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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Le dispositif « Parenthèse », répondant à une logique d’inclusion scolaire

Article de Yolaine Coussot, Stéphanie Cussot Charpentier

Paru dans la revue Empan, n° 108, décembre 2017, pp. 63-69.

Mots clés : Ecole-Enseignement, Scolarité, Soin, Psychiatrie infantile, Enfant en difficulté, Réussite scolaire, Partenariat, Prise en charge, Prévention, Déscolarisation, Équipe pluridisciplinaire, Expérimentation, Toulouse

L’école est le « théâtre » d’un grand nombre de difficultés de l’enfant et de l’adolescent et constitue l’opportunité de repérer certaines de leurs difficultés (bio)psychosociales. « Parenthèse » est un dispositif mixte associant l’expertise d’intervenants scolaires aux fonctions soignantes d’intervenants issus de la psychiatrie infanto-juvénile à destination des enfants de 6 à 16 ans scolarisés à Toulouse.
La reprise de l’historique de la formation de ce dispositif nous permet de comprendre le fonctionnement actuel et de discuter les enjeux et les limites de ce dispositif original.

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Du bon usage des dys

Paru dans la revue Enfances & psy, n° 71, 2016, pp. 4-149.

Mots clés : Enfance-Famille, Ecole-Enseignement, Dyslexie, Dysorthographie, Symptôme, Dyspraxie, Trouble du langage, Approche cognitive, Psychiatrie infantile, Psychomotricité, Mathématiques, Dyscalculie, Scolarité, SESSAD, Dysphasie, Prise en charge, Lecture, Difficulté scolaire, Biographie, Parents

Alors qu’ils sont déjà remplacés par la dénomination « troubles spécifiques des apprentissages », ces dernières années les dys ont fait florès : dyslexie, dysphasie, dyscalculie, dyspraxie, etc. Quelles réalités cliniques, quelles conceptions théoriques se cachent derrière ces vocables qui donnent lieu à une inflation des demandes, à des parcours de soins compliqués et à une lecture souvent réductrice des difficultés constatées ? Tandis que les recherches cognitivistes se développent, peut-on considérer que les approches plus traditionnelles comme la psychanalyse sont obsolètes? Comment pouvons-nous intégrer les apports de la biologie du cerveau et des sciences cognitives sans renier la dimension historique et environnementale, dont nous avons appris à quel point elle était importante dans le développement et le déterminisme ou le renforcement des troubles chez l’enfant ? Allons-nous vers de nouvelles conceptualisations et de nouvelles pratiques ? Ce numéro rend compte de prises en charges diverses : du côté du soin, de la pédagogie, de l’accompagnement des parents et par les parents. Et des découvertes scientifiques et humaines, que permet la rencontre avec un enfant entravé dans ses apprentissages.

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