémie, Etablissement d'accueil du jeune enfant, Fatigue, Jeune enfant, Masque, Pratique professionnelle, Prise en charge, Stress, Terrain, Usure professionnelle, Petite enfance
Paru dans la revue Empan, n° 104, décembre 2016, pp. 46-52.
Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Enfance-Famille, IME, Enfant handicapé, Pratique professionnelle, Groupe, Prise en charge
Les enfants accueillis dans les IME aujourd’hui présentent des profils cliniques plus hétérogènes et plus sévères. Il convient de s’interroger sur ce phénomène, sur ses origines et sur les conséquences sur les pratiques professionnelles et les institutions. De nouveaux modes de prise en charge des jeunes doivent être proposés au plus près des besoins de chaque enfant. À défaut, les IME pourraient devenir des établissements inadaptés et leur avenir être remis en cause.