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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Aide à domicile : SOS d'un secteur en détresse

Article de Marie Nahmias, Philippe Bataille, Maxime Ricard

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3283, 18 novembre 2022, pp. 6-12.

Mots clés : Travail social : Métiers, Grand âge-Vieillissement, Travail social, Aide à domicile, Statut professionnel, Pouvoir législatif, Vieillissement, Personne âgée, Inflation, Droit du travail, Conditions de travail, Autonomie, Démographie

Ce dossier est composé de 3 articles :
- Aide à domicile : SOS d’un secteur en détresse
- Sur la route d’une auxiliaire de vie
- « Vieillir chez soi à condition d’être en sécurité »

Vieillissement : la double peine du handicap

Article de Laurence Ubrich, Maxime Ricard, Danielle Michelet Coutama

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3274, 16 septembre 2022, pp. 6-13.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Grand âge-Vieillissement, Handicap, Personne âgée, Vieillissement, Prise en charge, Problématique, Besoin, Accompagnement, Autonomie, Changement

Dossier composé de trois articles :
Vieillissement : la double peine du handicap
Rester autonome le plus longtemps possible
« Il faut changer la logique d’accompagnement »

Les Ehpad se préparent à la « deuxième vague »

Article de Maxime Ricard

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3174, 04 septembre 2020, p. 13.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Épidémie, Contamination, Prévention sanitaire, Organisation du travail

Ces dernières semaines, le nombre de cas positifs au Covid-19 se multiplie dans les établissements pour personnes âgées. Une augmentation qui n’affole pas encore les acteurs du secteur, lesquels ont tiré les enseignements de la première vague.

Personnes âgées : les partenaires sociaux en ébullition

Article de Maxime Ricard

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3174, 04 septembre 2020, p. 12.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Épidémie, Contamination, Fatigue, Salarié, Peur, Mouvement social

Alors que les cas de coronavirus repartent à la hausse, les syndicats veulent profiter de la rentrée pour peser dans les prochaines discussions concernant le secteur du grand âge. En agitant la menace de mouvements sociaux importants.

Grand âge : à situation exceptionnelle, rentrée exceptionnelle

Article de Maxime Ricard

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3174, 04 septembre 2020, p. 11.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Autonomie, Loi

Très fortement impacté par la crise du coronavirus, le secteur des personnes âgées est à la croisée des chemins. Avec la remise du rapport « Vachey » dédié à la création d’une cinquième branche de la sécurité sociale et les discussions autour de la future loi « grand âge », les prochains mois s’annoncent animés.

Préserver les capacités restantes

Article de Alexandra Marquet, Maxime Ricard, Philippe Giafferi, et al.

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 38, juillet-septembre 2020, pp. 10-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Personne âgée, Vieillissement, Dépendance, Accompagnement, Adaptation, Pratique professionnelle, Auxiliaire de vie sociale, Projet individualisé, Observation, EHPAD, Stimulation, Autonomie

Les déficits, les pertes et les incapacités sont toujours répertoriés et connus des équipes à l'ère de la prise en charge de la dépendance. Or, depuis quelques années, certains professionnels ont décidé de changer de regard sur les personnes fragilisées par la maladie d'Alzheimer. Et pourquoi ne pas, au contraire, mettre en avant les capacités préservées ? Car malgré les atteintes cognitives, les personnes sont encore capables de réaliser des actes de la vie quotidienne. Encore faut-il que les professionnels procèdent à une évaluation efficace des capacités restantes et soient en possession des bonnes clefs. Et c'est là que le bât blesse. Les grilles habituellement utilisées comme AGGIR, pour ne citer qu'elle, révèlent justement les incapacités. Dépendance versus autonomie ? Pour sortir de ce cercle vicieux, les soignants doivent se tourner vers d'autres outils pour ensuite adopter la bonne attitude. C'est en observant qu'ils peuvent mieux connaître la personne et savoir exactement ce dont elle est encore capable de faire. C'est en détectant les capacités préservées que l'accompagnement peut s'adapter. Il ne s'agira alors plus de prendre en charge mais de guider. C'est un réel changement de pratique et de culture professionnelle que de plus en plus de professionnels adoptent. Certains depuis longtemps, que ce soit les disciples de l'Humanitude, de la méthode Montessori adaptée aux personnes âgées ou encore Carpe Diem et Ama Diem. Cette révolution des pratiques ne se décrète toutefois pas. Les professionnels de terrain doivent être accompagnés, sensibilisés et dotés d'outils pragmatiques. En établissement mais aussi à domicile. C'est d'ailleurs un autre défi pour les auxiliaires de vie sociale qui doivent promouvoir l'autonomie des personnes aidées. Ce n'est pas qu'une question de temps ou de moyens financiers mais bien de regard et d'accompagnement différenciés.

Marie-Reine Tillion, présidente de l'UNA : "L'aide à domicile doit être le fer de lance de la future loi"

Article de Maxime Ricard, Marie-Reine Tillon

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3168, 10 juillet 2020, pp. 19.

Mots clés : Travail social : Métiers, Aide à domicile, Profession, Organisation professionnelle, Personne âgée, Vieillissement, Dépendance, Concertation, Identité professionnelle, Statut professionnel, Reconnaissance

Ancienne conseillère générale du département des Côtes-d'Armor et administratrice de services à domicile, Marie-Reine Tillon a succédé, le 25 juin, à Guillaume Quercy à la présidence de l'Union nationale de l'aide, des soins et des services aux domiciles (UNA). L'occasion de faire un tour d'horizon de l'actualité chaude du moment.

Liberté et sécurité : concilier l’inconciliable

Article de Alexandra Marquet, Maxime Ricard, Etienne Bataille, et al.

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 35, octobre-décembre 2019, pp. 10-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Vieillissement, Dépendance, Liberté, Sécurité, Autonomie, EHPAD, Maintien à domicile, Équipe soignante, Personne âgée, Contention, Care, Soin, Bientraitance, Accompagnement, Risque, Vulnérabilité, Législation

Que faire face à une personne qui déambule, erre puis part bien décidée à retrouver son chez-soi d'autrefois ? Et que dire... quand une personne vivant seule, en perte d'autonomie, se retrouve couchée le soir à 20 h avec la barrière relevée pour éviter une chute au beau milieu de la nuit quand elle cherchera à se lever dans le noir. Elle restera donc allongée pendant dix voire douze heures, contre sa volonté. Depuis plusieurs années, la contention, qu'elle soit physique ou médicamenteuse, est de plus en plus réglementée. Dans le même temps, les questions autour de l'éthique ont pris une part importante dans l'accompagnement des personnes souffrant de troubles cognitifs notamment. Les professionnels ont désormais à l'esprit le risque et le bénéfice de chaque soin. Mais entre la bienveillance de l'accompagnement et les restrictions des libertés, où mettre le curseur ? L'équation est quasiment impossible. La réponse est forcément personnalisée et individualisée, selon chaque situation, chaque cas. Et pour cause, il est facile de philosopher, d'évoquer ces questions lors de formation bien installé dans un fauteuil, entouré de collègues et experts, mais sur le terrain, au quotidien, à domicile comme en établissement, des décisions doivent et sont prises avec toujours le même objectif : protéger la personne, éviter qu'elle se blesse, qu'elle se perde, qu'elle se mette en danger... sans pour autant qu'elle ressente les contraintes qui provoquent inévitablement des troubles du comportement. (...)

Jardins thérapeutiques : pour quels bénéfices ?

Article de Alexandra Marquet, Maxime Ricard, Jérôme Pellissier, et al.

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 33, avril-juin 2019, pp. 10-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Vieillissement, Personne âgée, Maladie d'Alzheimer, Jardinage, Thérapie, EHPAD, Lien social, Mémoire, Animation sociale, Dépendance, Association Aid'Aisne

A l'heure où l'été arrive et où les jours rallongent, les espaces verts sont pris d'assaut par les jardiniers. Mais une fois la perte d'autonomie constatée, et la dépendance installée, de nombreuses personnes âgées sont contraintes de cesser de jardiner. Certaines à domicile n'ont plus de potagers ou de massifs de fleurs, qui demandent trop d'entretien, quand d'autres, une fois institutionnalisées, restent cloîtrées entre les murs de l'établissement, assises devant la télé. Et pourtant, depuis quelques années, les soignants misent de plus en plus sur les thérapies non médicamenteuses dont les jardins dits "thérapeutiques" font partie. Plantations, récoltes, fleurs, plantes aromatiques, légumes, fruits, stimulation autour des sens, chemins permettant de travailler la proprioception ; autant d'activités qui sont proposées en extérieur, à l'air libre... loin de la pesanteur ressentie en établissement et du brouhaha du collectif. C'est alors l'occasion de se retrouver dehors pour discuter, se remémorer des souvenirs, partager des techniques et pourquoi pas côtoyer des poules, chats et autres animaux de compagnie. Pour quels résultats ? Le premier indice c'est l'ambiance plus détendue, le bien-être et le plaisir ressentis par tous... des échanges qui se nouent entre résidents, avec les soignants ou encore avec les familles. Ceux qui ont testé constatent une diminution de la fréquence des chutes, des accidents, une amélioration des compétences cognitives, une baisse des troubles du comportement, de l'agitation, un meilleur sommeil et surtout une baisse des prescriptions médicamenteuses. Rompre l'isolement et partager, c'est aussi ce qui manque actuellement aux personnes vivant encore à domicile, mais en perte d'autonomie. (...) Le jardin partagé peut être une solution... mais les services d'aide à domicile sont encore peu nombreux à avoir opté pour ce projet...