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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Prises en charge des crises suicidaires et des suicidants

Article de Vincent Jardon, Sandrine Colin, Alexia Lamotte, et al.

Paru dans la revue La Revue de l'infirmière, n° 270, avril 2021, pp. 24-28.

Mots clés : Santé-Santé publique, Suicide, Psychopathologie, Souffrance psychique, Passage à l'acte, Prévention, Évaluation, Risque, Prise en charge, Vulnérabilité, Relation soignant-soigné, Accueil, Écoute, Accompagnement

Savoir évaluer le risque suicidaire des personnes en crise, savoir les orienter, les accueillir, les traiter, veiller sur elles sont les clés de ces prises en charge sanitaires pluridisciplinaires.

Clinique de la crise suicidaire

Article de Fabrice Jollant

Paru dans la revue La Revue de l'infirmière, n° 270, avril 2021, pp. 16-19.

Mots clés : Santé-Santé publique, Suicide, Psychopathologie, Souffrance psychique, Passage à l'acte, Vulnérabilité, Risque, Évaluation, Prévention, Relation soignant-soigné

Près de 5 % de la population générale font l’expérience d’une crise suicidaire chaque année en France. Il est indispensable pour tout soignant d’apprendre à la reconnaître et à intervenir de façon adéquate. Ces crises surviennent le plus souvent dans un contexte de stress combiné à des facteurs individuels de vulnérabilité qui font perdre au sujet son équilibre. La clinique est variable d’un sujet à l’autre. Il s’agit d’un état habituellement fluctuant et temporaire. Le sujet ne veut pas mourir, il veut arrêter de souffrir. L’acte suicidaire est l’issue redoutée mais non systématique de la crise suicidaire. Présentation des principes généraux de son évaluation.

Evaluer le risque de réitération suicidaire

Article de Erwann Nouvel, Yuliia Ohiichuk, Sofian Berrouiguet

Paru dans la revue Santé mentale, n° 256, mars 2021, pp. 36-40.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Évaluation, Risque, Famille, Prévention, Profession médicale, Récidive, Suicide

Le processus d'évaluation du risque suicidaire est centré avant tout sur l'estimation de la détermination de la personne au passage à l'acte, avec pour objectif la prise en charge de sa détresse. Il faut engager une communication avec le patient, son entourage familial et le réseau professionnel. L'évaluation passe par une étape de documentation, afin de réunir de multiples éléments sur le patient et les facteurs de risque. Des facteurs de risque psychopathologiques, biographiques et situationnels permettent de poser l'indication d'hospitalisation, elle s'appuie sur une triple évaluation du risque, de l'urgence et du danger (RUD).

La surveillance postopératoire d’un patient traumatisé grave des membres

Article de Samir Zaiz, Alexandre Caubère, Hugues Lefort, et al.

Paru dans la revue La Revue de l'infirmière, n° 267, janvier 2021, pp. 24-25.

Mots clés : Santé-Santé publique, Traumatisme, Traumatologie, Rôle, Infirmier, Pratique professionnelle, Soin, Compétence professionnelle, Prévention, Dépistage, Risque, Évaluation, Prise en charge, Suivi médical

Dans la surveillance postopératoire d’un traumatisé grave des membres, les objectifs de l’infirmière sont multiples : prévention et dépistage des complications, suite de soins, respect des consignes postopératoires. Présentation des éléments clés de cette surveillance, qui doit être systématisée et personnalisée.

La prise en charge d'un patient victime d'un traumatisme sévère de membre

Article de Noémie Lutz, Thomas Labrousse, Sandie Epifanie, et al.

Paru dans la revue La Revue de l'infirmière, n° 267, janvier 2021, pp. 16-19.

Mots clés : Santé-Santé publique, Traumatisme, Prise en charge, Traumatologie, Accident, Risque, Prévention, Stratégie, Suivi médical, Évaluation, Soin, Souffrance

La prise en charge d’un patient victime d’un traumatisme de membre débute par une évaluation rapide des lésions afin de traiter en priorité celles engageant le pronostic vital, l’hémorragie étant la première. Les traumatismes sévères de membres sont définis par la présence de critères spécifiques de gravité et imposent d’orienter le blessé vers un centre spécialisé de traumatologie grave. Le pronostic est double, à la fois vital et fonctionnel, et repose autant sur la rapidité que sur la qualité des soins immédiats en préhospitalier, des soins spécifiques hospitaliers et sur la prévention des complications secondaires.

Les gestes initiaux face au traumatisé des membres

Article de Lore Lebon, Benjamin Conjard, Thomas Labrousse, et al.

Paru dans la revue La Revue de l'infirmière, n° 267, janvier 2021, pp. 20-21.

Mots clés : Santé-Santé publique, Traumatisme, Prise en charge, Traumatologie, Accident, Risque, Prévention, Stratégie, Suivi médical, Évaluation, Soin

Le traumatisme de membre est une pathologie fréquente en préhospitalier. Le soignant primo-intervenant joue un rôle primordial en termes d’application des soins initiaux afin de sauver le membre et la vie du patient et de limiter les conséquences fonctionnelles. Il doit suivre pour cela des règles strictes de sécurité et d’efficacité. La qualité de son évaluation initiale le guidera vers les soins les plus adaptés et vers la chronologie adéquate.

S'engager dans la lutte contre la maltraitance

Article de Marie-Eve Banq

Paru dans la revue Direction(s), hors-série n° 20, juillet-août 2018, pp. 4-96.

Mots clés : Travail social : Établissements, Maltraitance, Établissement social et médicosocial, Prévention, Dignité, Évaluation, Risque, Signalement, Répression, Sanction pénale, Violence

La maltraitance n'est pas une notion qui reçoit une définition juridique. Pour autant, ce phénomène est appréhendé largement par le droit et plus particulièrement dans le domaine de l'accompagnement et de la prise en charge des personnes les plus fragiles. A compter de la fin des années 1990 et du début des années 2000, une prise de conscience a émergé et s'est traduite par une appropriation des problématiques par les pouvoirs publics, avec la volonté d'introduire des dispositifs spécifiques en plus des régimes de protection des personnes déjà inscrits dans le droit civil et le droit pénal.

La notion a été amenée par des acteurs et praticiens des secteurs social, médico-social et sanitaire et a très vite été appréhendée de manière extensive. Les violences physiques, psychiques, les actes volontaires comme involontaires, les actes de commission ou d'abstention, les abus... autant d'interventions en direction des personnes, quel que soit le statut qui leur est reconnu (usagers, patients, résidents, personnes âgées, personnes âgées dépendantes, personnes en situation de handicap, en difficulté sociale...), susceptibles de générer de la maltraitance. La maltraitance abordée dans cet ouvrage est celle exercée à l'encontre de la personne accompagnée et prise en charge, placée dans une situation qui induit une certaine vulnérabilité.

L'évolution du droit autour de la notion de maltraitance est marquée par un déplacement des objectifs. D'abord centrés sur la lutte contre la maltraitance, puis en faveur de la prévention de la maltraitance, les dispositifs sont désormais abordés sous l'angle de la mise en oeuvre d'une démarche globale et continue de bientraitance au sein de laquelle s'inscrit la lutte contre la maltraitance.

L'objectif de ce hors-série est, au-delà des rappels utiles sur la notion et les dispositifs en vigueur, de vous inviter à inscrire vos actions dans le respect des nouvelles règlementations toujours plus nombreuses impactant le champ de la lutte contre la maltraitance, marquées en dernier lieu par la reconnaissance d'un statut de lanceurs d'alerte, par l'obligation générale de signalement applicable au secteur ou encore par l'installation de la commission nationale bientraitance en février 2018 par le ministère des Solidarités. Cet ouvrage répond également à un objectif pédagogique dans le contexte de l'actualité médiatique foisonnante sur le sujet : mouvements sociaux des professionnels des Ehpad sur fond d'épuisement avec des grèves survenues au cours du premier trimestre 2018 de manière tout à fait inhabituelle, condamnation médiatisée à de l'emprisonnement avec sursis de trois employées d'un Ehpad pour violences volontaires commises à l'encontre de résidents, annulations de licenciements prononcés après que des salariés aient dénoncé des maltraitances...

Vous trouverez par ailleurs des outils, des renvois à des modèles réglementaires et un éclairage pratique pour vous permettre de respecter le cadre juridique de la maltraitance dans le secteur des établissements et services sociaux et médico-sociaux. La volonté, enfin, est de vous aider à trouver de la cohérence entre les différentes règles qui régissent l'activité des établissements et services : planification, démarche qualité et évaluation, respect des droits des usagers, projet d'établissement, autorisation...

Evaluer les situations prénatales préoccupantes : un prototype élaboré à partir de la méthode Alföldi

Article de Agnès Chauvet Baron, Sabine Carré, Francis Alföldi

Paru dans la revue Les Cahiers de l'Actif, n° 476-477, janvier-février 2016, pp. 227-254.

Mots clés : Petite enfance-Périnatalité, Enfance en danger-Protection de l’enfance, Périnatalité, Prévention, Partenariat, Signalement, Qualité, Évaluation, Danger, Méthode, Méthodologie, Grossesse, Profession médicale, Travailleur social, PMI, Risque, Formation

La prévention prénatale précoce, mise en oeuvre avant même la naissance de l'enfant, s'appuie sur des bases théoriques solides. La loi 2007-293 du 5 mars 2007 réformant la protection de l'enfance a mis l'accent sur la prévention le plus en amont possible des risques de mise en danger de l'enfant en évitant qu'ils ne surviennent ou en limitant leurs effets...

Evaluer et prévenir les risques psychosociaux dans les essms

Article de Cécile Lucile BLIN, Dominique STELLER, Olivier POINSOT, et al.

Paru dans la revue Les Cahiers de l'Actif, n° 406-407-408-409, mars-juin 2010, pp. 5-282.

Mots clés : Santé mentale, Travail social, Évaluation, Risque, Dépistage, Prévention, Relation professionnelle, Émotion, Stress, Travail, Usure professionnelle, Établissement social et médicosocial, Harcèlement moral, Droit du travail, Jurisprudence, Management, Ressources humaines, Souffrance, Santé, Bien-être, Organisation du travail, Conditions de travail, Valeur, Travailleur social, Témoignage, Diagnostic, Communication, Étude de cas, MAS, Foyer d'hébergement, IEM, Économie sociale et solidaire, Foyer d'accueil médicalisé

Accompagner un patient suicidaire

Article de Michela CANEVASCINI

Paru dans la revue Pensée plurielle, n° 22, pp. 99-109.

Mots clés : Suicide, Accompagnement, Urgence, Psychiatrie, Hôpital psychiatrique, Hospitalisation, Traitement ambulatoire, Autonomie, Usager, Relation soignant-soigné, Prévention, Risque, Évaluation, Responsabilité, ETHNOGRAPHIE

A partir d'une enquête ethnographique réalisée dans une unité d'urgences psychiatriques, cet article s'intéresse au suivi des patients ayant des comportements ou des idées suicidaires. Face à l'imprévisibilité du suicide, l'évaluation du potentiel suicidaire permet de donner une assise formelle et scientifique au travail thérapeutique des soignants. Le choix du suivi (hospitalisation ou accompagnement ambulatoire) dépend toutefois de deux dimensions moins explicites : l'autonomie du patient et son adhésion au dispositif psychiatrique. L'analyse du discours des soignants permet de relever les logiques contradictoires qui sous-tendent cette décision : d'une part la nécessité de garder le lien avec le patient (en privilégiant un accompagnement) et l'exigence de protéger sa vie (en optant pour une hospitalisation) d'autre part.