Rechercher un article, un ouvrage, une thèse

PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

Réponses 1 à 2 sur un total de 2

Votre recherche : *

L'exemple allemand de la "réappropriation cognitive"

Article de Stéfane Hédont Hartmann

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 34, juillet-septembre 2019, pp. 21-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Trouble du comportement, Prise en charge, Maladie d'Alzheimer, Démence sénile, Personne âgée, Accompagnement social, Thérapie, Cognition, Allemagne

La prise en charge des troubles du comportement perturbateurs nécessite une bonne connaissance de la personne et des pathologies. En Allemagne, l'accent est mis sur l'accompagnement de type "réappropriation cognitive" avec des effectifs formés baptisés Betreuung Diest où une équipe dédiée à l'accompagnement social est déployée dans les établissements avec des techniques qui s'apparentent aux thérapies non médicamenteuses. Les résultats prouvent l'intérêt de cette spécialisation.

Une prise en charge multidimensionnelle

Article de Céline Sansebastian Olaizola

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 21, avril-juin 2016, pp. 31-32.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Vieillissement, Personne âgée, Maintien à domicile, Autonomie, Dépendance, Pratique professionnelle, APA, Évaluation, Prise en charge, Vie quotidienne, Vulnérabilité, AGGIR (Grille), GEVA-A (Grille)

La perte d'autonomie a des conséquences sur plusieurs aspects de la vie quotidienne, tels qu'assumer seul les gestes quotidiens, subvenir aux besoins de santé, entretenir le logement, être à la charge financière de ses proches ou sous la tutelle d'un tiers et se retrouver seul. Dans ce contexte, si l'orientation vers un établissement spécialisé médicalisé est envisagée, le maintien de la personne fragilisée dans son environnement et à son domicile reste privilégié. Mais de quelle manière évaluer l'autonomie fonctionnelle de la personne en situation de dépendance ?